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Printemps arabe

  • Algérie : Un départ humiliant pour les dalton de l'Algérie (les Bouteflika) et le pouvoir s’abrite derrière la constitution pour imposer sa transition.

    Pour connaitre la vraie Algérie,cliquer sur ce lien: (les Algériens parlent d'eux-même..les Français témoignent) https://www.youtube.com/watch?v=mrMzMqUuvcg

                                                                                            

    Une page polémique s'ouvre en Algérie après Bouteflika..

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    Quoi de neuf à Alger..(03/4/2019)..En débutant de panser ses plaies, l'Algérie se réveille sans Bouteflika, mais avec beaucoup d'incertitude et de crainte de dérapage. 

    Tayeb   Bélaiz, le président du pseudo-Conseil constitutionnel, après avoir reçu la lettre de démission de Bouteflika, selon les images de la télévision, devrait réunir en urgence les douze membres de l’institution pour prendre acte de cette démission qui marquera une nouvelle séquence politique en Algérie.

    Le parlement Algérien doit se réuni en congrès, au même temps, pour  investir officiellement le nouveau président, Abdelkader Bensalah, pour assurer l’intérim pendant quatre-vingt-dix jours .

    Abdelkader Ben Salah le président du sénat qui devait constitutionnellement assurer l'intérim est-il d'origine Marocaine, vrai ou faux? la polémique des politiques et la voix de la rue Algérienne en trancheront certes ce vendredi 05 avril..

    La polémique enfle depuis quelques jours sur les réseaux sociaux concernant la nationalité du président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah qui devait assurer l’intérim.

    Beaucoup soutiennent, décret du Journal officiel à l’appui, que Abdelkader Bensalah est d’origine Marocaine et n’a obtenu la nationalité algérienne qu’en 1965, ce qui le rend inéligible à assurer l’intérim de la présidence de la République Algérienne  après la démission de Bouteflika.

    Effectivement Abdelkader Ben Salah qui fait partie des Marocains qui gouvernaient l'Algérie est bien l'oncle de Meryem Ben Salah Chakroune, l'ex patronne du CGEM. Ils sont originaires de la région de Zegzel et de Tafoughalet dans l'oriental Marocain.

    Une étape de franchie dans le recouvrement de la souverainté populaire en Algérie.Le clan Bouteflika chute en cascade. En rappel, deux décennies de Bouteflikisme ont fini par conduire le pays vers la faillite !

    La mise à la poubelle définitive de la fratrie Bouteflika est un premier pas dans l’entreprise de construction d’une 2° république démocratique Algérienne. Aujourd’hui, il est clair que le peuple algérien ne se laissera plus jamais dominer par des despotes ni par les sales bottes.

    Les observateurs en noteront quand même, que l’hypocrisie aura duré jusqu’à la fin. Ces derniers jours, on a beaucoup parlé en Algérie de forces extra-constitutionnelles qui se sont accaparé les prérogatives du chef de l’État gérant le pays comme une ferme familiale depuis des années !

    Quelle terrible fin ! Ce qui est sûr, c’est que cette épisode tragique de l’histoire Algérienne demeurera comme un cas d’école à intégrer forcement par un peuple ayant été dépourvu de tous ses droits de s'expriment librement devant l'acharnement d'une sale junte de lâches.

    Oui, Bouteflika est parti, après vingt ans aux commandes du pays, sous la sommation des militaires et avant eux, du peuple. C’est la sortie qu’il aura choisie. Ou qu’on a choisi pour lui ? Il se dit que l’homme était depuis plusieurs années dans un état qui ne lui permettait pas de discerner.Si  Ali Baba Bouteflika est écarté, il en reste encore les quarante voleurs

    Plus clairement qu’il n’était même pas au courant de sa candidature, que ses frères et son proche entourage avaient le souci de faire en sorte qu’il garde le pouvoir, qu’ils continueront à exercer en son nom le plus longtemps possible, pour sauvegarder leurs intérêts et ne pas avoir à rendre des comptes de leurs méfaits qu’on dit innombrables

    Ça y est les valets de chambres présidentielles d'autrefois commencent  à éplucher les légumes, à dénicher les failles et à enlever les mauvais herbes.Cela  en poussera certes, les militaires à se chauffer les nerfs, à envahir le champs sous prétexte "sauvegarder les institutions de l'état".

    Profitant de cette période, du  quartier libre, de vacance de pouvoir et d'incertitude, le général Gaid Salah qui aura la voie libre en plantera davantage ses griefs au corps d'un pouvoir cadavre délaissé au hasard pour conforter sa position de parrain de tout le monde en Algérie et sauvegarder, pourquoi pas en récompense, les arrières de ses autres fidèles militaires, en particulier son lance de fer le général Bulldog Said Chengriha sur lequel il s'appuie souvent quand il boite dans ses initiatives.

    Des citoyens sont montés au créneau pour déposer une plainte auprès du Procureur général près la cour d’Alger, contre Saïd Bouteflika. La cour d’Alger aurait accepté cette plainte, parmi les chefs d'accusations portées à son encontre, elles figurent celles ayant trait au: «faux et usage de faux, usurpation de fonction, et du Sceau de la présidence».

    Accusations graves qui vont démolir tout ce que Oulad Mansouria ont battu durant les 20 années d'autoritarisme Taflikiennes et vont  ouvrir en parallèle, la porte à sa largeur devant le général Gaid Salah pour procéder légalement à l'arrestation de Said Bouteflika et d'y prendre, le cas échéant, la voie de règlement de comptes.

    L'essentiel c'est que l'armée hausse le ton, tout en s’immisçant indirectement en politique. Cela étant proeuv d'après  que les déclarations du général Gaid Ahmed Salah, les prémices d'un putsch silencieux se précisent davantage plus que jamais, et y sont toujours au menu de l'armée..

    Dans sa nouvelle posture, il ne s’est pas gêné d’emprunter aux manifestants quelques-uns de leurs termes en vogue, histoire de se rapprocher du peuple.

    Tout son discours tourne, en fait, autour d’une idée essentielle : l’armée est là pour sauver le peuple d’une «bande de malfrats» qui se sont approprié les richesses du pays.Détournant, voir enroulant l'opinion publique locale, lui faisant croire que lui et ses subordonnés ne font pas partie de dilapidateurs du fond public.

    Avec le départ humiliant de Bouteflika, les Emaratis doivent cesser de jouer les malins et soutenir encore le mirage.Ils doivent entre autre lever la main de pression sur le général Gaid salah avant de plier bagages et de lui laisser le temps de jouer le sergent Garcia comptant les pots cassés durant  les vingt années de règnes et de d'autoritarisme d'Oulad Mansouria d'Oujda.

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    Pour les Emaratis « le roi est mort, vive le roi». misant aprés Bouteflika sur Abdelkader Ben Salah, l'homme du régime pour maintenir le système en vie.Le général  Gaid Salah est désormais seul face à la rue. Il aura affaire à trois " B " qu'il faut chasser en premier acte de crédibilité militaire pour apaiser le ton et satisfaire une des principales revendications de la rue, en l'occurrence Abdelkader Bensalah, Noureddine Bedoui et Tayeb Belaïz qui devraient logiquement hériter de la transition, si l’on s’en tient à la lettre de la Constitution-chiffon de l'Algérie.

    Même si leurs prérogatives seront limitées, leur présence aux commandes ne peut être une garantie pour un processus et une élection honnêtes et on comprend bien que la rue algérienne exige plutôt la nomination d’une instance présidentielle neutre et d’un gouvernement national de consensus.

    La question est épineuse et pourrait même constituer le premier point de discorde entre l’armée et le peuple, jusque-là sur la même longueur d’onde. A moins qu’une formule ne soit trouvée pour faire table rase des institutions actuelles avant d’entamer la transition.

    Certains juristes Algériens affirment qu’une telle option, sans sortir du cadre constitutionnel, est possible avec une interprétation adaptée à la Constitution algérienne.

    Qui sont les trois B à abattre par plus de manifestation de la rue? Pour en savoir plus, la rédaction prend de la peine pour dévoiler approximativement le cv de chacun d'eux.Formant les trois chevaux de course devant entrer en compétition avec la rue pour faire passer la transition au guise du système dont ils tenteront de meubler encore malgré le départ humiliant de leur commanditaire.   

    Bensalah, un pur produit du système..Abdelkader Bensalah, qui devrait présider le pays pendant 90 jours, est un pur produit du système. Comme Bouteflika, on a lui attribué son origine, dit-on, du royaume de Tlemcen. Journaliste de profession, il a notamment dirigé le journal Echaâb dans les années 1970, sous le maudit-président Boumediene.

    Elu député en 1977, il fera ensuite une courte carrière diplomatique (ambassadeur en Arabie Saoudite notamment entre 1989 et 1993) avant de renouer avec la vie parlementaire. En juin 1997, il est élu député RND (créé trois mois plutôt). Il présidera le parlement pendant toute la mandature avant d’occuper le perchoir du Sénat (chambre haute) de 2002 jusqu’à aujourd’hui.

    Sous le parti unique FLN, il avait présidé pendant dix ans la commission des affaires étrangères au parlement. Surtout, Bensalah a dirigé le RND à sa création (1997-1998) puis entre 2013 et 2015. Pendant toute sa carrière, le personnage n’a jamais fait de vagues. Il ne fait presque jamais de déclarations publiques, en dehors de ses discours plats et monotones, dans une langue de bois parfaite, à l’occasion de l’ouverture ou de la clôture d’une session du Parlement.

    D’une docilité exemplaire, il est en plus âgé (77 ans) et malade. Il lui sera de ce fait difficile de résister aux pressions qui ne manqueront pas dans la période à venir.

    Bedoui, un novice proche de la famille Bouteflika.. Le Premier ministre du dernier quart d'heure de l'ère Bouteflika, Noureddine Bedoui n’a pas plus de chances d’être accepté, même si, comparé à Bensalah, il fait figure de novice dans le système. Cet énarque a occupé son premier poste politique en 2013 seulement, quand il a été nommé ministre de la formation professionnelle dans le gouvernement Sellal. Un ministère où un certain Nacer Bouteflika exerçait comme secrétaire général.

    En 2015, il devient ministre de l’Intérieur. Il a notamment organisé les élections législatives et communales de 2017, avec les mêmes soupçons de fraude que les précédentes. Très proche de la famille du président, il n’a cessé de prendre du poids au sein du gouvernement.

    Plusieurs pressenti comme Premier ministre, il finira par occuper le 11 mars dernier. Pour remplacer le très impopulaire Ouyahia en pleine révolte populaire, c’est sur Bedoui que le cercle présidentiel a jeté son dévolu.

    Malgré son rejet par la rue, il a été maintenu lorsque la composante du nouveau gouvernement a été annoncée le 31 mars, soit deux jours avant la démission de Bouteflika.

    Belaïz, un fidèle parmi les fidèles..Tayeb Belaïz est un autre Tlemcénien. Il fait partie des nombreux responsables originaires de ce royaume Taflikien, promus par Bouteflika à son arrivée au pouvoir.

    Avant 1999, Belaïz était magistrat. Sa carrière connaîtra une ascension fulgurante à partir de cette année-là. Il est d’abord nommé membre de la commission de réforme de la justice, puis, en 2002, ministre de l’Emploi et de la Solidarité. En 2003, il devient ministre de la Justice.

    Homme de confiance de Bouteflika, il est désigné à la tête du Conseil constitutionnel en 2012, avant de revenir au gouvernement une année après comme ministre de l’Intérieur. Le 10 février dernier, Bouteflika le nomme de nouveau président du Conseil constitutionnel en remplacement de Mourad Medelci, décédé en janvier.

    Le président avait alors transgressé la règle constitutionnelle qui stipule que les membres de cette institution ne peuvent faire plus d’un mandat. Le souci de Bouteflika, qui s’apprêtait à briguer un cinquième mandat surréaliste, était d’éviter toute mauvaise surprise, cette institution ayant la prérogative d’accepter ou de rejeter son dossier.

    Belaïz prouvera à Bouteflika qu’il ne s’était pas trompé en lui faisant confiance. En dépit des appels incessants à déclarer l’empêchement du président pour raison médicale, lesquels appels émanaient même de l’armée, Tayeb Belaïz n’a pas bronché. Il est resté fidèle à Bouteflika jusqu’à ce que ce dernier lui remette en mains propres sa lettre de démission mardi 2 avril.

                                                                IMG_87461-1300x866                                                                                                                                Qu'est-ce-que veut dire une constitution

    L'armée fait le ménage après Bouteflika..Quand le sage regarde la lune l'idiot regarde le doigt. En Algérie de l'après Bouteflika, Gaid Salah paniqué par le poids de la charge, il regarde les deux, sans pouvoir mener à bien la mission du bon parrain de la circonstance. Il parle, il menace, il se contredit ignorant ce que lui attribue la constitution du point de vue prérogatives pour agir à gauche ou à droite.

    La forte mobilisation des Algériens qui ne faiblit pas sur le terrain et leur refus catégorique des solutions imposées ont contrait, encore une fois, Gaïd Salah à s’exprimer; à tort et à travers, pour tenter de désamorcer la situation.

    Et ce n’est pas gagné, d’autant plus qu’il a pris position en faveur du processus actuel en mettant en avant la nécessité d’appliquer la constitution dans toute sa rigidité ! il a également évoqué la “main étrangère” pour se sauver en avant car il croyait si simple, qu'avec ses sales bottes il arrivera à gérer un pays comme l’Algérie comme s'il s'agit d'une écurie de ses casernes. 

    D'autre part, la sécurité militaire du nouveau Roi de l'Algérie ont commencé à  enquêter avec la bande de Said Bouteflika, de façon entrecoupée et parfois discrète. En l’occurrence avec : Said Bouteflika - Mokhtar Rafik ex-chef de la chancellerie - le général Athmane Tartak - le général Toufik - et Ali Haddad, le banquier de tous.

                             

     Faut-il souligner que le général Tartak constitue pour GaidS Salah la bête noire et l'adversaire ennuyeux. Il était son farouche au sein du clan présidentiel. Le coincer directement devient une atteinte au corps de la junte miliaire.. L'écarter serait bien l'option la plus fiable comme il a été le cas avec les généraux Benhdid,Hamel,Ghediri et autres.

    Limogé ou démissionné, peu importe..L'information revient au dernier quart d'heure de l'ère Taflikienne elle rentre dans la gestion de l'après Bouteflika, et reprise comme "flash" par la presse locale engagée pour désorienter et faire préoccuper l'opinion publique locale par des futilités suite aux clins d'œil de l'ex-caporal Français Gaid Salah.

    C'est pourquoi et malgré sa stupidité avancée, Gaid Salah ordonnait de  le dissimuler dans le rang d'autres inculpés de taille  pour y être interrogé par ses chiens de la sécurité militaire, lesquels auraient reçu son ordre de ramasser le maximum de chefs d'accusation accablant contre Tartak pour l'écrouer et l'éjecter totalement de la scène.

    Ainsi, le bougre Chef de l'armée récupère en parallèle les services de renseignements. Après le départ de Tartag, la DSS est désormais rattachée à l’armée, après avoir été sous la coupe des Bouteflika, depuis 2015.

    Et ce n'est pas fini. C'est l'occasion ou jamais. Il faut vaciller ce corps adverse de l'armée et l'affaiblir par anéantir ses compétences qui menacent  le vert et le sec,surtout quand il s'agit du militaire. C'est la conviction d'un ex-caporal Français Gaïd Salah. 

    Profitant du vide et de sauve-qui-peu, usant en arc de cercle de ses prérogatives de chef de l'armée, le bougre-Gaid Salah fait le ménage. Selon une source d'Alger, les chefs des services intérieurs  et extérieurs de la DSS, ainsi que le chef de. la gendarmerie Algérienne fraîchement  installé, pourraient être remplacés à  la tour. Selon la même source ces trois généraux seront remplacés par d'autres généraux beaucoup plus proches du Gaid Salah.

    Comme toutes les choses qui, dans l’ordre de la nature, naissent et croissent trop promptement ne peuvent avoir des racines assez profondes et des adhérences assez fortes pour que le premier orage ne les renverse point. C’est ce que Machiavel disait des principautés nouvelles qu’on acquiert par les armes d’autrui et par la fortune.

    Dans le cas de l’Algérie, qui n’a jamais cessé d’être gouvernée selon un modèle de pouvoir héréditaire – dans sa conception de l’Etat, ses institutions et la source de sa légitimité –, son indépendance, non seulement, elle a été confisquée, mais les généraux l’ont pris en otage pour l’inféoder à leur propre désir de veulerie. Ils ne sont, certes, pas de la même famille, mais partagent la même infamie, avec laquelle, ils se sont succède – bousculés – sur le trône, en léguant, après chacun de leur passage, une bête, beaucoup plus immonde que celle qu’ils ont trouvée.

    L'Algérie est probablement à la veille d'un grand basculement idéologique que les algériens n'auraient jamais cru possible..

    Tout va basculer au sens positif. Ils arriveront certes à atteindre le cap de la vraie démocratie et y respireront pleinement sans compte-gouttes de la démocratie de vitrine,faute de quoi,ils seront contraints de rentrer dans la logique d'une guerre civile.

    Notez enfin qu'un des proverbes Français dit : le crapaud aime de l'eau, mais pas de l'eau chaude.

    Pour Gaid Salah c'est de l'eau chaude qu'aura en  face . Une eau bouillante qui coule de la rue Algérienne et que la peau d'un vieux caporal de l'armée Française ne peut supporter dans d'incertitude sur l'intérim de Bouteflika. Une mission nouvelle qui va tirer les bretelles à une cervelle de "Gomi¹"  qui appartenait à un système pourri.

    Certains espèrent une sortie de crise par une transition douce. Mais ce n’est pas dans le tempérament de l’armée et de ceux qui ont tant profité du pays. Attendons plus de  manifestations pour gommer le système au petit feu.

    Ce que je constate,comme beaucoup d'autres observateurs, de cette situation stérile du pouvoir, les Algériens sont déterminés à protester et protester davantage disant  en plein bouches  de millions d'assoiffés Algeriens à Gaid Salah ce que représente cette photo d'ex-caporal de l'armée française, devenu du jour au lendemain,  par stupidité  flagrante un dictateur.

    Les Algériens refuseront cette révolution du palais d'AlMoradia menée par le bougre de l'armée Algérienne. Et ça serait certes un aiguillon politique à vocation forte que la rue Algerienne ne cesse de mener depuis le 22 février défendant  pacifiquement les revendications du peuple Algérien.! Tant que ce GOMI  se réjouit de faire l'autruche du système après avoir servi de liévre pour Bouteflika.      

                              N'oublions pas la cause Nationale...

    Le polisario est dans le bagage du partant.. La-bas à Addis Abeba, l'autre maudit algérien Smail Chergui pleure, aux larmes de sang, la tribulation ayant touché son pays l'Algérie.Cette disgrâce inopinée vient s'ajouter aux autres ingrédients déjà cumulés, pour l'éjecter hors de l'enceinte du Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union Africaine. Un  CPS considéré jusqu'ici le propre-fief de l'Algérie à l'UA. d'où il distribue les ordres sans concurrence depuis plus de 20 ans.

    Faut-il rappeler que ce Smail Chergui était le maître incontestable de cette importante institution Africaine qui bouffe les 2/3 du budget de l'organisation, par laquelle il dicte ses ordres, de maître blanc aux esclaves, sans aucun recours ni appel.

    Or, avec le retour du Royaume du Maroc à son fief Africain, l'Afrique se soigne d'elle-même et reprend ses bons souffles pour reconquérir sa crédibilité qu'elle avait perdu en l'absence du Maroc en tant qu'organisation continentale respectée.

    Selon l'avis du Conseiller juridique de l’Union Africaine, le Conseil paix et sécurité de l’organisation panafricaine ne pourra plus sous domination Algérienne  «soulever, citer ou se référer à la situation au Sahara Marocain de quelque manière que ce soit». Un avis confirmant que le CPS devra se tenir à une décision prise par les chefs d’État et de gouvernement.

    Pas question dit-on à Addis Abeba, désormais, l'avis émis par le Conseiller juridique de l’UA donne une portée juridique à cette décision comme l’indique la missive libellée par le diplomate nigérian qui précise que le CPS ne pourra plus « faire cavalier seul et jouer le malin, provoquant de la perturbation au nom de l'UA». 

    Avec l’avènement d’une nouvelle Algérie, libre et décomplexée, il est fort probable que la page de ce conflit sera tournée. Parce que la question du Sahara fait partie intégrante du système affairo-militariste qui gouverne l’Algérie depuis 1962.

    Le Maroc continue d’observer les manifestations en Algérie en étant discret. Normal. Il ne peut qu’être solidaire du peuple algérien qui fait preuve d’une maturité exceptionnelle et d’une discipline remarquable.

    Le Maroc ne demande pas mieux que l’Algérie se développe, s’épanouisse et se démocratise. C’est en étant heureuse qu’elle cessera d’avoir à l’égard de l’intégrité territoriale de notre pays une attitude négative: ce qui bloque toute solution à un conflit créé de toute pièce. Jamais le Maroc n’a cherché à créer des difficultés à la politique de son voisin de l'Est.

    En tout cas, c’est le maudit Boumediene et son gamin Bouteflika que la malédiction divine soit toujours sur eux qui ont créé, structuré et mis sur pied ce mouvement séparatiste.

    Toute la politique étrangère  de l'Algérie a été marquée par la défense et le soutien de ces séparatistes. Ainsi, si effectivement Bouteflika vient de quitter le pouvoir sous la pression de la rue, c’est toute sa politique qui sera désavouée et mise à la poubelle. Il s’en ira, le Polisario dans ses bagages.

    Les Algériens ne demandent pas mieux que d’entretenir de bons rapports de voisinage avec le Maroc. Le système en place est de plus en plus isolé. Il n’y a pas que les jeunes assoiffés de liberté et de dignité qui sont dans la rue, les gardiens de la mémoire de la lutte pour la libération de l’Algérie rejoignaient les manifestants. Bonne lecture.

                                                            Cordialemenla,Chihab25       

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    GOM¹ : Groupement d'Outre-Mer à l’époque de la France coloniale.