Est-ce bien raisonnable d'écrire encore sur une Algérie perdue ..!?
( Spécial 20 Août..)
Le 21 Août 2016..Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste a appelé, samedi soir (20/8/16) à l’occasion du 63° anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, au renouvellement de l’engagement et de la solidarité sincères qui unissent depuis toujours les peuples algérien et marocain. .
Par la même occasion, Sidna a considéré que la commémoration de la glorieuse révolution du Roi et du peuple est « Une étape historique qui portait la marque de la coordination et de la solidarité entre les Chefs de la Résistance marocaine et le Front de libération nationale algérien ».
Comme il a rappelé aussi que « le Maroc a apporté un soutien matériel et moral à la révolution algérienne, en butte à une campagne violente engagée à son encontre par les forces coloniales qui entendaient la réduire à néant et que le soulèvement et la solidarité des Marocains ont contribué à« redonner vie à la Révolution algérienne ».(..)
Il est souhaitable de souligner pour ma part, essentiellement pour ceux qui ne connaissent pas la mauvaise foi des algériens que ces nobles paragraphes irriteront bien la mentalité malade des algériens et ce, à cause particulièrement d'orgueil, d'arrogance et d'égoïsme, dont ils sont porteurs. A cet effet je demanderai pardon à Sidna, si je me permettrai de dire que cette bonne volonté Royale émanant de chef d'Etat crédible, ne trouvera en Algérie d'aujourd'hui de bonnes oreilles pour l"écouter et l'apprécier, si non que de se moquer de tout appel Marocain qui s'inscrit dans ce genre d'attitude.
Mais bien sûr, nous entendrons probablement à cet égard, et dans l’affolé hypocrite algérienne, des sorties médiatiques encourageantes et non pratiques de la part des dirigeants algériens, étant donné que l’Algérie malheureusement a perdu dans les courants de temps la crédibilité du discours, après avoir enterré ses personnalités historiques dignes de bonne foi. Elle en compte actuellement que des arrivistes (les janvieristes comme on les dénomme là bas), des opportunistes et de thuriféraires et que tout appel Marocain, quel qu'il soit, partira en fumée, comme le dit le dialectal populaire « On encense le chameau "debout"». Bonne lecture. Cordialement,Chihab25
Sa Majesté le roi avec le président Ali Bongo Ondimba du Gabon
Vers un retour triomphal..Dans cette note j’aborderai deux points de vue.Le premier sur le retour triomphal du Maroc à la famille Africaine, et ce à la suite du souhait d'un de mes lecteurs Marocains résident à Paris. Le second, et c'est le vif du sujet principal de la note, sur un putsch éventuel en Algérie. Mais avant de passer à l'acte, je dois dire qu'au moment où le Maroc recase ses pions sur échiquier d'Afrique, la presse algérienne enragée sort de sa coquille propagandiste et lâche ses chiens pour aboyer et pronostiquer sur les événements, à sa manière, comme à l'accoutumée, d'inventer des alibis pour la consommation locale s'interrogeant sur : Ce que cache dit-on la visite surprise, le samedi 16 juillet, de deux grands responsables Marocains en Algérie. MM.Nacer Boughita et Yacine El Mansouri, respectivement ministre délégué aux affaires étrangères et patron de la DGED qui ont effectué effectivement, une visite éclaire à Alger. Ils ont été porteurs d’un message destiné à la carcasse du mort-vivant Abdelaziz Bouteflika.
Le meilleurs chroniqueur de cette presse qualifie cette visite de "surprise" et avance qu'elle intervient alors que s’ouvre ce dimanche 17 juillet le soi-disant sommet de l’Union africaine (ex-OUA) dans la capitale rwandaise, Kigali. Il rappelle à ses lecteurs la présence sur place de Mr. Salaheddine Mezouar qui disait-il représente le royaume en tant qu’observateur, avant de se demander sur la concomitance de ces deux événements qui ne lui semblent pas fortuite et que cache-il donc pour lui l’agenda Royal pour l'Afrique. Les agitateurs de cette presse ont oublié que le méchant pouvoir algérien, ennemi juré du Maroc,met tout son paquet que pour verser son fiel contre la grandeur du Royaume du Maroc et sa Monarchie.
Je vais pas me plonger en profondeur pour parler Afrique, dont je ne suis ni analyste ni chercheur, ni de parler d'Edem Kodjo l'ex-SG de l'organisation, et son empreinte suspecte qu'il a déposée sur le front de l'ex-OUA. C'est aux spécialistes de l'Afrique d'en développer et d'analyser largement le sujet. Ce que je sais et tout le monde le sait,c'est que le Maroc a claqué la porte de l’ex-Organisation de l’unité africaine (OUA) en 1984 pour protester contre la présence abusive du pétro-dollars algérien qui a considérablement fait un effet énorme sur les pays corrompus,et qui malheureusement a provoqué l'éclatement de la raison et de la crédibilité et a fait dévier l'organisation de sa tangente normale par la reconnaissance d'une pseudo-Rasd au détriment de l'intégrité territoriale du Maroc et de son honneur.
Depuis, le royaume chérifien applique une politique de la «chaise vide». Sa Majesté le Roi que Dieu l'assiste a bien voulu dire au monde que l'heure de la raison et de vérité est revenue pour mettre terme aux acrobaties de l'Algérie dans cette ce groupement continental.Le Maroc est en plein tractations pour un retour triomphal, amplement demandé au sein de l’Union Africaine et que le polisario est poussé vers la porte de sortie. C'est une question de temps selon Mr. Salah Eddine Mezouar ministre Marocain des affaires étrangères et de la coopération et la réintégration du Maroc devrait être votée à l’unanimité en janvier 2017.
Le Maroc est sûr de son retour triomphale, sûr de lui, capable de rassembler plus des 2/3 (36) de membres de l'organisation d'ici janvier prochain pour chasser le bâtard de l'Algérie et siéger confortablement comme il le souhaite. L’Algérie et son rabbin Ramdane Lamamra, ou plutôt l'Algérie et son peuple opprimé, verront bien avec amertume, que tout l'argent algérien (converti en dollars) qu'ils ont gaspillé durant les 32 ans écoulés pour maintenir le siège du Maroc toujours vide est parti en fumée. Et c'est de la politique d'autruche que poursuivent aveuglement les décideurs de la chose Algérienne en politique étrangère.Ce qui est sûr pour nous Marocains, c'est que après toute cette absence, la réintégration du Maroc au sein de sa famille africaine irrite et cristallise les nerfs de la mafia d' d’Alger.
Sa majesté le roi et le président Macky Sall du Sénégal
Pourquoi ce retour dérange-t-il l'axe Alger-Pretoria-Abuja..?. Il apparaît à l’évidence que le retour du Maroc à l’UA ne passe pas par Alger, qui sait bien que ce retour se fera aux dépens de la «RASD» qu’elle a créée et instrumentalisée à afin de nuire aux intérêts du royaume du Maroc. Et sur ce point précis, il n’est qu’à méditer sur les première réactions des gouvernants algériens (Sellal et Messahel) pour s’apercevoir de la préoccupation d’Alger quant au retour annoncé du Maroc dans le giron de l’Union africaine. La panique en leur dictait des sorties médiatique spontanées, je citerai en exemple la réaction des officiels supposés concernés directement, sans parler de la presse qui déforme avec préméditation toutes les réalités se rapportant :
-.Pour Abdeslmalek Sellal, le premier jongleur du gouvernement algérien «Vous voulez rentrer, vous rentrez mais sans conditions. Il n’y pas de conditions ni de gel ni de retrait ou de suspension - Oui si vous voulez suspendre le polisario, mais pas la Rasd - Le Maroc doit faire demande d'adhésion et pas de réintégration à l'UA étant donné que l'OUA est morte et enterrée en son absence».
-.Pour Abdelkader Messahel, ministre aux affaires africaines, arabes et Maghrebines «La suspension ne se fait que dans un seul cas, c’est lorsqu’il y a changement anticonstitutionnel dans un pays par un putsch», fin de citations.
Ces derniers semblent oublier qu'Alger avait été la première à avoir enfreint cette sacro-sainte loi de l'UA en défendant bec et ongles le retour de l'Egypte, sachant que son président-Maréchal Abdelfettah el-Sissi, était arrivé au pouvoir aux dépens de Mohamed Morsi, le président déchu et de ses frères musulmans.. Oublier aussi que la Mauritanie est restée au sein de l'UA, quoique son général Mohamed Abdelaziz est arrivé au pouvoir en 2008 non par la voie des urnes mais par le biais d'un coup d'Etat. Loin de ces alibis, egardez cette vidéo dans laquelle Mr.Tajeddine Lhoussaini, professeur de relations internationales à l'Université Mohamed V à Rabat, parle, via Sky News arabic, de la victoire diplomatique Marocaine dans ce sens. https://www.youtube.com/watch?v=J0gWL8Ru_6M
Des réactions paniquées et controversées qui dénotent, de manière à peine voilée, la crainte algérienne de l’expulsion de la «RASD» mais aussi la perte de son hégémonie, avec Pretoria (Afrique du sud) et Abuja (Nigeria), au sein de l’organisation panafricaine. Est-ce d'ailleurs un hasard si Alger, Pretoria et Abuja sont les plus grands contributeurs de l’instance panafricaine? pourrait évidemment multiplier les contre-vérités, mais abrégeons : crainte de l’expulsion de la «RASD», peur de la perte d’hégémonie mais aussi (et surtout) des règles du jeu démocratique qui, au sein de l'UA, reste une "résolution sans cesse reportée devant l'ampleur de la corruption"
Mohamed VI et Macky Sall, un moment de spiritualité.
Parlons clair, parlons vrai : l’Union africaine ne doit plus faire figure de syndicat pour les dictatures, les peuples étant le cadet des soucis d’une bonne partie des chefs d’Etat et de gouvernement africains. Le retour annoncé du Maroc, modèle continental en termes de démocratie et de pluralisme, va certainement renverser la tendance et faire passer l’UA du stade de «syndicat des dictatures» à celui, appelé des vœux des peuples africains, de tremplin vers la démocratie. Voilà pourquoi le retour du Maroc au sein de l’UA dérangerait le plus.
Pour terminer ce volet, le Souverain, rappelons-le a affirmé, dans son courrier au 27° sommet de l'Afrique, je cite : «Que les pays africains ont été nombreux à demander au Maroc de réintégrer sa place naturelle au sein de sa famille institutionnelle africaine et qu’il avait décidé d’y répondre positivement ». Un retour historique et légitime à même de transcender les divisions qui secouent le continent africain et de renforcer davantage la dimension africaine d’un Maroc engagé dans le grand chantier du développement durable de l’Afrique dans le cadre d’une coopération Sud-Sud exemplaire et selon une démarche de partenariat “gagnant-gagnant”.
Aujourd’hui, le moment est venu pour les pays membres de l’UA de corriger l’erreur monumentale commise il y a 34 ans en acceptant en son sein un soi-disant RASD qui ne dispose pourtant pas des attributs juridiques qui font un Etat, et ce, de manière illégale et en violation des statuts de l’ex-OUA.
Il est acquis que la sagesse africaine guidera très certainement les dirigeants du continent africain vers le rétablissement de la légalité avec une décision historique actant le retour du Maroc au sein des institutions de l’Union Africaine. D’ailleurs, à l’annonce officielle de l’intention du Maroc de reprendre son siège au sein de l’UA faite par le Roi, la motion du président Gabonais en vue d’une suspension rapide de la fantomatique RASD des activités de l’UA et de tous ses organes ont déclencher la panique à Ramdane Lamamra. Il ressort donc que le Souverain vient, de la manière la plus claire, d’acter le choix d’une diplomatie offensive afin de mettre un terme définitif aux stratégies hostiles au Maroc adoptées par l'Algérie et ses pays subordonnés faisant parties hostiles à l’intégrité territoriale du Maroc et de mieux défendre ses intérêts.
Le retour annoncé du Maroc au sein de l’UA, tant attendu par les élites politiques du peuple marocain et la famille africaine, ne constitue en aucune manière une quelconque reconnaissance de l’entité fantoche, mais un premier pas vers la correction d’une grosse erreur juridique, désapprouvée par les 2/3 des membres de l’UA qui ne reconnaissent par la pseudo-RASD. Si le clairon a sonné à Kigali, le glas a retenti à Rabouni, fief des polisariens installés pompeusement à Tindouf. A Kigali, le Polisario et son sponsor algérien viennent de subir une nouvelle défaite diplomatique. Cela confirme, si besoin est, que le mouvement désormais dirigé par l’Algérie à travers sa nouvelle marionnette Brahim Ghali est aujourd’hui en pleine déliquescence. C'est fini, les clown à ce qu’on voit depuis 41 ans dans le cirque à Tindouf et qui font des représentations au palais d’Al Moradia d'Alger sont épuisés. L’affaire pétrodollars est morte, ça y est, c'est fait, le Maroc à tué l’œuf dans sa coquille.
Sa Majesté le roi saluant une foule Africaine de notables
Depuis plus d’une année, Amar Saâdani, le Drabki de l'FLN, comme Ahmed Ouyahya, l'hypocrite de tous les temps au RND, les deux de ces principaux partis politiques du pays, répètent sans cesse aux Algériens une seule et unique chanson : C’est le président Abdelaziz Bouteflika qui détient les pleins pouvoirs et toutes les autres institutions lui sont obéissantes. Tout comme en Turquie, le mythe de la fin de l’Etat parallèle (pas l'Etat parallèle de notre Pjdiste Benkirane) avec la dissolution de la police politique du DRS, annoncée en grande pompe par les thuriféraires du Palais d’El-Moradia, s’était bien enraciné dans les esprits au point où les Algériens commencent réellement à croire que les militaires n’ont plus aucun mot à dire sur les affaires politiques du pays. Comme en Turquie, selon les observateurs, l’armée en Algérie est souvent perçue comme un corps solide, fort, stable et un rempart à l’islamisation du pouvoir. Comme en Turquie, les Algériens ont l’impression que le pouvoir se resserre autour d’un seul homme, une seule institution.
Voilà que le FLN et le RND et leurs héros sont associés à l'heureux gâté d'Alger, ils sont ses crieurs pour passer des messages et des intentions au peuple et aux générations de vieilles hyènes de l'Algérie, et que les soi-disant 15 cents martyrs, sont passés par pertes et profits pour plaire aux maîtres d’hier. Faut-il aimer à ce point la lumière d'un royaume qui vient accidentellement de Tlemcen pour porter, comme une honte, une famille d'indigènes enfantée par une gérante de bain maure à Oujda au Maroc et un père vendeur de figues de barbarie. Je crois, voire je constate que le peuple algérien a dégoutté depuis longtemps d'entendre parler de ce prince héritier et son jumeau Zakaria, car la meilleure des punitions à infliger à lui et à son mort-vivant qui tiennent à la gloire à tout prix, fut-elle éphémère, c’est de ne pas mentionner leurs noms ni leurs œuvres de corruption dans l'histoire de l'Algérie récente.
Or, au cœur du sérail, aucun élément concret ne garantit réellement aux algériens le bien-fondé de cette “union sacrée” autour d’Abdelaziz Bouteflika. Comme l’armée turque, l’armée algérienne n’est plus ce corps uni lié par une idéologie comme ce fut le cas durant les années 90, les années de la décennie noire. Les multiples changements opérés par le régime d’Abdelaziz Bouteflika ont suscité de véritables divisions qui sont apparues au sein même de l’armée. Un général à la retraite a passé plusieurs mois en prison pour une simple déclaration politique considérée comme un appel à sédition. Au mois de juillet de l’année dernière, les jours de l'Aid rappelons-le un incident a éclaté à l’intérieur du périmètre de sécurité de la résidence présidentielle de Zéralda où le Président Bouteflika passe le plus clair de son temps. Une quantité d’explosifs a été découverte et des coups de feu ont été entendus. Plusieurs sources bien informées ont considéré qu’ils s’agissait d’une véritable tentative d’attentat contre le Chef de l’Etat dans le but de… le renverser. Trois puissants généraux ont été limogés à la suite de cet intriguant épisode.La rédaction du blog avait libellé à temps une note dans ce sens.
Comme en Turquie, en Algérie de nombreux politiques et observateurs ont affirmé avec beaucoup de certitudes que le Palais d’El-Mouradia, dirigé pourtant par un surnommé Abdelaziz Bouteflika, très malade et fatigué voire un cliniquement mourant, aurait domestiqué définitivement les décideurs militaires au clan Gaid Ahmed Salah, devenu le vrai maître de l'Algérie, aux voies libres dépierrées de tout obstacle.
Selon les informations en provenance d'Algérie à nos ressortissants limitrophes de la frontière algérienne, beaucoup d'algériens qui ont des liens avec les hyènes du parti FLN rapportent que certains proches du cercle présidentiel ont même célébré l’avènement d’un “pouvoir civil” à la suite de la restructuration des services de renseignement, le DRS, la mise à la retraite forcée de son Général Toufik.et l'appel à rescousse adressé au général à la retraite Bachir Tartak, dans la perspective d'ouvrir une nouvelle page d’après Bouteflika.
Mais d'autres du même catégorie, sont sceptiques et ne croient pas au changement, y sont pessimistes au sujet de l'avenir de l'Algérie. Selon ma propre conviction, ils craignent le retour en force de l'armée à la scène politique après l'humiliation qu'elle a subie (limogeage prématuré, emprisonnement et mise en retraite forcée et proportionnelle de ses cadres et généraux) à cause de l'ingérence indirecte dans ses oignons par le frère du président Bouteflika, et y sont convaincus que quelque chose se préparait dans l'ombre, prenant en parallèle en considération, le "feu sous la cendre" que serait en train de leur préparer éventuellement Aâmhom Salah.
C’est dire que l’Algérie n’est guère à l’abri d’un scénario à la turque. Il suffit, comme en Turquie, qu’un groupe d’officiers se rebelle pour créer une situation confuse et dangereuse. Les récents événements qui ont secoué la Turquie ont démontré qu’un groupe de putschistes peut rapidement prendre le contrôle de sites stratégiques comme les aéroports ou les sièges de gouvernement, du parlement et de la télévision publique pour ensuite tenter de renverser le pouvoir politique. Le contrôle absolu qu’exercerait l’Etat-Major sur les troupes et les officiers peut facilement s’avérer être une illusion trompeuse.
Sa Majesté le roi en bain de foule au Mali
Quoi pour l'étape d'après.? Les principaux détenteurs du pouvoir (le prince héritier d'Alger et le caporal Français) sont apparemment passés à l'action, chacun en ce qui le concerne, pour consolider sa place. On apprend à Alger que le torchon brûle et s'agite entre ces deux belligérants, au fur et à mesure que la situation s'aggrave au pays qui plonge davantage dans le chaos. Chaque partie tente,bien que mal, de présenter une alternative à la situation actuelle de statu quo en Algérie. Said Bouteflika cherche de rassembler autour de lui des sympathisants et fait secrètement des rencontres au cours desquelles il souhaite gagner le soutien pour la succession de son frère Abdelaziz Bouteflika.
Cette succession, rappelons-le, préoccupe autant la presse internationale qu'Algérienne. Le journal arabophone édité à Londres, Al Quds Alarabi du palestinien Abdelbari Atwane, révèle des rencontres « secrètes » du frères-conseiller du Chef de l’Etat avec, en plus, des personnalités politiques algériennes, en vu de préparer l’étape d’après-Bouteflika auquel se portera postulant.
Said Bouteflika aurait rencontré l’ancien chef du gouvernement du temps du président Chadli Ben Jdid Mouloud Hamrouche dans une villa sur les hauteurs d’Alger afin de discuter l’avenir du pays, rapporte la même source, qui parle d’une anticipation de la succession de son frère en place depuis 1999.
Le journal en question rajoute que celui-ci serait mis en mission de préparer le successeur à la présidence algérienne tout en imposant des conditions sur le maintient des intérêts du cercle présidentiel et proches de la présidence. D’autres sources prévoient des rencontres similaires avec les ex-chefs du gouvernement, Ali Benflis, l'opposant acharné de son frère et Ali Benbitour, qui pourraient être des personnalités qui feront le consensus d’une large frange des décideurs de cette succession.
On ne chôme pas ailleurs..De l'autre coté on ne chôme pas à la caserne Ben Aknoune, l'inverse est autre chose, il est de mise et se cache quelque part. Selon les points de vue de certains observateurs locaux, tous les changements opérés ces derniers temps, soi au sein du gouvernement, soi au sein de l'armée, auraient été soufflés au prince gâté de l'Algérie par le vieux caporal Français de l'armée Algérienne, en l'occurrence, le général Gaid Ahmed Salah, vice ministre de la défense et patron effectif de l'armée, pas pour les beaux yeux de Said Bouteflika, ni pour remédier à la situation, mais probablement il semble vouloir à tout prix succéder à Bouteflika.
Et pourquoi pas?, puisque toutes les pistes qui ramènent au palais d'Al Mouradia sont bien aménagées sur son ordre et que c'est lui qui veille sur l'Algérie en ce moment par ses divers œils magiques.Cela étant lui donnera l'appétit pour s'emparer des destinées de l'Algérie, marchant sur les traces suivies jusque-là par ses prédécesseurs disparus de la scène, un à un et devant sa faiblesse en un certain moment donné.
Etant malgré lui, l'homme fort de la circonstance, en ce temps de vacance constitutionnelle et institutionnelle du pouvoir d'Alger et après les départs circonstanciels des loups solitaires de l'armée! pourquoi pas ouvrir la voie à des ambitions, même si elles seraient plus fortes à la Cabeza d'un caporal Français de cavalerie..!. Avant même le complot militaire en Turquie contre la démocratie, ce général marchait en pas du sauveur potentiel de l'Algérie, il remarquait en douceur les va-et-vient, tenant dans son bec un tube-doré de tabac à chiquer (chemma). Par les faits, il devient certain que le pouvoir d'Alger meurt devant ses yeux, à petit feu et plonge davantage dans l’abîme du flou et que le pays souffre d'une instabilité politique et sécuritaire critique. Pour y intervenir, le cas échéant, il se prépare.
Après le putsch avorté du 15/16 juillet 2016 en Turquie que la raison humaine et universelle a condamné, des voix se sont exprimées et des analyses ont été proposées pour enrayer cette dérive accolée à la démocratie par des apprentis militaires. Ça ne serait pas le cas pour Algérie, dont la situation est devenue trop moisie plus que le normal. Ce qui nécessite pour le bienfait d'y intervenir et sauver ce qui reste à secourir face à l'inconnu.
Pour les observateurs, en occident comme ailleurs, et comme chez nous au Maroc, (nous les officieux), on cherche toujours un "Spider man" qui peut percer le mystère du passage à l’action chez les militaires en Algérie et on attend aussi les comploteurs de l'armée Algérienne qu'ils remettent la clé dans la serrure et se donner le courage à manifester et foncer le statu quo qui sévisse en Algérie depuis fort longtemps.
L’un des nôtres privilégiés (tatoué en initiales spéciales) C'est un quelqu'un qui, du jour au lendemain, le destin lui a bien sourit pour jeter les cordes-attache de camelins de ses ancêtres et voir sa vie se bouleverser à "380 degré "en prospérité de classe inattendue, pour monter et conduire une Porsche ou une Hammer. C'est un quelqu'un, réputé dans son milieu, pour être trop attiré par la poussière (business) provenant de l'est du Royaume et du sud, s’est distingué par des contorsions qui n’ont rien à envier à la chose algérienne, tant qu’il s’agit de s’attirer les grâces et les largesses du peuple algérien dépourvu de sa souveraineté.Et de quelles grâces et largesses s'agit-il d'abord ?, surement de la contrebande, du psychotropes et du tabac jaune, pour ne pas dire de la pêche en haute mer (!).
Dans un salon de confort privé se situant au triangle (Agdal-Souissi-Hay Riad à Rabat) ce quelqu'un fait tout simplement un parallèle abject entre le conducteur d'un pays en panne, qui est l'Algérie et un général orgueilleux qui est prêt à tout, à faire n'importe quoi pour s'emparer d'un pouvoir errant, voire d'un pouvoir perdu - entre la caserne Ben Aâknoune et le Milk-Bar d’Alger.
Pas de surprise agaçante puisque les bourricots d'Alger sont pareils. Un des vieux caporaux Français vanté de grandeur et excité par le désir de toujours commander les dingues de sa génération, par le carnage en masse s'il le faut ; guette le moment propice pour actionner l'éternel recommencement de la violence, étant propre à son esprit de junte. C’est du moins ce qu'on peut espérer, nous les lointains du champs de parcours.
Mes lecteurs avertis se rappellent bien sur de la note portant le titre. «Quand Alger excite les démons de la belligerance en date du 13 mai 2016». Elle faisait allusion entre autres, à un pseudo-plan de vigilance arrêté,dit-on, par l'armée algérienne, pour la consommation locale surement, avant qu'il soit destiné à faire peur au Maroc.
Commentaires
الله يطول عمرك