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Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (11)

 
                          Ce que je crois, (16 mars 2017 )

Le Maroc:Victoire après victoire sur l'Algérie. Cette fois-ci Faouzi Lekjaâ met K.O l'Algésario Raouraoua...

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Le président de la Fédération Royale Marocaine de football (FRMF), Mr.Faouzi Lekjaâ a été élu, ce jeudi 16 mars à Addis-Abeba, membre du comité exécutif de la CAF, lors de la 39e Assemblée générale ordinaire de l'Instance africaine qui se tient actuellement dans la capitale Ethiopienne.

Faouzi Lekjaa avait comme seul rival pour cette élection de la Zone Nord de la CAF pour 2017-2021, l'Algérien Mohamed Raouraoua. Mr.Lakjaâ a battu la concurrence algérienne même dans ce volet sportif,  obtenant  'haut la main'«41 voix contre 7» voix pour Raouraoua qui était au comité exécutif de la CAF depuis juin 2004.

Rappelez-vous, c'est lui qui, atteint de forte hystérie, avait dit à El Jadida, à l'issue de la défaite de son équipe qu'il préférait être un des Polisario ou un "h'mar" que être Marocain. (41 à 7 voix!)  Imaginez-vous, ça ressemble bizarrement à la victoire de la réintégration du Maroc à l'UA (39 à 10). Ça y est tout le monde est bien éveillé, et l'Algérie descend à pas de cochon vers l'enfer. 

                             

L’échauffement militaire bat son plein à la frontière algéro-Marocaine..

 
 

Les experts en espionnage militaire des armées marocaine et algérienne ne chôment pas ces dernières semaines. Du côté marocain, on a relevé que l’armée algérienne utilise des drones de surveillance et d’espionnage pour déterminer les positions des FAR sur le territoire du Sahara marocain.

Ces données sont bien entendu livrées aux milices séparatistes auxquelles l’Algérie apporte un soutien logistique et technique. D’ailleurs,  on dit que quelques généraux de l’armée algérienne, ont effectué une visite aux camps de Tindouf et y ont rencontré les chefs militaires du Polisario, avec à leur tête Brahim Ghali pour  lui fortifier la morale et pousser ses milices à résister au silence Marocain et à ne pas lâcher la Lesse.

La réalité du terrain évoque autre chose. La mission de ces serviteurs du caporal Français Gaid Salah, le chef de l'armée algérienne se limitait à la réconciliation de Mohamed Lamine Old Bouhali l'ex-pseudo ministre de défense du polisario avec Brahim Ghali, dont le torchon brûlait, au grand degrés, depuis la mort de Abdelaziz Lmarrakchi.

Ould Bouhali, est Algérien de R'guibat Charq, il manifestait son désir de succéder à Mohamed Abdelaziz, ...après avoir exprimé son animosité à l'égard du nouveau chef du Polisario Brahim Ghali, imposé à la tête du polisario par le pouvoir central d'Alger. A signaler à cet effet que la dite délégation a été boudée, en signe de vengeance adressé à son compatriote Old Bouhali, par le chef du polisario, Brahim Ghali, qui a également ordonné à son agence de presse de ne pas couvrir l’événement.

Devant ces mouvements suspects, l’armée de l’air Marocaine(FRA) a effectué des vols de reconnaissance tout au long de la frontière, durant ces derniers jours et ne cesse de les faire ponctuellement. De même que les FAR ont fait fonctionner un système électronique de défense et à usage militaire qui leur a été dernièrement livré par une entreprise américaine spécialisée.

Avec ces  systèmes numériques de dernière génération, c’est une nouvelle ère qui est inaugurée et qui consiste à renforcer les capacités de défense des FAR, notamment par le biais de matériel électronique sophistiqué, devenu indispensable et incontournable dans les opérations militaires modernes.

A noter que le Maroc est le quatrième pays arabe à avoir bénéficié de ces nouveaux systèmes après le feu vert du Pentagone qui a autorisé une entreprise spécialisée à vendre ce matériel au Koweit, au Qatar et aux Emirats Arabes Unis.

Face à tout ça, notre armée royale consciente de son travail prestigieux elle constate qu'elle n'est pas militairement devant un panier de crabes. On sait que les chefs militaires de la racaille algérienne dite "armée" ont tout entrepris pour s’accaparer du mauvais et du bon de la ferraille pourrie des entrepôts de l'ex-URSS et de l'actuelle Russie.

C'est une proie qui a aiguisé l’appétit de ces personnes. Ce n'est pas pour dénicher la qualité ou la portée de ces ferrailles, mais pour uniquement commander et acheter sans connaitre même les prix applicables et ce pour en tirer profit, s'enrichir, imitant les prédécesseurs du genre des généraux Mohamed Lamari, Khaled Nezzar et les autres fugitifs qui ont pris le beurre et le prix du beurre pour s'installer tranquillement à l'étranger. 

Sans héritier déclaré, l'armée algérienne ne laisse pas de testament de fidèleté pour personne, on rentre pour prendre son pot de vin et on sort aux termes de l'impunité. Ceux qui y restent pour meubler le champs militaire sont les hatistes, des chômeurs dans leur majorité, psychopathe et de toxicomanes. Et pourtant les nôtres ne négligent jamais un comportement frivole qui peut émaner, à chaque instant, de ce monde d'ébriétés.

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En preuve, les mouvement d'échauffement observés dernièrement dans ce qu'ils appelle la 3ème région militaire de Tindouf et l'appui déclaré au profit de leur création polisario sont pris au sérieux par les faucons de Sa Majesté le Roi. Nos FAR sont là, doigt à la gâchette, pour parer à toute éventualité.Même si le but de cette musculation s'avère propagandiste, pour la consommation locale d'une part, et d'autre part, pour temporiser tout en gardant les brebis de la famille dans l'attente d'inhumer le cadavre  de leur "Ariel Sharon"et de voir où va s'arrêter la guerre de succession qui tracera, certes, le sort de l'avenir de l'Algérie après l'évaporation du royaume de Tlemcen..   

D'autre part, malheureusement dans ses bureaux climatisés, aux quartiers chics de Casablanca et Rabat, certaines tribunes de la presse Marocaine se réjouissent de nous faire part du danger algérien en publiant une information, qui fait peur qu'aux plumes de la presse jaune, en l'occurrence : «L’Algérie déploie des missiles de longue portée à la frontière avec le Maroc» et plus pire encore, elles décrivent leur puissance, la portée, la fabrication et dans quelle académie militaire les officiers algériens qui devaient les manipuler sont formés!.

Et pourtant pour nous simples citoyens, une telle information intervient, parait-il, en ce temps de tension, que dans le cadre du chantage militaire qu''opère actuellement la racaille du général-bougre algérien (GAS), pas plus.

Ce n'est pas pour passer à l'action et déclencher effectivement, le cas échéant, ses missiles, mais uniquement pour se montrer fort aux siens et qu'il est le seul garant de l'Etat algérien en l'absence du chef de bord et qu'il sait bien comment paître les troupeaux de la famille en règne.

On nous apprend que des rapports de plusieurs services secrets font état du déploiement par l’Algérie d’un certain nombre de batteries de missiles de type X et X et encore X, tout au long de la frontière jouxtant le mur de défense érigé par notre armée Royale autour des provinces sahariennes.

Ce déploiement aurait été initié par les décideurs de la 3ème région militaire de Colomb-Bechar, embarquant leur ferraille vers Tindouf à partir de la base d'Abadla. Une base militaire,rappelons-le, sise au Sud-Ouest de ce qu'on appelle, " Quartier", construite en 1954 par les Français à la l'embouchure du Oued et du Hamada du Guir, pour être baptisée en "hamaguir".

Mais de quels services secrets s'agissait-il? Le journaliste qui rapporte l'information ignore certainement, que se sont les Algériens qui sont derrière pour les raisons citées, quelque part, dans ce même article. Et pour maintenir plus, la pression sur Mr. Antonio Gueterres le SG de l'ONU qui doit présenter son rapport (son premier rapport d'ailleurs) sur le dossier du Sahara Marocain à l'horizon de la réunion périodique du Conseil de Sécurité en avril prochain.

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L'anecdote de nos braves combattants des Ait Atta dans la tribu du Caid Assou Obaslam qui se sont soulevés contre le colon Français à Bougafer, Saghro en 1933 dans l'anti-Atlas au sud du Maroc (photo) et avant eux en 1914, par la bataille d'Elhri des Amazighes Zayanes dans la région de Khénifra¹, nous disait spontanément en dialectal : «Pour anéantir l'ennemi, il faut connaitre son arme». A l'heure 'H', le Marocain n'aura pas besoin de quelqu'un qui lui divulguerait les secrets militaires des autres, car il a des drones pour ça. Il me parait très indispensable de rappeler à cet effet, du fond de ce dicton que les troupes Marocaines aux fronts ne connaissent pas seulement le genre d'armes qui ont en face, ils connaissent même «la faiblesse mentale de l'ennemi, son arme et son degrés de résistance et de combativité». On ne croit pas aux illusions.

En preuve, les occasions, rappelez-vous, et les harcèlements militaires des Algériens nous en avaient appris beaucoup de leçons de combats et d'expériences, pas les moindres, pour en faire face à tout danger Algérien.Notre pays a malheureusement vécu des moments de combats féroces avec l'ennemi, qui n'est hélas qu'algérien (!) et à chaque fois il sortait vainqueur.C'est pour cela que les algériens tiennent beaucoup à se venger par le "bla-bla"et attraper en vain le mirage Marocain.

En plus notre suprématie militaire est renforcée,  en hommes et en matériel, je ne dirai pas plus. Par contre les algériens, et par arrogance font circuler, pour la consommation locale, un fausse supériorité de leur armée. Une armée qui, selon une source issue de caserne algérienne, est dépourvue de tout esprit de combativité, et que toute la racaille militaire algérienne est influencée par la peur de mort, vivant sous la pression d'un dicton empoisonnant l'esprit du soldat algérien, surtout les jeunes recrus "hitistes", qui répètent sans cesse, dans leur fond : «On va pas mourir pour la vie des autres ».

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                                               Lamamra

                                                    Lahmamra,L'agent distributeur de lait-Sonatrach

D'un autre coté le train algérien de propagande et de déformation ne s'arrête pas,il n'a pas de terminus. Ainsi Alger recrute des agents parmi des journalistes accrédités à l'ONU et en Europe.

Un journaliste américain vient d'être interdit de "couvrir" une réunion du Conseil de sécurité consacrée au dossier Sahara Marocain, au motif qu'il est un "agent" des services secrets algériens. Les articles qu'il a écrits ont souvent été à charge contre le Maroc et avaient donc de quoi mettre la puce à l'oreille.

Les services algériens ont-ils recruté des "agents" parmi des journalistes accrédités au siège de l'ONU, établi sur la rive est de l'île de Manhattan, au bord de l'East River, à New York? Une interrogation qui ne passe pas inaperçue. Toutes les langues des médias présents à l'ONU se posaient la question pour décortiquer la réponse, chacune en ce qui la concerne.

L'un des journalistes, l'Américain Matthew Russell, patron du blog "Innercity", vient de se fendre d'un article où il affirme lui-même avoir été interdit récemment de couvrir une réunion du conseil de sécurité consacrée au dossier du Sahara Marocain, au motif que "j'étais un agent des services secrets algériens". 

Une accusation que l'intéressé a réfutée catégoriquement arguant avoir "critiqué le Polisario aussi", et pour se  défendre et plaider innocence, il en veut comme exemple et pour preuve le fait qu'il ait montré comment le front séparatiste était en perte de vitesse et ("perdait des ambassades à travers le monde entier"). C'est une faible plaidoirie de non-sens, une réponse moins émouvante de quelqu'un qui se trouve en panique. Cela prouve que ce journaliste a bien dégusté le lait amer de la vache algérienne Sonatrach. 

D'autre part et dans le même sens, l’Algérie veut traîner la Tunisie au tapis de ses jeux diplomatiques de Ramdane Lahmamra (photo) pour la rappeler  à l'ordre, ou tout simplement l'ennuyer, l'accusant de soutenir de façon "dissimulée" la Marocanité du Sahara ?

A Paris Selon un chroniqueur algérien engagé par la diplomatie de son pays, la Tunisie a toujours été pour une intégration totale du Sahara au Maroc et ce depuis le début du conflit, dans les années 70. 

Je reprends ci-dessous l'intégralité de ce qu'il est chargé de dire.  Il s'appelle  Akram Belcaid, un ancien journaliste au magazine français, le Monde Diplomatique et contributeur au Quotidien d’Oran et des journaux algériens qui donnent plus.           

‘‘Dans le fond, la Tunisie aurait préféré une solution rapide avec une intégration du Sahara au Maroc, quitte à ce que les populations du Sahara bénéficient d’un statut spécial.’’

Dans une tribune qu’il a signé sur le site français, "Orient 21", sous le titre ‘Sahara: la Tunisie face à la rivalité algéro-Marocaine ’, le chroniqueur algérien assurant citer des sources diplomatiques tunisiennes de haut rang, a dit avoir recueilli auprès d’eux, la vraie position de la Tunisie sur l’affaire du Sahara.

Selon lui, derrière une façade publiquement officielle de ‘Neutralité positive’, Tunis serait pour une intégration définitive du Sahara au Maroc. Elle suggère un arrangement institutionnel et législatif qui ferait bénéficier aux ‘populations ’ d'un statut spécial au sein du royaume en concordance avec le statut d'autonomie présenté par le Roi du Maroc à l'ONU en 2007.

Cette position tunisienne pro-marocaine sur l’affaire du Sahara, indique le chroniqueur algérien, a toujours existé, et ce depuis le début du conflit dans les années 70. Il jette encore de l'huile sur le feu, remontant à l'époque de feu Habib Bourguiba.

Il raconte que : Habib Bourguiba a vu venir le problème du Sahara dès le début des années 1970, raconte sous couvert d’anonymat un officiel tunisien encore en activités. "Nous savions que le désengagement unilatéral de l’Espagne de ce territoire allait créer une situation de grave tension entre l’Algérie et le Maroc. Bourguiba a essayé de prendre les devants en évoquant le sujet avec Houari Boumediene pour accepter que le Maroc  récupère son Sahara.’’

Il a ajouté : la majorité des récits recueillis auprès de diplomates tunisiens alors en exercice traduisent deux faits principaux. Le premier est que, dans le fond, Tunis aurait préféré une solution rapide avec une intégration du Sahara au Maroc. Mais cet avis ne conditionnera jamais la position officielle tunisienne qui s’en tient donc à une neutralité totale.’’

Ce récit algérien à propos de la vraie position de la Tunisie sur l’affaire du Sahara marocain, est étayé par un câble diplomatique américain diffusé par Wikileaks en 2010. 

Dans ce document datée du 28 février 2008, est noté un compte rendu d’une rencontre entre le président Zine El-Abidine Ben Ali et David Welch, sous-secrétaire d’État américain en charge du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord.Le président Ben Ali aurait fait porter l’entière responsabilité du blocage du processus d’intégration maghrébine au pouvoir algérien incapable, de se résoudre à l’idée qu’il ne puisse exister d’État indépendant au Sahara.

Ben Ali raconte aussi avoir tenté de mettre sur pied un sommet régional sur cette question, mais que la partie algérienne aurait décliné l’invitation, estimant qu’il n’y avait rien à dire sur ce sujet.

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Chez nous au Maroc on ne demanderait à personne de plébisciter nos provinces du Sahara ou de les ratifier, les choses vont bon train et de façon entièrement volontaire. Le Forum Crans Montana est de retour à Dakhla pour une 3ème visite. 

Mr.Jean-Paul Carteron, Président d'Honneur et Fondateur,Crans Montana Forum (photo), le seul d'ailleurs que la machine de pression et de propagande trouvait intraitable, refusant entendre même parler de l'Algérie, car il y avait toute une histoire fâcheuse entre cette dernière et la commune de Montana en Suisse, dont il est originaire.

La machine algérienne après avoir atterri dans la commune, elle n'a pas pu convaincre ce fils du canton du Valais-Sierre dans les Alpes en Suisse pour l'attirer et renonce à son projet, qu'il le baptisait, avec fièrté, loin de la saleté du pétrodollars algérien, au nom de la station touristique de sa commune. Cette commune qui, faut-il le rappeler au rabbin d'Alger, fusionnait en ce janvier 2017 avec les communes de Mollens et Randogne pour former  ce «Crans-Montana».

Le fondateur veille à tenir régulièrement à Dakhla à l’extrême sud-ouest du Maroc le forum de débat international. Et justement à Dakhla, la perle du Sud Marocain, là où le vent de sa bais fait rapidement rouiller le pétrodollars algérien.C'est pour cette cause justement que les Algériens courent et halètent, depuis plus de quatre décennies, pour atteinte cette cote d'or de l'Atlantique.

                                                               

Cette 3ème édition du Forum Crans Montana, organisée sous le Haut Patronage du Roi Mohammed VI, du 16 au 21 mars 2017, verra une nouvelle fois la participation de grands décideurs de la planète et sera une nouvelle opportunité d’engager une réflexion approfondie sur l’Afrique du 21ème siècle, le rôle structurant du Maroc et le potentiel gigantesque de la Coopération Sud-Sud.

La sécurité en matière de santé publique, l’amélioration et le financement de l’industrie agro-alimentaire, la production et la fourniture d’énergie, notamment les énergies renouvelables, la coopération énergétique, l’intégration de la femme dans le cadre politique et économique, ainsi que la nouvelle économie maritime mondiale figurent parmi les sujets qui seront abordés par les participants ;

Autant de domaines où le Maroc a développé des filières d’excellence et qu’il a offertes en partage à ses voisins africains, dans le cadre de « partenariats d’égal à égal » qui constituent une vision nouvelle de ce que pourrait être la coopération africaine.
Par ailleurs, ce Forum mettra, sans nul doute, en exergue les politiques volontaristes proposées par le Maroc pour ses provinces sahariennes, qui font de Dakhla un modèle pour toute l’Afrique, et donnera aux citoyens des régions sahariennes la possibilité d’un dialogue réel avec les acteurs de la politique et de l’économie mondiale.
Cette édition 2017 constituera la confirmation du positionnement de Dakhla sur la carte mondiale de la politique et des affaires, comme un lien unique et original qui fait la démonstration que, là où il y a une vision, toutes les réussites deviennent possibles et les provinces sahariennes marocaines seront dans un très proche avenir un pont d‘échange avec les pays voisins et l’espace afro-atlantique et une porte principale vers l’Afrique.

Cette année encore plus d’un millier de participants se retrouveront dans quelques jours, venus des quatre coins du monde, pour conduire une réflexion approfondie sur l’Afrique du 21ème siècle et le potentiel de la Coopération Sud-Sud proposé par Sa Majesté le Roi.

En faisant converger vers la Perle du Sud Dakhla, de nombreuses hautes personnalités du monde entier, le Forum de Crans Montana perpétue une tradition ancestrale du Sahara Marocain, carrefour de rencontres, terre d’échanges, de dialogue et d’hospitalité à l'instar de la ville d'Asilah au nord qui par son festival international culturel  joue le même rôle.
 
                                  
 
Asilah, rappelons-le, accueille chaque année un festival culturel international. Créée en 1978, cette manifestation marque de son empreinte la cité balnéaire, laquelle s'y associe totalement aujourd'hui. Porté par deux hommes, qui en ont conçu l'idée, tracé l'itinéraire et défini le destin, en l'occurrence Mohamed Benaïssa, ex-ministre Marocain aux affaires étrangères, maire de la ville et un de ses amis de toujours. Le festival culturel international d'Asilah est devenu, au fil du temps et des années, un moment de partage et de rencontres les plus diverses. Des émirs des pays du Golf arabic, des gens de passage, des intellectuels, des scientifiques, des chercheurs, des poètes et des artistes s'approprient l'espace durant la période estivale.
 
Asilah devient un haut lieu de la rencontre des cultures et des confessions religieuses, des créations, des émotions et de rêves multiples. La parole libre, sans contrainte, fait revenir chaque année dans la ville des hommes à l'esprit indépendant et aux engagements clairs et authentiques.
D'autres y reviennent parce qu'ils ont été conquis par le charme de la cité. Beaucoup sont devenus des inconditionnels du festival culturel d'Asilah, parce que la petite ville de l'Atlantique a parlé à leur âme, les a séduits.
 
On constate ainsi, que le monde culturel se donnait volontairement de l’immunité naturelle contre l'opacité et contre la déformation du réel, indifférent de la tendancieuse propagande algérienne portant préjudice au Royaume du Maroc, terre d'accueil et de tolérance.

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                                                                  Ce que je crois, (14 mars 2017 )

                                La santé de Bouteflika  : un secret d’Etat

 
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Le régime algérien excelle toujours dans les mensonges et les manipulations pour brouiller les pistes. Ainsi, vu que la santé de Bouteflika se dégrade, certains canaux d’intox lancent des rumeurs sur son décès.

On ne peut pas savoir si c’est faux au vrai.  Une manière pour les décideurs, en cas de la mort fictive du tyran d’El Mouradia,  pour que lorsque l’information sera donnée personne ne pourra le croire à cause des rumeurs répétitives distillées par le passé. Ainsi, on ajournera l’annonce de la vraie mort de Bouteflika, le temps de régler sa succession.

C’était le cas, par exemple,  lors de la mort de Boumediene en 1979. Les décideurs ont attendu, presque un mois, pour l’annoncer. «  On lit souvent dans les médias que Bouteflika est mort, plus particulièrement dans les sites électroniques algériens,  et par la suite on constate que ce ne sont que des rumeurs. Donc le jour de la mort de Bouteflika personne ne va croire même si  les informations sont  crédibles.

En un mot, le pouvoir anticipe la discrétisation de toutes les informations crédibles. C’est une technique de désinformation très répandue dans les républiques bananières , explique un journaliste algérien et spécialiste  dans la communication en politique.

Au fait, mort ou vivant, le régime reste le même. Un autre lui succédera et peut être que ce sera son frère. Peu importe, le changement n’aura pas lieu en Kabylie, surtout que les algériens demeurent amorphes et inactifs.
 
Bouteflika, enfermé dans sa résidence de Zéralda transformé en maison de cure médicale, ne fait plus que de rares apparitions en public  si on croit les quelques séquences de la télévision publique algérienne. Mais son état de santé s’est considérablement aggravé ces derniers jours. Le 20 février dernier, le président algérien renonçait à recevoir la chancelière Angela Merkel alors que plusieurs ministres et collaborateurs de cette dernière étaient présents sur place.
 
La présidence algérienne avait prétexté alors «une bronchite aiguë. D’après les informations, il s’agirait d’un accident cérébral d’une particulière gravité qui nécessiterait des soins à l'étranger où Bouteflika a l’habitude d’être suivi.
 
Depuis, les services allemands, explique un ancien ministre algérien qui réside à Genève, sont extrêmement pessimistes sur l’espérance de vie du président algérien.Hélas, un tel transfert à l’étranger parait désormais impossible à envisager compte tenu de son état général. L'automne dernier, lors des examens approfondis qui avaient été effectués en Suisse sur sa personne, la conclusion des équipes médicales avait été sans appel.
 
Les médecins ne peuvent plus guère améliorer son état. Pour l’instant, les rares officiels à s’exprimer démentent les rumeurs qui se multiplient sur les réseaux sociaux sur la fin prochaine de Bouteflika. Il reste que chaque jour apporte une nouvelle confirmation qu’à Alger, le temps politique et diplomatique est suspendu. l’Iran a annoncé le report de la tournée africaine du président iranien qui devait le conduire dans trois pays dont l’Algérie. Prévue initialement avant le 21 mars, début du Nouvel An perse.

La famille de Bouteflika est parvenue à contrôler la moindre information sur l'état de santé du président- c'est vrais, il est malade, très malade même s'il n'est pas mort autant.

La santé d’Abdelaziz Bouteflika a sombré dans un cycle dramatique. Depuis sa pseudo-bronchite aiguë, son état n’a cessé de se détériorer. Est-il mourant pour autant? Les spéculations vont bon train en Algérie. Et pour cause, depuis 2012, le régime algérien a réussi à mettre en place un impressionnant dispositif qui assure un "black-out" total autour de l’état de santé du Président Bouteflika.Seul trois ou quatre personnes sont réellement au courant de l’évolution de l’état de santé de Bouteflika.

Tout a été fait pour empêcher les chancelleries étrangères, les services étrangers ou les médias de soutirer la moindre information », explique notre interlocuteur, membre des services algériens qui ignore lui même la réalité de la situation clinique du malade de Zéralda.

En réalité, aujourd’hui en Algérie, la Résidence Présidentielle de Zéralda est l’endroit le mieux quadrillé et surveillé de totue l’Algérie. Une brigade spéciale de la garde républicaine est affectée à la protection de ce site. En plus, une équipe très réduite d’agents spéciaux équipés de plusieurs outils de brouillage et placé sous la responsabilité d’un commandant qui rend directement des comptes à la famille Bouteflika.

Au sein de cette résidence, tous les équipements médicaux sont disponibles pour parer aux urgencesLe professeur Messaoud Zitouni rend régulièrement visite à Bouteflika pour évaluer son état de santé. Il collabore directement avec Jacques Monségu, spécialiste de cardiologie, qui soigne Bouteflika en France depuis des années. Les frères Said et Abderrahmane Bouteflika sont régulièrement au chevet de leur grand frère.

Quelques conseillers proches comme un certain Mohamed Rougab, ami proche de la famille, sont également associés à la gestion de la délicate question de la santé du Président. De Sellal en passant par Ahmed Ouyahia jusqu’à Tartag ou Gaïd Salah, aucun de ces hauts responsables n’est informé en premier de la moindre évolution de l’état de santé du Président.  Même les soi-disant opposants algériens Ali Ben Flis et à leur tête, sont aussi interdits de parler de la maladie de Bouteflik. Etant secret d'Etat pour le cercle du pouvoir.

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Censés être les premiers à dénoncer la mort clinique de Bouteflika et de l’avenir incertain de l’Algérie, la classe politique algérienne, plus particulièrement ceux qui se présentent comme des opposants au régime, n’évoque presque jamais Bouteflika ni sa maladie.

Ceux qui parlent de lui, le font juste pour conforter la thèse des décideurs comme quoi que c’est Bouteflika qui gère l’Algérie. «Bouteflika va bien et il vous passe le bonjour» a laissé entendre Sellal. Ahmed Ouyahya, chef du cabinet de Bouteflika,le patron du RCD, quant à lui, a versé dans la diversion rien que pour prouver que c’est Bouteflika, lui seul, qui gère tout en Algérie. Personne n’évoque sa maladie. Comme si le chef d’Etat,  qu’on ne voit jamais en activitéss officielle, est en bonne santé.  

On parle de lui à l’étranger plus qu’en Algérie. Un journal Allemand, qui s’est référé à un câble de ses services secrets, a affirmé que Bouteflika est cliniquement mort.  Mais c’est le silence radio au sein de la scène politique algérienne.

Les responsables politiques ont certainement reçu l’ordre de ne jamais évoquer la maladie de Bouteflika. Ali Benflis n’a soufflé aucun mot sur la maladie de son ancien mentor. Le FFS, le parti Kabyle le plus féroce en Algérie, n’évoque plus Bouteflika. Louisa Hanoune, Sofiane Jilalli, Ali Yahia Abdenour et tant d’autres personnalités politiques qui se targuent de l’opposition gardent un silence intriguant.  Quant à la presse, elle ne fait même pas allusion à la maladie de Bouteflika qui s’est éclipsé depuis des années.

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 Ce que je crois, (13 mars 2017 )

                 Le Maroc veut sortir,sincèrement, de l’immobilisme

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Un petit mot d'abord.. Un lecteur parait-il, un algérien errant, qui a perdu son boitier de Tabac à chiquer, me demandait "pour qui travailles-tu" pour humilier ainsi un grand pays qu'est l'Algérie? Pour nous à la rédaction du blog, il ne mérite pas de réponse, tant qu'il en jurait sur tous ses dieux que son Algérie est plus forte que L'marroc! ajoutant à cette interrogation des injures et de diffamations.

En citant ce cas, je veux seulement préciser à mon lectorat que mes écrits ne passent pas inaperçus en Algérie. Ils y font leur effet sur la mentalité malade de l'Algérien, en particulier sur celle de ce genre de frivoles.

Et si la caravane passe, comme on dit,laissons-les aboyer. Ils sont les mêmes. Pas de distinction à faire entre un Sellal, leur premier charlatan de l'Algérie et le petit balayeur de la commune d'Oued Souf à l’extrême sud-est de l’Algérie. Quant à nous, nous continuons à faire le buzz puisque cela les vexera davantage et fera augmenter le degré de diabète aux ennemis de notre gigantesque Royaume du Maroc. 

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                                                                   Mohamed Fellag

Mais si l'Algérie est vraiment forte que le Maroc,  pour moi il y en a pas de comparaison à faire là-dessus. La réponse à cet intrus émane de son concitoyen Mohamed Fellag, l'humoriste Kabyle, un Franco-Algérien qui, menacé de mort par le pouvoir en Algérie, installé en France depuis 1995. Il était l'invité de l’émission "Thé ou Café" sur France 2, diffusée ce dimanche 12 mars, il lançait sur un ton d'amertume :                 

«Si les Algériens rêvent de quitter l’Algérie pour s’installer dans l’ancien pays colonial,  c'est pas pour les beaux yeux de Jeanne d'Arc ou de Marine Le Pen, c’est pour des raisons concrètes, pour “échapper à la tribu, au conservatisme, à l’autoritarisme, à la répression policière, à la torture, et au silence par peur, qui règne dans les familles”. C'est normal, on part pour devenir soi”.

La présentatrice de l'émission lui posait la question suivante : "S’il rencontrait le président Bouteflika, que lui dirait-il ? sa réponse était choquante, elle serait concordante à celle de tous les algériens se trouvant en Europe, aux Kabyles en particulier.

«Je ne lui dirais rien du tout, je n’ai pas envie de lui parler.Il fait partie du pouvoir autoritaire depuis l’indépendance, un pouvoir qui n’a pas lâché un iota du pays, et à chaque fois, on met un homme en avant, comme si on change de chemises. Il fait partie des responsables de la ⌈situation pourrie actuelle en Algérie⌋, bien sûr».

A la dernière question «Quand il a perdu le sens de l’humour pour la dernière fois?, l’humoriste répond : “À chaque fois que Bouteflika est réélu pour un autre mandat.”

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Les ennemis du Maroc font circuler que le Royaume du Maroc veut en profiter de l’arrivée d’Antonio Guterres à la tête du Secrétariat général de l’ONU pour régler le conflit artificiel du Sahara Marocain qui à cause de la fuite en avant de l'Algérie,empoisonne toute la région de l'Afrique du nord depuis plus de quarante ans.Contrairement à ces allégations, le Maroc tend sa main pour une Afrique stable et sécurisée, dans l'espoir de remédier à toute situation de tension que l'Algérie pousse vainement l'Afrique à mettre de ce conflit une entrave aux ambitions économiques et politiques..

Le Maroc conscient de ses démarches en politique étrangère.Par son retour au sein de l’UA, évacuation de la zone de Guerguarat, expression de bonne volonté à l’ONU dans ses bonne offices : Le Royaume Chérifien a choisi un nouveau cap pour mener sa stratégie sur le conflit du Sahara Marocain, surtout après le départ, bon ou mauvais gré de Christopher Ross l'ex-représentant du Ban Ki Moon dans ce dossier épineux..

                                       

La démission de Christopher Ross a relancé les spéculations sur ses possibles successeurs. «Deux grands noms émergent du lot : l’Espagnol Miguel Angel Moratinos et l’Américain John Bolton», selon une source au Sahara.

 
                                        

Après huit années passées à tenter, en vain, de régler le conflit, la presse algérienne nous informe que ce Christopher Ross leur agent-payé  jette l’éponge et  a présenté sa démission début mars au secrétaire général de l’organisation et Antonio Guterres, qui a succédé à Ban Ki-moon le premier janvier, doit maintenant l’acter. Une simple question de procédure, mais aussi le dernier rebondissement d’une période de changements autour du conflit.

A ce propos et dans l'absence de président qui décide et gère les grands dossier en Algérie, les décideurs du clan présidentiel, voire les teneurs de ficelles en coulisses, en particulier les militaires, agissent frivolement dans l’ambiguïté totale pour rattraper le temps qui, disaient-ils, joue en faveur du Maroc et le traite avec bienveillance.

Je crois que notre pays a compris qu’il devait sortir de cet immobilisme. Le statut quo considéré comme positif dans la mesure où il permettait à notre diplomatie de ne pas essuyer d’échec est devenu préjudiciable. Cette situation de «ni guerre ni paix» est un obstacle à nos ambitions économiques, politiques, régionales. 

L’épisode de Guerguarat a permis à l'ONU via la Minurso de remarquer les incursions répétées du polisario dans la zone tampon et son violation du cessez-le-feu. Sa Majesté le roi Mohamed VI avait appelé à cet effet le secrétaire général de l’ONU pour lui signifier que la situation était dangereuse. Antonio Guterres a ensuite exhorté les deux parties à quitter la zone, il a même dépêché à Tindouf la chef de la Minurso en mission de prospection auprès des services secrets algériens, pour ne pas dire auprès du polisario. Au retrait annoncé par le Maroc, Polisario n'avait pas eu l'ordre d'Alger pour faire de même et il a répondu que lui ne partirait pas.

Sachant que les pièces théâtrales qui se jouent ces jours-ci autour de la zone tampon Guerguarate par le polisario et ses commanditaires algériens, en particulier leur intention de manipuler les armes s'inscrivent, à mon avis, dans le but d'accentuer la tension, de faire pression sur le nouveau Secrétaire général de l'ONU et l'inciter à faire bouger le conflit de l'immobilisme et voir en parallèle, s'il veut voir avec les jumelles de son prédécesseur Ban Ki Moon.

Je pense probablement que cela se serait arrêté au stade de la menace car l'Algérie est incapable, dans sa situation catastrophique actuelle, de mener une guerre contre le Maroc, pour beaucoup de raisons et personne ne veut d’une confrontation armée dans cette région.

Depuis plusieurs mois, l'Algérie mène un politique de chantage par la mise d'un nouveau pic de tension dans la zone tampon, cette zone, rappelons-le, est un "no man’s land" de quelques kilomètres carrés à l’extrême sud du Sahara Marocain, un théâtre exposé, selon les observateurs, à toutes éventualités.

En fait, il s'avère que le Maroc ait décidé de prendre au sérieux toutes les manœuvres algériennes, qu'elles soient politiques ou militaires dans ce sens, car il est géographiquement et politiquement condamné à avoir toujours affaires à un monde de malades mentaux, souffrant d'arrogance et de maux de vengeance. Un monde de cinglés qui n'en mesure pas les conséquences d'incursions d’éléments armés polisario dans la zone tampon pour en faire provocations aux FAR et aux services de sécurités Marocains sur place.

Un rapport onusien avait conclu à une violation du cessez-le-feu par le polisario. Par contre et à la surprise générale, le Maroc a annoncé le 26 février se retirer de la zone de façon unilatérale. «Traditionnellement, les Marocains vont jusqu’au bout lorsqu’il s’agit du SaharaMais, depuis plusieurs mois, le Royaume modifie sa posture,reconnaît Mme.Khadija Mohsen-Fenane, politologue spécialiste du Maghreb,chercheuse à l’université de Paris-I.

Le changement le plus remarquable est celui du retour du Royaume du Maroc au sein de l’Union africaine, que feu Hassan II, avait quittée en 1984 (il s’agissait alors de l’Organisation de l’unité africaine) pour protester contre la reconnaissance par l’organisation d'Edem Kodjo de la pseudo-rasd, tout en imposant la souveraineté Marocaine authentique sur ses provinces du sud – dont il développe et sécurise, par perspicacité royale de feu Hassan II depuis 1975, comme toute autre région du Royaume, rejetant ainsi les diktats expansionnistes algériens dans ce sens.

Aujourd’hui, le Maroc par son retrait unilatéral de la zone tampon exprime sa volonté de bonne foi et devient l'interlocuteur fiable des relations internationales, isolant l'Algérie et sa création en se mettant dans la légalité ce qui pousse l'Algérie au pieds du mur, toute bredouille, attelant derrière elle ses défaites diplomatiques et  l'indignation de la communauté internationale.

Le Maroc par contre n'a jamais coupé le cordon ombilicale et d'affection avec l'Afrique, ce qui lui avait permis de nouer de bonnes relations. Entre le Maroc et l’Afrique ces relations s’intensifient davantage et les échanges commerciaux avec le reste du continent ne cessent de s'accroître ces dernières années même avant la réintégration à l'UA, avec plus de 20%, soit plus de 1,5 milliard de dollars US déjà enregistré.

le Maroc, qui a d’ailleurs tout juste retrouvé le giron de l’Union Africaine et qui vient de formuler sa demande d’adhésion à la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), poursuit son rapprochement avec les pays africains au sud du Sahara, sur les plans commercial, économique et diplomatique, dans l’ambition de se positionner comme un hub économique incontournable sur le continent.           

                        Ce que je crois, (12 mars 2017 )

     Le Maroc est-il en train de gagner une autre bataille autour du Sahara?

                                Résultat de recherche d'images pour "cartographie du maroc"

Quand on s'égare, on s'assoie.. C'est le terme qu'il faut appliquer à tout individu ayant perdu sa trajectoire, ou avoir l'esprit , plus au moins, septique. A ce propos, on lui dira en général : «Assis-toi parterre pour bien réfléchir!» L'allusion est à faire un monde réticent à intérêts contradictoires.

C'est le monde des médias, le monde du journalisme aux business qui pratiquement, devant l'effet de gains et de bénéfices, s'éloigne davantage de sa déontologie. Mais brusquement, on le voit éveillé à la surprise de tous, et commençait à raisonner et à recoudre les déchirures de sa toile.

Certaines tribunes de renommée et de grand lectorat passent du négatif au concret en défiant la thèse propagandiste algérienne concernant le carte du Royaume du Maroc qu'ils présentaient auparavant,coupée de son Sahara, ne voulant plus continuer à favoriser, ni le pétrodollars algérien ni son odeur.

Les rédacteurs en chef de ces tribunes et d'autres suivront certes, ont bien constaté que le "cordon-bluff est court" et que l'Algérie avec sa mauvaise politique étrangère devient de plus en plus isolée. Et pour ne pas accompagner, ou plutôt valider les conneries des autres, il est temps à ces tribunes de raisonner pour gagner la confiance du lecteur en le faisant consommer la bonne information, pour au moins garder une certaine crédibilité de son journal. Surtout après  que le rayonnement Marocain en Afrique est devenu incontestable avec sa crédibilité d'Etat sûr dans tous les continents.

Dans un article paru du 9 mars, "le Huffington-Post-Maroc" se demande si le royaume est sur le point de gagner une autre bataille après celle de son retour au sein de l’UA autour du Sahara, à savoir celle concernant la cartographie.

Si la publication se pose cette question, c’est parce que beaucoup d’institutions et de médias ne tronquent plus la carte du royaume en 2017 et n’utilisent même plus les pointillés, en usage jusque là au sein des instances onusiennes, pour désigner le Sahara , comme elle le souligne dans son article.

Pour preuve, le Huffington Post  donne l’exemple du site de la Banque Mondiale qui représente le Maroc dans sa totalité et colore en blanc la zone tampon à l’est du mur de défense.

Il mentionne également la Banque Africaine de Développement (BAD) qui affiche une carte complète du Maroc, ne représentant pas le Sahara  Marocain comme auparavant. Le quotidien français  "Le Monde" également a affiché une carte similaire à celle de la Banque Mondiale avec un espace blanc au niveau de la zone tampon.

Le journal estime que la manière dont les instances multilatérales se représentent le royaume est en train de changer et que ceci pourrait constituer pour le Maroc un point d’appui précieux.

Le Huffington Post rappelle que cette « bataille des cartes » autour du Sahara a connu de nombreuses phases ces dernières années avec, notamment, l’ère digitale. Il rappelle également que les internautes marocains se sont mobilisés pour modifier la représentation utilisée par Google dans son logiciel Google Maps et ont réussi à faire supprimer toute ligne de césure dès qu’on se connecte du Maroc.

Le site Huffpost Maghreb rappelle l’incident survenu en décembre 2016 avec Maroc Hebdo, qui avait dû retirer des kiosques l’un de ses numéros après avoir publié par erreur et par négligence une carte tronquée, pour monter à quel point le sujet reste encore sensible.

                                        

Zone tampon dites-vous!.De mon coté, je citerai le cas de la chaîne-tv Qatarie "Al Jazziera" qui a vu son bureau de Rabat fermé après avoir été prise au piège du pétrodollars algérien, diffusant la carte du Royaume du Maroc amputée de son Sahara.

Son rédacteur en chef, le Libanais Sami Haddad avait la tête chaude, voire très chaude après son long gelé à la BBC arabic à Londres. Il voulait jouer le malin avec le Maroc, montrant aux algériens sa "pseudo-neutralité" pour pouvoir boire davantage du lait amer de la Sonatrach, projetant gagner la bénédiction de ses maîtres parrains du palais d'AlMoradia d'Alger. Cette situation, rappelons-le, a fait l'objet de tractations de haut niveau couronnée par l'intervention d'Émir de Qatar, le pour la redresser.

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La Marocanité du Sahara et la cartographie du Maroc avec ce territoire sont des valeurs sacrées pour nous Marocains. Nous conseillons à cet effet, aux journalistes, toutes tendances confondues, et à toute plume sincère, non jaunâtre, d'éviter de jouer en vain sur la sensibilité des Marocains à ce sujet. En cause, si Mr. F.Hollande, le président Français veut garder dans son esprit la phrase de son prédécesseur F.Mitterrand : «Le nationalisme, c'est la guerre». Pour nous, ce n'est de la guerre, «le nationalisme Marocain est au-delà de tout le reste, c'est dans notre sang, du berceau à la tombe».

En ce qui concerne les termes.. "zone tampon", faut-il le rappeler pour mémoire, est un espace, décidé par perspicacité du feu Hassan II lors de la construction du mur de défense, pour manœuvrer librement le cas échéant. Personne ne l'avait imposé à l'époque. Contrairement à cette vérité, l'Algérie et son polisario, avancent autrement, ils le considérant vachement comme "terres libérées?", libérées par qui et quand?  la réponse serait certainement, par défaut, chez les algériens, par les défaites de l'armée algérienne du maudit Boumediane aux deux  Amgala en février 1976!.

C'est dans ces quelques petits traçons de pistes que les Algériens poussent leur bâtard adoptif à bâtir son mirage et de faire parler de lui et de sa propagande dans une tente-tourbillon à Rabouni prés de Tindouf et pas à ce qu'ils appellent "Bir Lahlou.

C'est là où ils étalent toute sorte de propagandes pour gagner l'appui des dingues y compris la spectaculaire inhumation de Mohamed Abdelaziz Lmarrakchi, le maudit Marocain, ex-président du polisario, dont sa vraie tombe demeure inconnue  à l'instar de celle d'Oussama Ben Ladene. Sachant que le cadavre de Ben Laden est jeté, dit-on, en mer pour qu'il ne soit pas un lieu de pèlerinage. Mais celui de l'autre maudit -hammati- se trouve probablement dans la chambre à coucher de sa femme Khadija Hamdi, l'officier Drsiste, une R'guibia Algérienne, que les services secrets algériens l'ont désignée pour le suivre de près et le surveiller dans son vivant.                                                                                                                       ¹. voir vidéo en colonne droite.                            

                     Laissez le Président Bouteflika tranquille !»

                                                  
 

Les algériens sont confus, désordonnés et ne savent où en est la vérité de toutes les sorties médiatiques des gouvernants et politiques algériens,s'interrogeant avec beaucoup d'amertume sur l'état de santé de leur président!  Le thuriféraire n°1 du pouvoir Jamal Ould Abbas (photo) SG du parti au pouvoir FLN, a réagi en répondant de façon douteuse, aux informations dit-il, de "rumeurs" sur l'état de santé de Bouteflika.

« Je l’ai vu. Sa santé est normale. Il travaille normalement. On ne doit pas continuer à insister sur sa santé », a-t-il répondu à une question d’un journaliste lors de la conférence de presse consacrée à la présentation des candidats FLN aux  prochaines législatives prévues en Algérie le 4 mai prochain. 

Interrogé sur l’absence d’activité présidentielle publique depuis plus d’un mois, Ould Abbès a répondu :«Il ne peut pas se reposer?Laissez le Président tranquille! ».

Enfin, à une question sur le fait que le Président n’a pas reçu le ministre espagnol des Affaires étrangères, Jamel Ould Abbès a affirmé que la rencontre n’était pas au programme. Il a cité les déclaration du rabbin de la diplomatie algérienne Ramdane Lahmamra et les précisions de l'ambassadeur d'Espagne en Algérie qui zappaient toutes autour de l'opacité, rien que l'opacité!.

Ce que je crois, (10 mars 2017)

                  URGENT : BOUTEFLIKA EST MORT..! (CNP News).

 
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Le Président Bouteflika est mort, son évacuation en Suisse ne le ramènera pas à la vie

C’est finalement en Algérie, dans sa villa médicalisée de Zéralda que le Président de la République Abdelaziz Bouteflika rendra son dernier soupir. Il serait en état de mort cérébrale si l’on croit les différents fuiteurs de sa sphère privée ou certains médecins algériens qui secondent l’équipe médicale constituée de plusieurs spécialistes suisses et français notamment. Autrement dit Abdelaziz Bouteflika est en stade de coma dépassé, son cerveau ne fonctionne plus et n’est plus capable de respirer tout seul. En terme médical plus précis, le Président est cliniquement mort mais respire artificiellement.

               SAID BOUTEFLIKA N’Y PEUT PLUS RIEN

Selon nos sources, l’équipe médicale aurait dissuadé Saïd Bouteflika de faire évacuer son frère en Suisse car « Cela ne servirait plus à rien et surtout pas à le ramener à la vie », affirmeront ses médecins. Said Boutefika souffrant lui-même de deux cancers, du rein et du pancréas, ne peut donc plus rien faire pour faire croire aux algériens que le Président est très alacre. Il est clair désormais de parler déjà au passé du Président de la République Abdelaziz Bouteflika qui n’est plus capable de respirer tout seul. Il faut le faire respirer artificiellement pour faire fonctionner son corps. Il est en somme dans la même situation de l’ancien 1erministre israélien, Ariel Sharon, qui a été déclaré en état végétatif chronique », et maintenu en vie à l’aide d’une assistance technologique pour respecter les enseignements du Talmud. Dans la religion juive, un mort cérébral ne doit être déclaré mort que quand le sang s’arrête d’irriguer ses organes vitaux, c’est à dire tant que la respiration artificielle ne fait pas défaut.

L’ABSENCE D'ACTIVITÉ CÉRÉBRALE SIGNIFIE EN FAIT LA MORT DE L’INDIVIDU

Contacté par nos soins, un spécialiste suisse de soins intensifs aux HUG à Genève, nous éclaire sur ce que signifie une « mort cérébrale » et si la mort était à échelle variable. Il explique: « Il y a deux définitions de la mort. La première, la plus traditionnelle, est d’origine cardiaque, lorsque le pouls ne bat plus. La seconde, est la mort cérébrale, aussi appelée « coma profond », lorsque, suite à un traumatisme, le cerveau est détruit. A l’instar des réflexes et de la respiration, il ne fonctionne plus, parce qu’il n’est plus perfusé. L’individu est alors artificiellement maintenu en vie grâce à des moyens mécaniques et médicaux (maintien de la respiration et de la pression artérielle). Par contre, les organes sont encore fonctionnels. Mais l’absence d’activité cérébrale signifie en fait la mort de l’individu ».

L’ISLAM CONSIDÈRE T’-IL LA MORT CÉRÉBRALE COMME UNE MORT TOUT COURT?

S’agissant de l’Islam, nous lisons une résolution émise par la Ligue Islamique Mondiale, disant ceci : «Le malade qui survit grâce à des appareils de réanimation peut en être privé quand toutes les fonctions de son cerveau s’arrêtent définitivement et quand une commission composée de trois médecins spécialistes décide que ledit arrêt est irréversible, même si les battements du cœur et la respiration continuaient à cause des appareils.

Mais le jugement religieux déclaratif de la mort ne peut être prononcé qu’après l’arrêt total des battements du cœur et de la respiration, suite au retrait des appareils.» Cela voudrait dire que si la famille de Bouteflika décide pour le Président une mort islamique, elle doit désigner 3 médecins pour constater que le cerveau du Président est définitivement mort et qu’après le retrait des appareils, son cœur s’arrêtera de battre, les autorités religieuses annonceront alors la mort officielle de Bouteflika.

En fonction depuis le 27 avril 1999, Abdelaziz Bouteflika aura régné en maître absolu durant 17 ans, 10 mois et 17 jours.

 

 عبد العزيز بوتفليقة في ذمة الله وإجلاءه إلى سويسرا لن يُعيده إلى الحياة
 

شاء القدر أخيرا أن توافي المنية الرئيس الجزائري عبد العزيز بوتفليقة في بيته بزيرلدة غرب الجزائر العاصمة. هذا على الأقل ما أكدته مصادر موثوقة للصحيفة الجزائرية  » سي أن بي نيوز ». وتشير المصادر المقربة من الرئيس أن الفريق الطبي المتكون من أطباء متخصصين بينهم سويسريين وفرنسيين، أن عبد العزيز بوتفليقة في مرحلة غيبوبة لا رجعة فيها، دماغه لا يعمل وأنه لم يعد قادرا على التنفس الطبيعي. وبمصطلح طبي أكثر دقة، إن الرئيس قد مات سريريا لكن يتنفس اصطناعيا

السعيد بوتفليقة لن يستطيع أن يفعل شيئا

ووفقا لنفس المصادر، فإن الفريق الطبي قد أقنع السعيد بوتفليقة على عدم اجلاء شقيقه إلى سويسرا : لم يعد يجدي إجلاء الرئيس إلى سويسرا  لأنه لا يُمكن إعادته إلى الحياة

  وتجدر الإشارة إلى أن السعيد بوتفليقة الذي يعاني من سرطان الكلى والبنكرياس، لن يستطيع أن يفعل أي شيء لجعل الجزائريين يعتقدون أن الرئيس الجزائري لا يزال يتمتع بصحة جيدة. وبات جليا الآن أنه في الاستطاعة القول إن الرئيس بوتفليقة أصبح في خبر كان و يُمكن أيضا الإشارة إليه برئيس الجمهورية الجزائري السابق. إن بوتفليقة الذي لم يعد قادرا على التنفس الطبيعي و مجبرا على التنفس الاصطناعي أصبح في نفس الوضع الذي كان عليه الوزير الأول الإسرائيلي، أرييل شارون، حيث كان أُعلن أنه في « حالة غيبوبة مزمنة » وأُبقِى على قيد الحياة بمساعدة تكنولوجية لتلبية تعاليم التلمود لأن في الديانة اليهودية، لا ينبغي الإعلان بوفاة شخص إلاّ عندما يتوقف الدم بري اعضائه الحيوية حتى و إن كان ذلك عن طريق التنفس الاصطناعي

    هل الموت الدماغي، يعني وفاة الفرد؟

اتصلت « سي أن بي نيون » مع طبيب متخصص يعمل في قسم العناية المركزة بالمستشفى الجامعي بجينيف، و طلبت منه أن يوضح ماهية  المقصود ب « الموت الدماغي »  فقال: « هناك تعريفان للموت، يموت الشخص عندما تتوقف نبضات قلبه.  والنوع الثاني هو الموت الدماغي، ويسمى أيضا « غيبوبة عميقة » و هو عندما، في أعقاب صدمات أو جلطات دماغية ، يتم إتلاف الدماغ و لم يعد الشخص أن يتنفس و تتوقف التفاعلات العصبية بدون ضخ اصطناعي وفي هذه الحالة يتم ابقاء الشخص على قيد الحياة بشكل اصطناعي بالوسائل الميكانيكية والطبية (صيانة التنفس وضغط الدم).  وفي الحقيقة تلف الدماغ، يعني وفاة الفرد

    هل الإسلام يعتبر الميت دماغيا، ميتا؟

أما اسلاميا، ووفقا لقرار صدر عن رابطة العالم الإسلامي ، فإن « المريض الذي أُبقي حيّا بفضل أجهزة دعم اصطناعية يمكن اعتباره ميتا إذا كان ميتا دماغيا و إذا أقرت لجنة مؤلفة من ثلاثة أطباء متخصصين أن هذا الحكم لا رجعة فيه، حتى لو استمرت ضربات القلب تحت تنفس اصطناعي.  و في الدين الاسلامي الحنيف يجوز الحكم بالموت بعد التوقف الكامل لضربات القلب والتنفس بعد سحب الأجهزة. و بالتالي في حال سُحبت الأجهزة التنفسية الإصطناعية فإن نبضات قلب عبد العزيز بوتفليقة ستتوقف

وحكم عبد العزيز بوتفليقة الجزائر بقبضة من حديد منذ 27 أبريل 1999 لمدة 17 عاما و 10 أشهرا و 17 يوما           

La surprenante révélation d’un journaliste algérien à propos de Bouteflika..

Visiblement bien informé, ou tout simplement poussé par l’un des clans qui tirent les ficelles de la vie politique algérienne, ce journaliste révèle, selon des sources fiables, que le président algérien Abdelaziz Bouteflika est mis sous assistance respiratoire artificielle. Ce qui, d’après lui, est un mauvais signe qui démontre que le président est dans un état critique et que ses jours sont comptés.     

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