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Algérie : « Les plus mauvaises voix, non conformes à la logique, sont les voix d'ânes ». (le saint coran).

 

                                                                       

 

                                                                        Propos criminels de Messahel : le clan Bouteflika veut-il la guerre ?

                                                                       Abdelkader Messahel, MAE algérien

C'est ainsi que Ramdane Lahmamra est révoqué. Abdelkader Mssahel va marquer d’un crêpe noir, l’histoire algérienne en politique étrangère, surtout en ce qui concerne le Maroc. Depuis sa nomination à la tête de l'écurie Algérienne des affaires étrangères au mois de mai 2017, cette mule noire collectionnait ce qu'elle va dire de mauvais contre le Royaume du Maroc afin de satisfaire le chef du clan présidentiel en Algérie Said Bouteflika et lui montrer que son choix à la tête de la diplomatie d’Autruche Algérienne était le bon, 

Pour en arriver là, il doit s'en armer des plus pires de mensonges et de déformations conformément à la matrice et la feuille de route tracées par ses prédécesseurs au département de propagandes étrangères algériennes?. Il lui a fallu beaucoup d'efforts pour plaire à son nouveau parrain Said Bouteflika. Il s'était vu dans l'obligation de ramasser, à cet effet, le meilleurs des fourbies de son cahier de note, qu'il détenait depuis qu'il était porteur d'un portefeuille poli-valant à mille pointes, portant l'adresse de plusieurs composantes du ministère délégué aux affaires Maghrebines, d’Afrique, d'arabe, du monde, des non-aliénés et de toutes les conneries de la planète.

Le pouvoir en place à Alger, prétend qu’il s’agit-là d'une nomination, destinée à rendre plus efficace la politique algérienne contre l'offensive diplomatique Royale qui a déplumé tous les arguments algériens anti-Marocains, qui ne résistaient pas à la vérité des faits historiques Marocains au sujet de ses Saharas oriental et de celui qu'il appelle occidental.

Quand on sait de quelle manière Lahmamra a été viré avec ses subordonnés, à la suite du retour triomphal de la raison Marocaine en Afrique, en janvier dernier à Addis abeba en Ethiopie, le jour-même de la proclamation par toute l'Afrique de la victoire diplomatique silencieuse Royale… C’est-à-dire par la répression massive des pays Africains corrompus et séquestrés sous le ciel Algérien, en particulier l'Afrique du sud des Zuma, avec le bilan que l’on sait.

Illégitimité absolue..Aucun pouvoir, et à fortiori un pouvoir illégitime, n’a la capacité d’effacer les dégâts et cicatrices de la mauvaise gestion perpétrés par les dirigeants algériens depuis 1962. l’Algérie, pourtant têtue et orgueilleuse, refuse obstinément de se réveiller de son cauchemars leadership, pour couvrir honnêtement les maux qu'elle a commis aux Maroc durant les cinq décennies noires – de 1962 à nos jours –. Ce qui n’empêchera en aucune façon, le Maroc, à tout moment, d’instrumenter le Droit à sa défense, militairement s'il le faut, pour contraindre ses ennemis algériens à la réparation.

Les Coups d’Etat, militairo-électorals des 19 juin 1965 et du 11 Janvier 1992, perpétrés par les généraux putschistes inféodés à la France et le chaos politique et sécuritaire qui s’en sont suivis en Algérie, auront abouti à un quasi  démantèlement des structures socio-économiques, institutionnelles et politique de l’Etat algérien et à la dislocation de sa Société, avec l’émergence de Said Bouteflika et sa suite.

Je dis bien Said car Abdelaziz n'est plus, depuis son discours d'adieu à Sétif en 2012, où il en a étonné plus d’un, en décrétant la fin de sa mission dans la gestion des affaires du pays.(Jili, Tab jnanou - ma génération est arrivée à terme).

Le pouvoir Algérien, au lieu d'exprimer la repentance au Maroc pour ses crimes perpétrés contre les intérêts du Maroc.Il récidive et  s'en fuit en avant avec une mise à mal de toute réconciliation, prouvant l’illégitimité-même de son pouvoir politique, préoccupé à rechercher une légitimation – au prix de graves abandons de crédibilité d'Etat. Dieu merci, cette mise en otage de dirigeants politico-militaires félons Algériens, ne saurait en aucune façon subroger le Peuple Marocain de ses droits à sauvegarder son intégrité territoriale. Pour la simple raison que ces Droits sont Imprescriptibles.

Mon lectorat découvrira certes, les ingrédients qui m'ont poussé à faire une telle introduction,aussi forte que prévu. Je la faite pour préparer le lecteur à m'accompagner dans mes modestes analyse et développement concernant les sorties médiatiques que vient de faire en "flot" le pseudo-ministre des affaires étrangères de l'Algérie. C'était une goutte qui a fait débordé le vase.

Devant la perte de vitesse de sa diplomatie en Afrique, Messahal  fait des déclarations gravissimes au sujet de la politique africaine du Maroc.Cela serait la convenance du clan présidentiel dominé par Said Bouteflika qui cherche, par tout moyen, à calmer l'opinion publique locale, agitée par l'attitude "surprise" de la pseudo-opposition, regroupée en bloc, pour demander la destitution, pure et simple de Bouteflika,par l'application de l'art.102 de la constitution algérienne criant « Montrez-nous le Président ! ».

Faut-il rappeler, l’opposition ne croit pas aux assurances du pouvoir sur l’état de santé de Bouteflika,  elle  réitère « son attachement plus que jamais au débat sur la vacance du pouvoir».

D'autant plus, trois personnalités Algériennes, disons "crédibles" sont sorties de l'ombre pour crier au voleur,"Trop, c'est trop!en l'occurrence Ahmed Taled Ibrahimi, ex-ministre des affaires étrangères - le général à la retraite Rachid Ben yalless, ex-patron de la marine algérienne qui a coutoyé au quotidien les présidents Ben Bella, Boumediane, Chadli et Zeroual, et qui, parait-il, traîne moins de casseroles - Ali Yahya Abdennour, avocat, homme politique et militant des droits de l'homme en Algérie.

C'est gênant pour le président "en cache" Said Bouteflika, qui se croit vraiment, l'héritier du pouvoir, à avoir le droit d'être le favoris à la succession de son frère. C'est pour cette cause que Abdelkader Messahal refait apparition et sortait de sa sale coquille, faisant avaler aux dingues algériens des fourbies portant préjudice à la grandeur du Royaume Chérifien du Maroc.                 

Le Maroc blanchira-t-il vraiment l’argent?. Je reprends l'accusation telle quelle : «Le Maroc blanchi de l’argent du haschisch en Afrique?».Une accusation mensongère grave que tous Marocain n'hésitera à qualifier d'énième «opération d'intox qui trouve, tout naturellement, sa place dans la longue et regrettable série de provocations algériennes à l'égard de notre pays.

Bien avant cela, ce même Abdelkader M'essahal accusait le Maroc d'espionner les ministres Algériens à l'étranger et plus précisément en France. Des accusations, à la légère, qui confirment que le pouvoir Algérien n'hésitera pas à revenir à la charge à la moindre occasion. Sa tentative d'exploitation de n'importe quoi contre la grandeur du Maroc le confirme.                                                                                    

Pour minimiser l'ampleur de la progression de la diplomatie Marocaine contre la sienne et apaiser, en quelque sorte,  le choc, d'échecs et de défaites que subisse la diplomatie Algérienne à travers le continent Africains et presque dans tout le monde par les performances victorieuses de la diplomatie silencieuse Royale, qui réussissent beaucoup plus à effacer les mauvaises traces propagandistes algérienne concernant note cause nationale, le ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel  a , ce vendredi 20 octobre, lors d’un débat avec les chefs d’entrepreneurs  algériens a accusé le Maroc  de cette façon fustige. 

En plus de ça, Le chef de la diplomatie algérienne a ajouté que la compagnie Marocaine du transport aérien (la RAM) opérant vers les pays africains, je cite : “ne transporte pas uniquement que des voyageurs ?? ”.Il y a des dirigeants africains qui le reconnaissent”fin de citation.

Les observateurs étrangers qui y étaient en place, qui selon les dépêches de presse, ont constaté que ce patron des diplomates algériens mélange ses mots " du haut en bas et de gauche à droite , mettant l'accent surtout sur un passage qui rafraîchit, parait-il, sa mentalité qui souffrait, en substance, de manque de tabac à chiquer:“(chem'ma), sous le sourire artificiel d'un entrepreneur thuriféraire à coté.

"Beaucoup parlent de la présence Marocaine sur les marchés africains, en réalité, il n’y a rien (makan walou)”, a-t-il dit pour se soulager, en affirmant que “tout le monde sait que le Maroc est une zone de libre-échange ouverte aux compagnies étrangères pour ouvrir des usines et employer quelques Marocains”.

Il a insisté enfin sur la nécessité de promouvoir la "destination Algérie" pour attirer des investisseurs étrangers en affirmant, voire en inventant que des rapports étrangers classent l'Algérie parmi les dix pays les plus stables et les plus beaux, se réjouissant d'écarter l'Egypte, la Libye, la Tunisie et le Maroc. En plus pire encore, il invoque aussi la RAM (Royal Air Maroc) qui selon lui transporte autre chose que des passagers!”.

Ripostes au petit feu.Le Maroc n'a pas laissé attendre, il a vite réagit, l'ambassadeur du Maroc à Alger rappelé pour consultation et le chargé d'affaires de l’ambassade d’Algérie à Rabat a été convoqué au siège du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale. Il lui a été signifié le caractère irresponsable, voire "enfantin", de ces déclarations, émanant de surcroît du chef de la diplomatie algérienne, censé exprimer les positions officielles de son pays au niveau international.

Ces déclarations sans fondement "ne sauraient porter atteinte à la crédibilité ni au succès de la coopération du royaume du Maroc avec les pays africains frères, et qui est largement saluée par les chefs d’Etat africains et appréciée par les populations et les forces vives du continent".fin de citation

Mr. Bourita a ajouté que ces allégations "mensongères" ne peuvent justifier les échecs ou cacher les véritables problèmes économiques, politiques et sociaux de l'Algérie, et qui touchent de larges franges de la population algérienne, notamment les démunis et la jeunesse.

Du reste, le Royaume du Maroc déplore toute atteinte à sa grandeur, du fait que l’action efficace et les efforts considérables du Royaume du Maroc, notamment en matière de lutte contre les trafics de drogues, y compris en particulier les substances psychotropes en provenance de l’Algérie, sont largement connus au niveau international et reconnus par les institutions internationales spécialisées.

Le Royaume du Maroc, en condamnant ces propos affabulatrices, d’un niveau d’irresponsabilité sans précédent dans l’histoire des relations bilatérales avec l'Algérie, relève qu’ils coïncident avec la tournée régionale de l’envoyé personnel du secrétaire général pour le Sahara Marocain, ainsi qu’avec les préparatifs du Sommet UE-Afrique, prévu fin novembre 2017 à Abidjan, auquel la fantoche rasd-Algésario est exposée à l'exclusion.                                                         

G.P.B.M. se déchaîne..Le Groupement Professionnel des Banques du Maroc, n’a pas mis longtemps à répondre aux accusations du ministre algérien des Affaires étrangères, sur les organismes financiers Marocains.

L’ensemble du secteur bancaire Marocain, s’insurge vigoureusement contre ces allégations graves et mensongères. Mr.Othman Benjelloun, président de la BMCE, décide volontairement d'ester le ministre Algérien en justice internationale, ajoutant que «ces déclarations témoignent de son ignorance totale et flagrante des règles de gouvernance et d’éthique qui régissent les activités des banques.

Sachant que Mr. Othmane Benjelloun n'est pas n'importe qui. Il est l'homme N°1 au point de vue fortune au Maroc,est aussi l'homme des missions spéciales qui inquiètent le Royaume. Il a ses avocats de renommée mondiale aux alentours de la CIJ (Cour Internationale de Justice) à la Haye.

Nos Marocains seraient à la chasse des ministres algériens? C'est du moins ce que pense la mule noire de l'Algérie. En l'absence d'ambassadeur d’Alger à Paris, la nouvelle mule noire de la diplomatie algérienne a inauguré sons plan d'action, par charger le dénommé Amar Belani, ex-porte-parole du ministère algérien des affaires étrangères, ambassadeur  de l'Algérie, actuellement à Bruxelles, d'user de son savoir-faire 'mensongère' et charger une tribune de presse, de préférence Française, pour faire circuler médiatiquement des prétendus actes d'espionnage des Services Secrets Marocains perpétrés contre des hauts responsables algériens en mission en Europe et plus particulièrement en France? 

Pour en faire la grande publicité et réussir cette invention, la presse locale algérienne, pro-pouvoir, montait au créneau et commençait à émettre des étincelles. même "AlgériaTimes" ne manquait pas de soucis, elle se mêlait en profondeur. 

Cela signifie, qu'il y a des trous, voire de grands trous d'air à l'ambassade d'Algérie à Paris, la meilleure sauvegardée, dit-on, de toutes les ambassades d'Algérie. Elle est restée vide depuis Janvier 2017, après le renvoi, de l'ambassadeur Amar Ould Jemaâ, sans  explication aucune.

Sauf qu'on lui reprochait d'avoir distribué, à tort et à travers, des convocations pour le forum-avorté de Ramdane Lamamra, qui projetait à concurrencer la diplomatie Marocaine en progression, et sauver la face algérienne, suite à ses échecs successifs, dans la perspective de la faire briller, plus que toutes activités du Maroc en Afrique

À lire la presse algérienne, on est saisi par la virulence des analyses contre les propos criminels et la "bourde" de Messahel, qui plonge la diplomatie du voisin de l'est dans un crépuscule. Même au Maroc, nul ne l'a encore appelé "sergent Garcia". 

Je termine par la réaction officielle Algérienne exprimée dans ce sens par la primature d'Ouyahya. Ce premier con de l'Algérien a choisit de tendre la tensiondisant à travers la Radio "tant pis pour les Marocains et tant mieux pour nous" disait-il. C'est vrai "Ankar Al Assouatt" pousse naturellement les équidés atteints de rage à s'exprimer de cette façon.

Le silence d'Alger..Le chef du gouvernement Espagnol dissout le parlement de Catalogne, annonçant la convocation d'élections prématurées en décembre prochain en Catalogne, quelques heures après la déclaration d'indépendance.

Quant à Alger, avocat autoproclamé du "droit des peuples à l'autodétermination", tout comme ses marionnettes du Polisario, se drape dans un silence déconcertant sur le cas de la Catalogne du séparatiste "Puigdemont", mise sous tutelle constitutionnelle par  Mr. Rajoy sur fond de velléités indépendantistes. Bonne lecture. 

                                                                              Cordialement, Chihab25

 

 

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