Maroc : Spécial Gendarmerie Royale..
Hosni Ben Slimane : Mission accomplie
Le général de corps d'armée Hosni Benslimane.
Hommage aux braves..Contrairement à ce que font les autres pour les morts, la rédaction du blog a l'honneur de rendre hommage à ce grand homme d'Etat dans son vivant, en lui souhaitant longue vie et repos du guerrier.
Pour ceux qui l'ont coutoyé, il est, selon les termes du temps, la boite noire de la Monarchie et de l'Etat Marocains et une bibliothèque vivante d'histoire politique nationale très riche. Malheureusement, l'obligation de réserve militaire ne lui permettra pas de dire tout ou divulguer le minime de ses secrets, ce qui privera certes nos générations futures d'y accéder ou de voyager à travers ses mémoires.
Il fut un des rares serviteurs de l'Etat resté fidèle, plus que la fidélité elle même, à la devise nationale (Allah-Lwatane-Lmalik) depuis qu'il était en 1961 un petit lieutenant gendarme au palais Royal.Par intelligence d'homme de confiance, il a su comment s'en sortir indemne de toutes les tempêtes qui ont secoué le pays depuis l'intronisation en mars 1961 du feu Sa Majesté le Roi Hassan II que Dieu ait son âme.
Mr.Hosni Benslimane, un des généraux les plus gradés du royaume, aura marqué de son empreinte "digitale"aussi bien la Gendarmerie royale, un corps militaire fort, aujourd’hui donné en exemple, non percé, même pas, par ses plus proches des politiques (.!.) .
Il est commandant de la Gendarmerie royale depuis plus de 45 ans. Et jusqu’au bout, il aura été d’une intégrité sans faille, d’un dévouement rarement égalé et d’une redoutable efficacité. Si la Gendarmerie est aujourd’hui un des services de sécurité les plus modernes du pays, c’est grâce à lui.
Ce grand homme d'Etat, a marqué de son empreinte ce corps militaire connu tant par son grand ancrage que par la grande efficacité de ses actions. Ce n’est pas pour rien qu’il figure parmi les officiers les plus gradés des Forces armées royales (FAR), en un bon chevalier avec ses pairs, les généraux de corps d'armée feux Abdelaziz Bennani et Abdelhak Kadiri, ainsi que Bouchaïb Arroub.
Le Quadruple d'or des corps d'armée
Plus qu’un moment solennel de passer le flambeau, la réception a été également un moment d’hommage à celui qui a pris les commandes de la Gendarmerie royale en 1972 pour ne plus quitter cette fonction. Jusqu’à aujourd’hui, date à laquelle il a marqué son départ à la retraite.
Attention à la marche. Je suis contraint de terminer par des anecdotes. Le site électronique «le Desk» invente des hypothèses à la mise à la retraite du général Hosni Ben Slimane. Il avance, entre autres, que, je cite:
«Inoxydable patron tutélaire de la Gendarmerie depuis 1972. Son parcours est lié aux dossiers les plus noirs de l'ère Hassan II. Sa mise à l'écart ne serait pas étrange à sa position supposée critique envers la gestion ultra-sécuritaire du hirak Rif». fin de citation.
D'autres tribunes évoquent «la défaillante négligence de la Gendarmerie Royale qui a la responsabilité de veiller à la sécurité de l'aéroport Rabat-Salé. Il y a environ une semaine, une affaire d'infiltration surprise à la piste d'un "malade mental" ayant provoqué le saccage d'un petit avion appartenant à une princesse du Golf a secoué le corps de la Gendarmerie Royale provoquant une série de sanctions et des victimes».
Commentant ces allégations qui ne sont que des fourbies, la rédaction du blog qui ne croit pas d'ailleurs à des suppositions médiatiques qu'elle considère en ('kalam Guaranine',comme disait Hosni Moubarak l'ex- président Égyptien) ne trouvera quoi dire de mieux à ce sujet que de revenir à un dicton du dialecte Marocain qui dit : «M'nine imout l'myett, yattwalou rajlih» C'est-à-dire : On attribue volontairement au mort tout vent, qu'il soit bon ou mauvais.
Nous souhaitons bonne chance à tous, sans tenir compte de ce que diront encore les détracteurs. Surtout, si on s'arrête, un moment, pour visionner le rétroviseur d'événements, on se souviendra, que cet homme, à qui nous faisons les adieux aujourd'hui, avait dit un jour, en plein campagne de critiques contre quelques gendarmes d'unités de contrôle et de circulation, que certaines voix cassées les accusaient de corruption.
Il avait fait entendre gentiment en un moment d'euphorie, je cite :
«Ce qui m'intéresse et peut même m'en tracasser, ce n'est pas la petite corruption! Non! c'est de faire éloigner à mes éléments l'esprit de traîtrise et de ne les voir jamais menacer ou tirer, à bout pourtant, contre le palais Royal» (المهم ما يضربوش غير القصر)
C'était une réponse et parole d'homme d'Etat, fidèle à sa carrière.Et aussi une façon très intelligente qui fera taire les détracteurs et dissiper leurs inconséquences qui tentaient, en vain, d'entacher l'image brillante de la Gendarmerie Royale de l'ère Ben Slimane.
Oui en effet, c'était cela qu'il a fallu aux détracteurs d'aborder et non pas les quelques dhs soulevés par celui qu'on appelait vachement "le tireur à gâche de Targuiste" ou d'autres pécheurs dans des eaux usées et dans des boues ».
Moi dans des cas pareils, je ne crois pas à l'esprit des lois de Montesquieu plus que ma croyance à ce que dira un général du genre et de la patte de Hosni Ben Slimane qui fait figure de leader en commandement en toutes circonstances de la météorologie politique nationale que connaissait le Royaume en un demi siècle ou presque!.
Mes devoirs mon général. Reposez-vous bien, vous méritez sans surenchères, les éloges les plus particuliers de tous les sujets de Sa Majesté le Roi.. Vous partez avec la tête haute du guerrier, car vous avez bien corrigé les failles de vos prédécesseurs, hissant, calmement, la Gendarmerie Royale, à la haute marche du podium, en «Corps de sécurité gigantesque et de fièreté nationale».. Merci à vous mon général.Vous me connaissez pas et moi non plus, mais je m'exprime, sincèrement, en faveurs d'une personnalité publique, que vous êtes. Vous méritez, à mon sens, un vibrant hommage national.
Au petit clin.Enfin, je ne peux m'en passer sans jeter un mot irritant à nos frères-ennemis algériens qui ont déjà eu maille à partir avec nous Marocains et qui ne cessent de nous envier, pour l'authenticité et la grandeur de notre pays le Royaume du Maroc.
Faut-il remarquer, si je consacre mon article aujourd'hui à la Gendarmerie Royale, c'est par conviction grandiose et par preuves à l'appui et ce pour prouver aux ennemis de notre intégrité territoriale que notre pays est grand, voire plus grand, plus que toute imagination haineuse, par sa Monarchie, ses hommes et par son histoire, dépassant beaucoup plus une Algérie qui vit son adolescence sous des sales bottes, étant qu'elle venait juste, de tomber en 'gouttes' du plafond.
La preuve, est que nous Marocains, c'est nous qui ont le "Nez". Un nez qui sait comment sentir les bonnes odeurs et sait où sont les bons arômes du parfum. Nous ne sommes pas habitués à sentir que de la pourriture du tabac à chiquer algérien. Nous n'imitons personne, pas non plus les frivolités d’autrui, au contraire, nous innovons des potentialités, des créativités, offrant même des opportunités aux autres et pour les autres et nous sommes le meilleurs leadership à suivre.
D'autant plus, on n'a pas l'habitude de créer, des polémiques, de déformations ou de gesticulations gratuites, laissant le déshonneur à l'APS Algérienne, quand nous engageons pour préserver l'honneur Marocain, des ténors du barreau Français pour défendre nos intérêts contre les diffamations, les injures et les fourbies de nos ennemis algériens et ça va barder avec Abdelkader Messahal qui s'interroge à l'Algérienne : Est-ce-vrai? Oui, c'est vrais..on joue pas, quand on touche à l'honneur du Marocain.
Si nous devons rendre hommage à quelqu'un des nôtres, d'abord on ne pleure pas d’étrangers à notre société, du genre de Jean d'Ormesson et Johnny Hallyday, contrairement aux algériens qui n'ont pas manqué d'imiter les Français, même dans leur deuil. Non, nous au moment du recueillement, nous pleurons spirituellement, quelqu’un des nôtres, de la valeur de Sidi Abdallah Guennoune et Mohamed Mokhtar Soussi ou un autre de leurs pairs Oulama du Maroc.
Si quelqu'un de chez nous est appelé à tendre sa tête, il le fasse avec plaisir, car il se sent décontracté, partageant même un vrai moment de complicité avec son galonné. En fait, on a pas de Gomiers chez nous qui nous crachent la saleté du "Chemma" à la figure, même en indisciplinés. comme fait souvent aâmhom Salah à ses dingues hitistes.Un comportement harki aussi horrible qu'inhumain, devant mettre un jour 'incha allah',ce tyran Salah face au spectre d'une insurrection et de désobéissance à conséquences imesurées pour exploser son ostentation gratuite.
Pas non plus à un harki issu de la catégorie des caporaux Gaullistes. Si on le voit vêtu en civil. Il ressemble bien à ses pairs bannis algériens qui traînent les pieds, tout au long de la journée pour avoir de l'aide et de l"aumône, aux quartiers populaires à hauts risques, comme celui de Barbes à Paris.
Je n'invente rien si j'évoque le cas des Algériens qui dépassent la mise à la rase, se mettant, volontiers ou par crainte, à plat-ventre, devant l'acharnement d'un ex-caporal chargé de service à l'armée Française, un dénommé Aâmi Salah, en l'occurrence, l'actuel homme fort en Algérie, le général Gaid Ahmed Salah,devenu du jour au lendemain, le pseudo-vice ministre de la défense et chef d'Etat major de l'armée Algérienne,devançant ainsi, les thuriféraires du sérail et le recul d'élites algériennes.
Moi personnellement, je me réjouirai, par force des lois, de me mettre au tombeau ou tendre ma tête et la soumettre à la rase par des généraux qualifiés qui ont forgé leurs carrières dans des académies, écoles d'Etat major, écoles de guerre et dans les hautes instances de perfectionnement militaire du genre du général de corps d'armée Hosni Ben Slimane et de son successeur à la tête de la gendarmerie Royale le général de division Mohamed Haramou et fier de me tenir debout, en position de respect, devant cette catégorie silencieuse de militaires et hommes d'Etat de mérite.
Je conclue par le signifiant.Le moment où ceux de Tizi Ously et celui d'Ain Cheair ont trahi leur serment,la volonté divine a couvert le pays de sa clémence.Et c'est grâce à celui de Doukkala, qui n'est que le général Hosni Ben Slimane, que (le prince est devenu Roi, le Roi a son héritier, ce qui a préservé le règne de la dynastie Alaouite. Dieu merci,la Monarchie Marocaine est encore en vie, saine et sauve !).
C'est tout..! je n'ai rien à dire de plus là-dessus et je n'y peux non plus, entrer en polémique avec les détracteurs du général, ni éventuellement avec les allégations et mélanges lécheurs qui ne sont pas au mieux, en la forme et contenus, bien que ce soient des inutiles pour les crédibiliser que Abdelhamid El Aâouni qui s'apprête à publier prochainement dans Al Ousboue Sohofi, dans un dossier sur la Gendarmerie Royale, d'après ce qu'il appelle "le séisme du limogeage du général Ben Slimane" sous l'intitulé «La Gendarmerie Royale remet les "opérations spéciales" au 3°bureau des FAR» telles qu'elles soient justes ou fausses.Bonne continuation.
Le général de division Mohamed Haramou en audience Royale
Je n'ai aucun droit de faire de prédites ou de pronostics,ou de m’immiscer dans les affaires d'une carrière qui n'est pas la mienne, étant que j'en ai de possibilités que de parler avec mon clavier, hors des casernes bien sûr. Nous simples citoyens, nous refusons d'êtres otages d'un passé qui n'est pas le notre.Nous voulons seulement voir l'effet du vent à décorner les bœufs,donnant un nouveau sang au corps, même si nous ne sommes pas directement concernés par la donne ni par toutes manipulations possibles.
En tant que tels, je supposerai en toute liberté d'expression, comme tout autre observateur, qu'un grand changement qui redressera les ponts, ici et là, va être entrepris certes, au sens positif, par le nouveau patron de ce grand corps national.
Ce qui est sûr, c'est que le vent souffle, il pousse au petit matin les nuages vers le gris et vers le bon du ciel. On a tout loisir d'observer désormais leurs petites manigances et c'est sûrement le vent à «décorner les bœufs» dans la grande prairie nationale qui souffle. Nonobstant, je ne sais pas d'où m'est revenue cette expression! Peut-être, parce qu'on est trop enthousiasmés de voir le mieux et couper avec les accolades et tapes dans le dos. d'un tel ou tel.
Mon lectorat se surprendra certes, s'il constate que j'en fonce trop dans le crépissage et badigeonnage! Et si cela est le cas, ça ne serait uniquement que pour voir le désir et le choix de SIDNA se concrétiser en vraie réforme et en grande valeur ajoutée en la matière.
Mais faut-il rappeler à cet effet, et dans cette phase d'attente la plus "risquée pour certains et cauchemar pour d'autres", durant laquelle on craint d'être assailli par les abeilles du changement, qu'un certain Abdelkrim Filali me revient à la mémoire.
C'était un grand conteur des années 60/70 du siècle écoulé de la place Jamaâ Lafna à Marrakech. Il rapporte dans un dicton spectaculaire attribué à une histoire imaginaire du "Lion et Boufessiou".( a'chad-h'zamak..kolchi,a3dou! ).Ce n'est qu'une alerte non-contraignante, mais non abstruse aussi, qui serait le cas échéant applicable, à tout moment de redressement ou de dressage. Pour bien apprécier le sens, visualisez la vidéo au pied de la page, en première rangée à droite à partir du point de lecture (2.10).
A propos, le séisme politique qu'a tout récemment ravagé, la scène politique nationale, balayant un tas de ministères et valets de chambre qui s'y trouvent, nous a appris trop d'alertes.
Dans le meilleurs des cas inopportuns qui soufflaient sur quelques institutions de l'Etat, on trouvera, que certains malheureux candidats au débarquement, prévoyaient l'incertain, ils auraient même prémédité la force de la tempête, faisant ainsi leurs valises, pour une faille, non mesurée, ou pour une autre, pour changer de pont ou de descendre, tout simplement, du navire, en particuliers ceux qu'on appelait "m'ssakhatt l'malik".
Ça serait aussi le cas pour la Gendarmerie Royale après le départ triomphal du général Hosni Ben Slimane et l'arrivée, tant attendue, du général discret Mohamed Haramou, le parrain d'escadrons d'honneur, qui le remplace, menu de nouvel sang et équipé de bons souffles alimentés d'orientations et de hautes instructions royales.
Si quiconque prédit un séisme au sens du terme, moi non plus, j'envisage une simple secousse à faible magnitude qui évitera, de préférence, à la grande "cocotte-minutes" de la Gendarmerie du boulevard Avicenne à Rabat de s'exploser ou du moins de perdre de son efficacité de cuisant. Bonne lecture. Très cordialement,Chihab25