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Algérie: Non, Boumédiane n'a pas construit un État.Si son clan était fort, il n'était pas le plus juste!.

       مرةً أخرى .. ضربة موجعة لمرتزقة البوليساريو و صنيعتها الجزائر        Aucun texte alternatif disponible.     
               

Bilan pleinement vide..La seule chose réalisée par Boukharouba dans son vivant et qui perdure encore, reconnue par tout l'univers, c'est le problème artificielle du Sahara Marocain qu'il a créé en toutes pièces pour amputer du Royaume du Maroc sa deuxième jambe après avoir assassiné son droit territorial en amputant, vachement via la stupidité Française, son immense territoire du Sahara Marocain oriental.

D'autant plus il a réussi en parallèle à semer dans la mentalité des algériens, pas tous les algériens, l'obsession de la peur, la culture antipathique de haine, d'hostilité et de vengeance contre la générosité du Maroc. Ce Maroc qui accueilli la révolution algérienne pendant toute sa peine de huit de guerre.

Et aussi, n'oublions pas qu'il a laissé aux algériens un nain mort-vivant qui gouvernait lui aussi, dans son vivant les algériens de la même manière que son parrain..Je me souviens d’un artiste thuriféraire algérien qui avait écrit une page de louanges dans le journal Français le Monde en 1999 à l’intention du président nain Algérien Abdelaziz Bouteflika !

Le terme nain n’est pas de moi, c’est de Bouteflika lui-même qui l’avait d’abord utilisé en s’adressant à un groupe de Kabyles lors d’une visite au Canada. Il disait : – Lorsque je vous vois de loin, vous êtes des géants, mais de près vous êtes des nains !

Eh bien,, j’affirme au nain et ses ingrats, non seulement, que nous sommes, nous Marocains, des géants,(acte et parole) mais en plus,ça tu le sait bien plus que d'autre algérien, nous allons faire de notre Sahara Marocain, si votre Algérie persiste encore, un cimetière géant pour la racaille de hitistes que garde Aâmkom Salah, sous la tutelle de ton conseiller-frère.

Votre Chengriha, le major des bergers de Gaid Salah à Tindouf, ne nous fait pas peur non plus, par ses séquences de musculations, ni avec celles de votre bâtard le polsario, car nous avons des faucons bien entraînés qui lui arracheront les pupilles.

Les algériens ont découvert comme nous autres Marocains que le nain amnésique que tu es, qui renie ses origines, qu'un jour ou l’autre, il va falloir à ton conseiller-frère d'avoir l'amabilité de s’occuper de tes funérailles, en l'absence de ton peuple qui n’est respecté nulle part dans le monde, il est traité comme moins que rien.

Sais-tu que les Algériens te considèrent toujours en Marocain banni. Je vais pas répéter ce qu'a dit récemment un algérien, en t'adressant une lettre ouverte (arrêtes ce théâtrale, tout le monde a quitté la salle).Cela prouve que ton bilan pendant toute la croisière est nul Mr.le Nain.

Sûrement je m'adresse à aux successeurs de ton vivant, tant que tu n'es plus, il te manque qu'un seul clou au cercueil pour que tu dégages. Personne n'osera t'en parler ainsi, même celui qui s'occupe de ton poussoir, ne pourra te souffler à l'oreille.

Un peuple insulté et méprisé. Les décideurs au clan présidentiel jouent le malin au temps mort pour gagner encore de l'espace pour le statu quo et faire croire à l'algérien que Bouteflika se rétablisse normalement et est dans la capacité et dans la mesure de gouverner encore au-delà de 2019, selon Ouyahya, Ould Abbas et Ksentini.

On vient tout juste d'annoncer la "probable candidature" du mort-vivant actuel pour un cinquième mandat. Mais ce dont les algériens curieux sont sûrs, c’est que ces décideurs ne sont pas très intelligents et qu'ils sont sûrs d'eux sans avoir peur du ridicule.

Une information à prendre avec des pincettes, néanmoins, sachant qu'une telle décision aurait été prise dans la cuisine présidentielle, dont Mister-chef n'est que l'heureux prince de la famille, ayant montré son talent à tendance à caser le personnel politique qui contredit la tangente du pouvoir et le disperser dans des postes diplomatiques, puisque le rôle de l'ambassadeur algérien consistait, entre autres, à travailler énergiquement contre le vent Marocain, et à se rouler les pouces en profitant des privilèges de la fonction sans aucun intérêt en retour pour l'Algérie. 

Le silence des algériens donne, certes, lieu à des gesticulations dans la guerre de clans qui se disputent l’héritage d’un pouvoir agonisant, poussant une oligarchie nauséabonde à redoubler de férocité dans la dilapidation des restes de la rente.

Les observateurs de la chose algérienne font croire cependant qu’à présent, la contestation populaire risque de s’élargir en Algérie, car l’Etat est devenu un satellite de groupes informels (mafieux en majorité), les soi-disant institutions se délitent et la répression va, elle aussi, se durcir contre toutes contestations émanant de ceux qui refuseront le fait accompli. Pourtant, toute crise émergente n’est que l’aboutissement d’un long et coûteux processus de dilapidation du fond public algérien et de corruption.

En exemple un Chakib Khalil, ex-ministre de l'énergie, patron de la"Sonatrach",la  vache laitière de l'Algérie et bailleur de fond du régime algérien qui sort brusquement, sain et sauf, très bien lavé par Mister-Chef, l'heureux-prince de la cuisine présidentielle, jetant ainsi, à la poubelle de la justice algérienne tous les dossiers de corruption qu'on a voulu lui coller. Il sort comme une poile de la patte, pour visiter les Zaouia à travers tout le pays et faire campagne de bénédiction en faveurs de la famille en règne, pour qu'elle séjourne davantage à la présidence de l'Algérie et au palais d'Al Mouradia et aux résidences somptueuses qui l'entourent.(Une mission bien taillée = donnons-donnons).

Et les Algériens se demanderont qui paiera le prix de l’amnésie? Mais de quelle amnésie peut-on parler? si les teneurs de ficelles au cercles pouvoir, ou plutôt, les membres du clan d’allégeance de Boueflika, n'ont qu'une seule carte à hisser, à chaque instant que la nécessité l'exige, pour culpabiliser la société algérienne - la main étrangère - allusion certes au Maroc et à la France -, étant seuls qu'on connait en Algérie depuis l'ère de la pierre taillée, et peut-être, légèrement un peu, la Tunisie, le Mali et le Niger.

Cette main ennemie que les gouvernants algériens tiennent constamment à lui valoriser la cote de valeur dans la bourse du pouvoir, de mensonges et de déformations, qui dit-on, guette et menace en permanence la stabilité de l'Algérie.

Il s'est avéré qu'une telle attitude d'un pouvoir gravement affaibli est nécessaire pour maintenir le statu quo déplorable à tous les échelons et plus particulièrement au niveau de la gouvernance et permettre, en parallèle, aux retardataires dilapidateurs de voler encore plus.

Et pourquoi pas recourir à une telle issue de chantage, comme arme épouvantail gratuite, héritée du système Boukharouba, et confortée par ses successeurs, puisque les algériens, dans leur majorité, sont dupes de nature, ils aiment la soumission, aussi être attachés à une stupidité dorée d'ostentation, pour y croire n'importe qui avec son n'importe quoi, surtout si cela émane de quelqu'un qui se place en haut du pôle du moulin.

Je ne fais pas de méprise à leur encontre, c'est la réalité que personne d'eux n'y peut démentir.La bas, quand on a son "chemma", on applaudisse, sans savoir quand, ni comment, ni pourquoi. On applaudisse même à Boufessiou de Abdelkrim Filali de Jamaâ L'fna, le petit oiseau coloré qui fait trop de bruit.(صدق من قال توفي المرض بعد صراع طويل مع بوتفليقةBonne lecture.

 
 

                                                              Cordialement,Chihab25

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¹.Les Messalistes ce sont les adeptes et les sympathisants de la confrérie politique d'un certain Messali Lhaj qui s'est converti en homme politique contre le colonialisme Français dès 1945, ayant joué un rôle pionnier dans le processus menant à l'indépendance algérienne. Il était, à cet effet, le fondateur de plusieurs tendances politiques locales dans le contexte de lutte fratricide engagée contre le (FLN) pour la direction de la révolution algérienne.Dès 1957 il est privé de tout rôle politique au sein du GPRA, tout comme après la création de la nouvelle Algérie de 1962.

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