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  • Maroc-Algérie : Expressions-dz ! «Si une mule tombe en Irak, c'est le Maroc qui en est derrière et qu'il est aussi derrière tous les maux dont souffre l’Algérie.», .

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    Un p'tit clin d’œil.. Le président Algérien Jebboune mouille son maillot dans l'idéologie zombie pour accuser davantage le Maroc.Dans une sortie médiatique, il évoquait un complot visant l'équipe Algérienne de foot qui est, bien évidemment, orchestré par…le Maroc. Je préfère l'appeler ainsi (Jebboune), évitant, par respect de lectorat de l'appeler autrement, étant qu'il est le grand  "Lâche et méprisable" qu'a connu l'Algérie depuis  son indépendance en 1962. Quelqu'un me dirait certes, que ses sorties contre le Maroc ressemblent à un vieux disque rayé, entrecoupé par des inspirations profondes de haine d’un con-Algérien qui en manque de souffle. 

    Jebboune du terme arabe (جبان) se demande bêtement pourquoi les investisseurs ne viennent pas en Algérie et vont dans des pays qui souffrent de "la faim!", comme le Maroc (sic). Au lieu d'annoncer des mesures qui en changeront le quotidien de son peuple, il s'attaque gratuitement au Maroc pour plaire à son commanditaire, le général-pisseur Chengriha qui par coïncidence, après l'assassinat de son parrain et montor Gaid Ahmed Salah, il détient les destinées du pays le plus  orgueil du monde. 

    A celui qui, rappelons-le, n'était d'ailleurs qu'un des prisonniers Algériens détenus au cours des Amgala 1976 au Sahara Marocain par le duo-faucon Marocain (Dlimi-Ghojdami). Il est normal, en contre partie, qu'il chercherait par tous ses moyens à se venger de son bourreau, son gifleur Marocain d'autrefois.Et malgré, il aurait fait l'objet, comme d'autres détenus Algériens de la générosité Royale. Sa Majesté le Roi feu Hassan II, lui offrait, un "transistor 6" pour suivre de loin et malgré lui, les gloires des FAR face à la racaille de son pays au Sahara Marocain. 

    Quand il ne fait pas de bon son, ses propos anti-Maroc, rejetés par tout Algérien crédible, s'évaporent en fumée. Comme lorsqu’il annonçait avec sa certitude mouillée d'urine-Chengriha, que George Washington,le premier président des USA, mort le 14/12/1799, sortait, subitement, de sa tombe pour livrer des armes à Abelkader ould Mohyeddine, alias "émir Abdelkader", né (9 ans après) le 6 septembre 1808.

    De même que sa demande inappropriée d'excuse au sujet de l'attaque terroriste  d'hôtel Asni de Marrakech, perpétrée en Aout 1996 par des franco-algériens,( des français de 2ème degré, fils de harki) lorsqu'il n'était rien qu'un simple Algérien, hors d'échiquier politique de son pays. Je persiste et je signe sous ma responsabilité que les Algériens sont des cons et c'est normal qu'ils soient commandés par des "Grands Cons", acceptant de se perdre entre les conneries de l'ex-jongleur trompettiste Sellal et l'actuel Jebboune.

    A noter et démentir..A priori tout semble étrange dans cette affaire de disparition de ca  mionneurs algériens. Affaire me rappelle à deux autres gaffes commises antérieurement de manière frivole, durant la décennie noire des années 90 en Algérie, baptisée "Qui tue qui" par les services secrets Algériens qui se croyaient plus intelligents que personnes d'autres, en l'occurrence :  

    -.GIA..l'assassinat en 1996 des moines Français  à Tibhirine en Algérie.Sept moines sont enlevés dans la nuit du - et séquestrés plusieurs semaines. Un communiqué, attribué au GIA (Groupe islamawiste armé) qui annonçait le leur assassinat. Les têtes des moines sont retrouvées le quelque part en Algérie, dit-on à Médéa ( une petite ville située à 90 km au sud-ouest d'Alger) .                                                      

    Une opération suspecte du DRS attribuée à l'Algérien Mokhtar Bel Mokhtar alias "le borgne". Pour la consommation locale cet agent DRS camouflé  en activiste-FIS s'était chargé d'animer des attaques terroristes contre des personnes ciblées, tout en faisant le semblant d'imputer l'impuissance supposée au pouvoir central d'Alger. Un énième jeu démasqué d’inélégamment des généraux Toufik, Laâmari -Mohamed et Smain- et Larbi Belkheir qui dirigeaient le pays derrière les coulisses

    -.RFI..Deux journalistes RFI assassinés au Mali en 2013, dont le dossier commence à livrer des pistes troublantes qui mèneraient vers les services secrets algériens du général Toufik lors de sa première puissance, soucieux de contrôler le Nord de Mali sans qu’aucun journaliste puisse enquêter sur les failles d'Algériens au Mali, leurs réseaux de contrebande, de trafic d'armes à haute échelle, par les clans influents de généraux et leurs manipulations suspectes sous prétexte, pays limitrophe concerné par ce qui se passerait à sa frontière avec le Mali

    Entrons en matières..Conscient de ses positions, le Maroc, habitué à des modes obsolètes tendancieux de ses ennemis Algériens ne fera plus de confiance, ni de réconciliation avec des ingrats, laissant l'Algérie s'embourber, voire s'enliser largement dans ses boues de haine et d'hostilité habituelles contre le Royaume. 

    Cette Algérie qui n'arrivera jamais à digérer les déchets de contrebande qui lui parviennent des villes Marocaines de Saâidia ou d'Oujda, ni même arriver à joindre les deux bouts, du détroit de Gibraltar et de l'atlantique, dont elle fait beaucoup de rêves d'éveillée. Ce grand Maroc continuera d'infliger aux Algériens et aux ennemis de son intégrité territoriale des douleurs diplomatiques et  éventuellement militaires et y restera malgré tout, en plein expansion et progrès aux meilleurs standards de leadership et de développement.

    L'époque de ce Royaume en maître. n'est pas celle de l'effacement de valeurs. Au contraire c'est un Maroc qui gagne davantage de l'appréciation et du respect aux niveaux continental et mondial. Il n'est pas venu de la nuit des temps, tant qu'il existe depuis des siècles et des siècles en face d'une Algérie enfantée de rien par initiative Française.

    Par contre aujourd'hui l'Algérie totalise sur ses comptes beaucoup de colères et mécontentements populaires. Ses populations devenant, de plus en plus, les cobayes d'humiliation du monde à cause des longs fils humains qui s’allongeant, ici et là, pas pour démocratiser, civiliser ou démilitariser le pays, mais tout simplement pour survivre et s'enquérir  de quelques matières de première nécessite (poudre de lait, huile et semoule et pour les chanceux de la pomme de terre), dans une Algérie de "dignité et de fierté" que leur préconisait aveuglément Bouteflika dans son vivant.

    En fait, les présidents Français Charles De Gaulle et Emmanuel Macron qui connaissent bien, plus que d'autres, l'originalité de l'Algérie, l'en témoignaient ouvertement, l'un et l'autre, créant amertume et aboies chez les Algériens.

    Sans quitter le statut de vigilance, le Maroc est au-dessus de la mêlée que le pouvoir Algérien s’était taillé sur mesure pour se plonger dans une confrontation à risques, potentiellement riche en chausse-trapes tenant en compte un seul slogan s'articulant autour du titre de la note : "Si une mule tombe en Irak, c'est le Maroc qui en était derrière et qu'il y est, de même, derrière tous les maux dont souffre l’Algérie.».

    Une méthode communiste issue de la guerre froide, copiée et collée et gardée toujours fraîche par le pouvoir Algérien qui, pour apaiser les colères et les soulèvements internes, ce régime fallacieux tient en un seul remède, à prodiguer à ses populations agitées, qui selon la mentalité malade de ses dirigeants,  est la nécessité de «rester impudiquement acharnée, continuant à tirer les ficelles de haine d'hostilité pour augmenter chez l'opinion publique locale le volume d'emmerdement et de haine, projetant à contrarier vainement la grandeur et la supériorité de ce grand Maroc.     

    La vérité que les Algériens cherchent vainement à cacher et qui ne pourront l'effacer de leur mémoire, c'est que toute tentative d’harcèlement de leur part ne réaliserait que des effets inavouablement inutiles, même si en se regarde, l'un et l'autre, la bas à l’embouchure maritime de la ville de Saâidia, là où les gens souhaitent faire n'importe quelle acclamation et exclamation, se saluer à haute voix, émettant fraternellement des messages inexploités part des officiels, de part et d'autre

    C'est une scène de soulagement entre de simples individus qui se répète quotidiennement  sur les bas-côtés de la rive Marocaine du coté de Saâidia et du "port Sey" du côté Algérien.En face à face, comme si on est dans les deux Corées d'autrefois. Des gens venant de loin parait-il, s'exprimaient intimement à voix hautes, en se communiquant  à l'éclat, par des mots de désir et de tendresse familiale. Cette situation stérile, me rappelait l'anecdote..«Quand on parlait Algérie, un vieux parent nous lançait souvent ce qui veut dire en Arabe ( الله يطوي رايتها )».

    Je dirais aux Algériens, là-dessus, qu'ils sont en train de se ruiner aux boues d'envie.Ils n'arriveront guère à tordre le bras Marocain. et me rappelle aussi ce que disait un jour Sa Majesté le Roi feu Hassan II répondant à un journaleux malicieux, en réaction vive et parfois violente  Exemple : «Un journaliste Français lui posait la question sur le complot Libyen contre lui.. Il lui rependait à visage en colère : Je m'en fou de toi et de ta Libye, tant que je suis Roi plus qu'avant».

    C'est dire que le Maroc demeurera le Maroc, sain et sauf, au détriment de haine et d'hostilité Algériennes et n'y tiendra pas de permanence parlementaire, comme en Angleterre pour écouter ou répondre aux allégations tendancieusement trompeuses Algériennes et à toutes les folies du pouvoir d'Alger. Tandis que l'Algérie ne peut, à cet effet, s'en prendre qu'à elle-même, tant qu'elle continue à soutenir le mirage et refaire toujours surface contre son maître le Royaume du Maroc.                                           

    Dernier épisode marquant de ce retour, l’acquittement de ces hommes-liges, repris de justice, dits «Toufik-Nezzar», comme conseillers à la sécurité du président algérien leur permettant d'ensanglanter davantage le peuple Algérien à l'horizon de la reprise  éventuelle du "Hirak hebdomadaire" après déconfinement de la pandémie Covid-19. 

    En effet, ce même duo avait en réalité été créé pour compenser la vacance, voire l'incapacité présidentielle par l’ancien patron du Département de la sécurité et du renseignement (DRS), le général Mohamed Mediène (Toufik), qui en revenant, à l'aise, à son fief, retroussait ses manches pour garder la main aussi bien sur la diplomatie algérienne que sur les services des renseignements extérieurs.

    Des comptes à régler...D’ailleurs, on sent en Algérie, au haut sommet de l’État, le règlement de comptes entre rivaux pour influencer le centre de décisions présidentielles. Un certain Mesbah, est apparu subitement sur la scène.Considéré comme très proche de Toufik, s’est vu confier l’Agence Algérienne de coopération internationale, en vue de dépouiller Bou-guadoum, ex-ministre des Affaires mensongères étrangères, et le général Bouzit, ex-patron de la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure, (renseignements extérieurs algériens) de la substance de leurs prérogatives respectives.

    Le site Algérie-part rapporte même un épisode au cours duquel Bou-guadoum et ce Mesbah ont failli en venir aux mains devant leurs hôtes Mauritaniens, lors d’une visite officielle à Nouakchott. Chacun des deux hommes accusant l’autre d’outrepasser ses compétences.De même Mesbah serait à l'origine de la médiatisation d'un scandale de corruption qui a éclaboussé le général Bouzit et son intervention sonnante et trébuchante dans la présidentielle Nigérienne de février 2021 au profit d’un candidat précis.
     
    C’est finalement Mesbah, en sa qualité de directeur de l’Agence de coopération, qui sera dépêché par Toufik, (bien évidemment) auprès de l’ancien président Nigérien sortant, M'hamadou Issoufou, pour présenter les excuses des autorités algériennes.
    La suite, les Algériens la connaissent, car quasi-simultanément au renvoi de Bou-guadoum et son remplacement par ce vieux connard Lahmamra. Puis en parallèle le général Bouzit qui serait le brillant dans l'armée qui peut improviser fut limogé,écarté puis incarcéré à Alger sans précision aucune ni accusation précise.
     

    Il est utile à cet égard de rappeler que moins de deux mois seulement après son élection à la présidence, en décembre 2019, Jebboune avait été flanqué, à titre de conseiller à la sécurité et à la défense, par le général à la retraite Abdelaziz Mjahed, qui n’est autre que l’ancien patron de la sécurité militaire Algérienne durant la sanglante décennie noire, et le bras droit de l’actuel chef d’état-major de la racaille algérienne, le général-pisseur Saïd Chengriha.

    Ce Abdelaziz Mjahed, malgré sa connaissance des rouages et intrigues du pouvoir militaire en Algérie, fut rapidement débarqué par Jebboune. Non seulement à cause de la méprise avec laquelle il traitait les cadres de la présidence, mais surtout à cause d’une «Fausse nouvelle» qui a valu à la présidence algérienne d’être démentie et humiliée par la Commission internationale des droits de l’Homme de l’ONU à Genève, qui avait déclaré recevable une plainte déposée contre le régime algérien par des militants Algériens de droits de l’homme pour tortures et saccages.

    Si Mjahed, cet adorateur de Toufik, avait été immédiatement muté à la tête d’un centre d’études stratégiques, le poste de conseiller présidentiel à la sécurité resta vacant de septembre 2020 jusqu’au mars 2021, date de la nomination d'un général à la retraite Ben Âttou, en tant que  «Monsieur défense et sécurité» attitré de Jebboune.Ce général également professeur universitaire, car titulaire d’un doctorat d’État en sciences politiques après la soutenance d’une thèse sur «Les contrats d’armements et le transfert des technologies vers les pays d'Ouest et du Sud».

    Il n’a pas été choisi sur la base de son curriculum vitae. Il a plutôt été désigné à ce poste, car il a été limogé, en août 2018, par l’ancien chef d’état-major, l'inhumé ex-général homme fort Gaïd Salah, du poste de Contrôleur général de l’armée, qu’il occupait depuis plus de 15 ans. 

    Aujourd’hui, c’est un ancien officier, qui a également déjà officié au milieu des années 90 en tant que conseiller à la sécurité de l’ex-président Algérien Liamine Zeroual, qui revient au palais d'El Mouradia, Mesbah, homme entièrement dévoué à Toufik, et qui lui a toujours servi d'éminence grise, va permettre ainsi à ce dernier, de même qu’à son mentor Nezzar, d’étendre leurs tentacules à la présidence et resserrer l’étau autour de Jebboune, plus que jamais affaibli et isolé.

    Il faut dire que Jebboune était déjà pressenti pour être le pantin de Gaïd Salah, qui l’a propulsé à la présidence en le sauvant de la prison où lui et son fils aux côtés des anciens premiers ministres, Sellal et Ouyahia. Se retrouvant finalement aux mains des revenants et tout puissants généraux, Toufik, Nezzar, Tebboune ne peut désormais contempler désormais son avenir qu'en pointillés. Surtout devant ces généraux qui pouvaient encore tenir tête au retour en force du tandem.

     

                                                                   

    USA reconnaissance..Comme plusieurs «moralistes», sans morale aucune, l'écartement de ce type ennuyeux à la raison était à son intérêt. Il n’a qu’à s’occuper des propres oignons de son Algérie qui s’accumulent et se moisissent davantage. Ci-après, d'un autre jonglage loin de l'Afrique, le sénateur Jim Inhofe; un Américain corrompu, le dernier ayant fait la Une des médias américains, dont voici l'aperçu :

    «C’est la politique business à l’américaine. Il encaissait des millions de dollars que paient les vieux mafieux séniles d’Alger pour chacune de ses sorties médiatiques contre les intérêts du Maroc, pendant que la populace algérienne s’enfonce dans la précarité, la paupérisation et le manque "aiguë" de patate et d’eau courante y compris en pleine capitale !

    C'est que ce Jim Inhofe, un énième américain,de ceux qu'on appelle au Maroc (كاري حنكو - loueur sa joue pour gifles) est incontestablement le plus fervent défenseur de la droite dure Israélienne au Sénat américain et cela ne semble pas déranger les hypocrites algériens de financer encore plus».

    Ce sénateur républicain élu de l'Oklahoma s'obstine dans son hostilité contre l'intégrité territoriale du Royaume et l’un des rares soutiens qu'il reste à l’Algérie et à son Polisario au Sénat américain pour repartir en guerre et faire cavalier seul contre le Maroc.

    Cette fois-ci, il a tenté de limiter le soutien aux manœuvres militaires conjointes des États-Unis avec le Maroc, allusion à (l'Africom) dans une résolution amendant le projet de loi budgétaire au Pentagone pour 2022, en attendant,  parait-il, d'encaisser plus d'offrandes de l'Algérie pour crier fort, même aux alentours de la coupole de la maison blanche. 

    Un soutien aveugle qui se traduit par une guerre sans merci contre le Maroc et ses intérêts supérieurs, surtout au moment où une nouvelle résolution du Conseil de sécurité de l’ONU au sujet du conflit du Sahara Marocain est sortie au public .

    Pas plus tard, le 27 octobre 2021, au Comité des Forces armées au Sénat américain, ce sénateur a ainsi réussi à faire adopter une résolution hostile au Maroc, dont il est par ailleurs l’initiateur. Cette résolution (2602) , introduite dans le projet de budget pour l’année 2022, limite le soutien américain au Maroc en matière de manœuvres militaires bilatérales et multilatérales. Elle n'est pas toutefois définitive,son amendement doit être validé en séance plénière par la Chambre des représentants du Congrès Américain. 

    Là, les sénateurs Américains pro-Maroc seront sûrement vigilants pour contre-attaquer et parer à toute éventualité coupant court sous les pieds de ce lâche sénateur qui aurait trahi son mandat électoral, préférant manger sous son nez de la sale assiette Algérienne , à l'insu de son électorat d'Oklahoma.Ce corrompu Américain ne lâchait pas prise et se donnait à fond dans son soutien au séparatisme, évitant de voir mieux et d'apprécier le coups de plume déposé en signature sur carte géographique du Maroc par l'ex-ambassadeur Américain à Rabat Mr.David Fischer (photo en haut).

    Le Conseil de sécurité a voté le 29 octobre le texte de la résolution sur le Sahara Marocain la résolution n°2602 qui met l'Algérie au pieds du mur. 13 pays ont voté pour le texte. Sans surprise, la Russie s’est abstenue. En revanche, la Tunisie a fait sensation en s’abstenant malheureusement aussi, s’alignant ainsi sur le coté du régime algérien.

    L’agitation du régime algérien ces derniers jours ressemble fort aux derniers pas d'un coq égorgé. Les propos excessifs, les sorties extravagantes, les bravades et menaces à l’adresse de la communauté internationale n’ont pas modifié d’un iota la teneur du texte de résolution sur le Sahara Marocain, rédigé par les États-Unis d’Amérique.

    La version préliminaire de la résolution est la même que le texte définitif qui a été voté, le 29 octobre, au Conseil de sécurité par 13 voix pour et deux abstentions : Celle de la Russie et de la Tunisie. Sachant que ce vote ne change en rien la situation. La Russie votait pour préserver ses intérêts en Algérie.

    Quant à la Tunisie, elle s'est égarée pour la première fois, contrainte d'agir ainsi,pour pour alléger le préjudice touchant son économie, étant qu'entre les mains de S'aâyed un chèque-pétrodollar encore frais, et pour l'encaisser, le pays de Farhat Hachad ne pouvait faire autrement. et louper la stupidité de son voisin de l'Ouest.

    Treize pays sur quinze ont donc voté le texte de la résolution. Quatre membres permanents du Conseil de sécurité (États-Unis d’Amérique, Royaume-Uni, Chine et France) sur cinq ont voté pour la résolution. Et deux pays africains sur trois, le Niger et le Kenya ont voté pour la résolution, l’Algérie n’ayant pas réussi à entraîner dans son bloc Niamey et Nairobi, en dépit d’un forcing acharné. En revanche, et c'est une surprise, la Tunisie a choisi le camp de son voisin de l'ouest.

    En somme, les résultats de ce vote sont en tous points conformes aux trois dernières résolutions du Conseil de sécurité sur le Sahara (2018, 2019, 2020), tout autant sanctionnées par 13 voix pour, et deux abstentions. L’épouvantail de la division de la communauté internationale, brandie par Alger, a fait pschitt.La nouvelle résolution du Conseil de sécurité entérine le processus politique comme unique solution au conflit du Sahara.Une semaine jour pour jour avant le vote de la résolution, l’Algérie a distribué une note officielle aux membres du Conseil de sécurité, y affirmant qu’elle n'allait pas participer aux tables rondes et que sa décision était «irréversible».

    Et dans la résolution n° S/2021/843, le Conseil de sécurité exhorte l’Algérie à participer au processus politique, matérialisé par les tables rondes. Cela signifie donc, en premier lieu et en toute clarté, que les gesticulations et la voix du régime algérien sont insignifiantes pour la Communauté internationale. Cela signifie aussi que la junte s’est mise dans une très mauvaise posture, en proclamant de façon péremptoire son refus de s’asseoir avec le Maroc, le Polisario et la Mauritanie autour d’une table.

    Le Corridor El Guerguerat..Désormais, les feux des projecteurs seront braqués sur l’Algérie qui est tanisée par la teneur de la résolution, le régime algérien menace la communauté internationale en tant que partie bloquante de toute solution au conflit du Sahara Marocain au cas où elle persisterait dans son obstination à ne pas participer aux tables rondes.

    Et si elle reconsidère sa position, ce sera là une énième humiliation pour ce régime, qui accumule les revers et les manquements à ses engagements. Dans l’un ou l’autre cas, le Royaume du Maroc se trouve dans une position confortable. La nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara proroge d’une année le mandat de la Minurso, jusqu’au 31 octobre 2022.

    En ce concerne la teneur de la résolution adoptée par le Conseil de sécurité, elle est largement satisfaisante pour le Royaume du Maroc. Quand on sait qu'Alger n’a eu de cesse de répéter que c'était le Maroc qui avait rompu le cessez-le-feu, le 13 novembre 2020, en délogeant les éléments du Polisario qui obstruaient le corridor d’El Guerguerat, la non-mention d’une date et d’un lieu sonne comme un cinglant revers pour la propagande de la junte militaire d'Alger.

    Mieux encore, la résolution du Conseil de sécurité pointe du doigt le Polisario qui a décrété, en bla-bla, l’état de guerre. Se déclarant préoccupé par les violations des accords existants, le Conseil de sécurité rappelle à cet égard «à l'Algérie et au Polisario le respect des engagements pris envers l’ancien envoyé personnel du SG de l’ONU au Sahara».

    Quant au fameux «statu quo ante» à la pacification d’El Guerguerat par les FAR, brandi par le régime algérien comme une condition "sine qua non" à la relance des négociations, non seulement le Conseil de sécurité ne lui accorde aucun intérêt, mais le nom même d’El Gueguerat n’est pas cité une seule fois dans la résolution

    Autre point qui ne va pas plaire au régime algérien, c’est la demande expressément formulée par le texte de la résolution au sujet du recensement des réfugiés dans les camps de Tindouf. A ce sujet, l’Algérie et le Polisario se sont toujours opposés au recensement des populations, supposément réfugiées à Tindouf, annonçant des chiffres fantaisistes et hypertrophiés.A l’instar des précédentes résolutions du Conseil de sécurité, aucune mention n’est faite à un référendum d’autodétermination.Cette option est donc définitivement enterrée par la communauté internationale. C’est l’esprit de réalisme, de compromis et de pragmatisme qui prévaut désormais comme unique voie à une solution au conflit du Sahara.

    Lucidité..Le Royaume qui vient juste d'apprécier que le Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine n'en veut pas de  l'ingérence trompeuse de l’Algérien Smain Chergui déformant les réalités touchant l'affaire artificielle que créait son pays autour du Sahara Marocain. Par décision sage, voire très sage, les décideurs Africains viennent de le neutraliser pour cesser d'engager l'UA (Union Africaine) dans les conneries de l'Algérie concernant ce dossier épineux qui dérange, tout en mettant ses jonglages d'hypocrisie contre les intérêts du Maroc en Afrique hors nuisance.

    Les sages de l'Afrique se sont enfin réveillés pour trancher en le remplaçant par la crédibilité Marocaine via son diplomate M.Feth Allah Sijilmassi.  Le Maroc souligne ainsi l'importance de cette décision de l'UA qui remettrait cette instance continentale à la case de raison.Un accent particulier sur le rôle important que jouera désormais le Maroc dans la stabilité et la sécurité en Afrique.

    Je dirais enfin en tant qu'officieux, ne représentant pas le coté officiel Marocain que si quelqu'un affiche son ambition de jouer le médiateur pour endiguer l’escalade entre le Maroc et l’Algérie et qu'il détient  la "recette magique".Non avec un grand "N" étant que l'Algérie d'autrefois n'est plus à notre voisinage et qu'avec cette Algérie d'aujourd'hui nous n'aurons, ni paix ni entente, à cause de l'ingratitude et la frivolité enregistrées chez ses dirigeants actuels.

    On ne pourrait toujours pas se dire qu'on aurait pu faire mieux avec ces salauds d'Alger en vue de les rappeler à l'ordre. On parlant d’Algérie ici en blog, ne nous pourront par dire mieux qu'un Kabyle qui a qualifié le comportement haineux d'Alger contre le Maroc de«simulacres». Attitudes prêtes à exporter aux voisinages. Une Intelligence diplomatique d'un trio-échec, d'apprentis diplomatiques des temps révolus, ressemblant aux crieurs publics qui n'ont que l'apparence de ce qu'ils prétendent êtres porteurs, de crédibilité et  d'interlocutions responsables Bonne lecture.

                                                               Très cordialement,Chihab25