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Maroc-Algérie : La pérennité et la solidité de leadership Marocain, face à la frivolité d'une Algérie enragée..

                                                                           drapeau-du-maroc-image-animee-0008

                                                                      Mes excuses au lectorat pour cette image inappropriée                          

«Lahdith wal Moghzel».(origine) .Selon les anecdotes au Maroc..un jour de l'an, une femme aurait rassemblé, ses voisines du douar pour lui porter aide en défection et travail de laine. Une pratique qui se fait,généralement, une fois par an. Habituellement printanière, tondant les ovins, caprins et même, les camelins chez les grands éleveurs.

Pour tondre de la laine d'un troupeau, aussi grand, il en faut un effort particulier.C'est pourquoi, il était d'habitude de faire appel aux plus proches femmes, en majorité des tisseuses du coin qu'on connait pour de l'aide, caractérisant l'aspect disant : "Quand la rivière est d'huile, elle reflète les lumières sur la ville" 

Les femmes conviées pour la circonstance, faisaient trop de bruit, se mettant à bavarder, au moment où celle qui les invitait se chargeait de préparer les besoins à régaler, à manger, à boire à se décontracter pour un rendement meilleurs. Pour désamorcer la donne, elle leur lançait en rigollot, ce qui veut dire en dialectal Marocain.« Alalyati..lahdith..wal moghzel ». c'est-à-dire- parler et travailler pour ne pas gâcher la donne.

Cet exemple serait, "sine qua non" , au sens déjà obsolescent, préjudiciable à la frivolité Algérienne, me donnait, en parallèle, assez d'envie d'indigner davantage nos ingrats Algériens et dévoiler leurs méfaits anti-Maroc.C'est bien normal que cela marcherait avec la ligne de rédaction du blog. Cela étant veut dire que, de temps à autre, il faut retourner à la base et décrire, le cas échéant, le bon et mauvais du Marocain.                                                            

La solidité du podium-ma..L'anormalité absurde d'Alger est toujours de mise.Son agitation sur les questions de la Palestine et du Sahara Marocain s’est soldée par un cinglant échec. En présence du faucon Bourita, le comité ministériel arabe chargé de l'action internationale face aux politiques et mesures israéliennes illégales à Al-Qods a salué, le 09 mars 2022 au Caire, les efforts déployés par Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans la défense de la ville sainte d'Al-Qods, négligeant en parallèle, de faire signe à l'Algérie, ne citant nommément, le président locataire d'AlMouradia d'Alger.

D'autre part, tous le monde encense le Maroc pour sa crédibilité et ses efforts inlassables qu'il ne cesse d'entreprendre envers la raison. En Algérie en parallèle, la haine est en marche et rien ne semble pouvoir l'arrêter. Étant que ses ingrats au pouvoir continuent à murmurer encore aux oreilles de quelques pays corrompus, n'ayant pas encore terminé la digestion des offrandes Algériennes qu'ils ont eu, en compensation, pour soutenir la thèse Algérienne au sujet de l'intégrité territoriale du Royaume Chérifien du Maroc. 

Cependant, le Maroc est le maître de son destin malgré la haine et d'hostilité et la manif fâcheuse de tout temps de nos ennemis Algériens. Cela est dû, grâce au franc succès politique qu'il remporte continuellement, là où il intervient au monde, face à la rage de sa voisine perdue sans destin clair (l'Algérie).

En se dirigeant vers le concret, je propose au lectorat un petit passage, en retour sur la riche histoire Marocaine.Tout observateur économique dira aux Algériens que la plupart des voyants économiques au Maroc sont au vert. Le gouvernement d'Akhnouch est en mesure de poursuivre la relance économique et sociale, ordonnée silencieusement par les actifs (..) du  gouvernement de l'ombre.

Nul doute que le discours prononcé par Sa Majesté le Roi Mohamed VI à l’occasion de l’ouverture de la 1ère session de la nouvelle législature a produit un fort impact sur l’exécutif et les élus  parlementaires ou locaux.Par son contenu et l’appel adressé sur même élan de responsabilité à faire «preuve d’esprit d’initiative et d’engagement responsable» pour consolider les acquis, terminer ce qui est en cours et gérer de la meilleure manière les chantiers à venir.

Le silence des paroles de la diplomatie Royale prouve la supériorité de leadership Marocain. Nous partageons des objectifs communs qui constituent, pour nous Marocains la base d'honneur de préserver notre Monarchie,  face à la diplomatie moisie, irrésistible du maudit Algérien Lahmamra qui, par volonté haineuse, ne cesse d'épuiser,voire d'abuser ses expériences malencontreuses anti-marocaines, largement dépassées dans les temps et dans les lieux.

Malgré ses imitations abuses de toute activité Marocaine prometteuse, la bande d'Alger a magistralement échoué à créer de opportunités pour résorber les colères de son peuple opprimé, alors que le pays subit une déferlante terrifiante d'instabilité politique et sécuritaire.Force est de constater en guise de conclusion qu’en dépit de la forte hausse d'indignation, l’Algérie peine à créer que la démoralisation à sa propre population. Cela signifie clairement que la pays subit un dramatique problème d'identité, selon les termes de l'opposant Kabyle Noueddine Ait Hamouda.  

Or, les algériens vivent des jours très difficiles, ce qui risque de contraindre des milliers d'algériens de quitter leur pays pour chercher des opportunités sous d’autres cieux plus cléments.Leur départ fortement probable est soumis à l'offrande de visas-fr, en comptes goutes, et sera catastrophique pour le régime, déjà en faillite, laissant les Algériens gémissant dans leur fausse fièreté et dignité introuvables.

D'abord un peu d'histoire pour nous distraire avec honneur, étant que celui dépourvu d'histoire, n'a pas de racines ni de valeurs entre les nations. Et c'est le cas, avec un grand "C" de l'Algérie.Elle n'a pas d'histoire puisqu'elle est native qu'en 1962 contrairement à, ce qu'ils avancent vachement.L'histoire de l'Algérie ne commençait en général qu'avec Abdelkader Old Mohyeddine, celui qu'ils appellent "Emir" et Cheikh Bou Aâmama, le jongleur du monde de bergers de l'Algérie dans l'ouest de l'Algérie.S'ils étaient restés encore en vie, ils mangeront certes, eux aussi de leur quote-part de la viande d’ânes que consomment actuellement les Algériens.  

Après les Pays-Bas, d'autres pays européens se sont précipités pour annoncer des positions similaires qui soutiennent la proposition et la considèrent. le projet réaliste le plus approprié. Et la Serbie, la Croitie et la Roumanie ont annoncé leur soutien à l'initiative d'autonomie présentée par le Maroc en 2007 pour résoudre le conflit du Sahara.

L'Histoire en bref..Sous le règne du sultan Moulay Abdallah El-Ghalib (1557-1574), la flotte de guerre marocaine alignait trente navires et durant le règne de son successeur Mohammed El-Moutawakil (1574-1576), elle en comptait dix de plus.La flotte corsaire Marocaine maraudait sur les grandes voies maritimes de l’époque qui, toutes, passaient au large du Maroc, provoquant de violentes réactions européennes se traduisant par les bombardements de ports Marocains ou par des blocus.

A partir de 1622, l'audace des corsaires salétins ne connût plus de bornes et leurs navires chassèrent en meute jusque dans la Manche, la mer d'Irlande ou sur les bancs de Terre-Neuve.L’émergence d’une politique maritime Marocaine était perceptible dès le XVIe siècle, sous le règne du sultan Mohamed Cheikh (1544-1557) qui créa une flotte pour lutter contre les Espagnols. Mais la menace turque sur la frontière orientale du Maroc fit que le Maroc et l’Espagne, jusque-là ennemis, se rapprochèrent.
 
Le Maroc abandonna alors son projet de construction d'une flotte pour tourner tous ses efforts vers l’Est.Une seconde tentative eut lieu sous le sultan Ahmed El-Mansour (le Victorieux) qui régna de (1578 à 1603) et qui eut à faire finalement un choix entre l’expansion territoriale vers l’Afrique noire, le Bilad-Assoudan, et le soutien aux Morisques avec pour conséquence la guerre maritime contre l’Espagne. La première option fut alors retenue et il lança l’expédition de Tombouctou au Mali actuel entre 1589 et 1591.
 
Les Morisques Hornacheurs n’avaient pourtant pas une vocation de marins quand ils vivaient encore en Espagne, dans ce qui avait été Al-Andalous. Ils le devinrent sur les rives du Bou-Regreg où ils firent de Salé un quasi-Etat dans l’Etat.La flotte corsaire de Salé était forte de plusieurs dizaines de navires taillés pour la course, fins, rapides, faciles à manœuvrer, mais pouvant également supporter toutes les tempêtes.
 
Le plus souvent, il s'agissait de navires de prise, mais le chantier naval situé au pied de la tour Hassan à Rabat, en construisait également, qu'il s'agisse de brigantins montés par 100 hommes et armés de 10 canons avec un équipage de 200 hommes et 20 bouches à feu.
 
De retour de campagne, les navires débarquaient leurs prises, qu’il s’agisse de cargaisons ou de captifs qui étaient vendus aux enchères publiques. Les prisonniers de qualité étaient libérés contre rançon tandis que les simples marins ou les voyageurs anonymes attendaient parfois des années que des ordres religieux comme celui de Notre-Dame de la Merci aient réuni suffisamment de fonds pour les racheter.

Les médias publics français ne nous avaient pas habitués à cela: une série documentaire consacrée à un siècle de colonisation française, allant de l'Algérie à l’Indochine, de la Syrie à Madagascar en passant par le Maroc. L’occasion pour nous de revenir ici sur certains aspects relatifs à ce passé...

Fait assez exceptionnel pour être signalé sur un média public français: la diffusion le 4 octobre 2021 par la chaîne de télévision France3 d’une série documentaire en trois épisodes, réalisée par Hugues Nancy, consacrée à plus de 100 ans de conquête coloniale, son exploitation et sa domination, fonds d’archives à l’appui, avec pour objectif déclaré, de rompre avec un certain déni, provoquant les réactions de ceux qui, en Hexagone, la jugent idéologique et partiale.L’occasion pour nous de revenir ici, au-delà du documentaire, sur certains aspects relatifs à ce tumultueux passé...

                         Image tirée du documentaire "Colonisation, une histoire française" diffusé sur France 3
                                               L'ère de la colonisation de l'Afrique
 
D’abord, il est convenu de commencer la date du Protectorat avec la signature de l’acte en question en 1912, alors que les oasis du sahara Marocain orientale étaient occupées dès 1900, deux villes majeures que sont Casablanca et Oujda assaillies en 1907; tandis que le processus qui avait mené à la signature du Traité de Fès était déjà solidement implanté.
 
Dès 1863, pour ne parler que des relations Maroco-françaises, un accord signé à Tanger codifiait le droit de protection, concédant des privilèges aux Marocains employés par les légations ou les consulats de France, ainsi qu’aux courtiers et agents, musulmans et juifs, employés par les commerçants français. 
 
Nous sommes alors dans un contexte aggravé par les suites de la guerre de Tétouan livrée en 1860 par l’Espagne avec l’obligation pour le Maroc de payer une imposante indemnité de guerre, le recours à l’emprunt anglais garanti par les revenus douaniers et la signature par ailleurs des privilèges fixés par les puissances en compétition, contribuant à l’exacerbation de la crise économique et sociale.L’extension abusive de ces privilèges est assez significative à étudier car elle dit les abus pernicieux du système, les dangers du transfert de souveraineté, l’affaiblissement progressif de l’État...
 
Nombreux couraient après le sésame de la protection étrangère qui les soustrayait aux lois et aux impôts de leur pays, malgré les protestations impuissantes du gouvernement Marocain.Même les zaouïas ne résistèrent pas à ses attraits, avec entre autres exemples, la Zaouïa d'Ouezzane en 1884, la Zaouïa de Tameslouht sous protection anglaise ou encore les Zaouïa Taghiya de Ben Ahmed, et la Zaouia de Kenadsa de Sid M'hamed Ben Bouziane au Sahara Marocain oriental, victimes de persécutions et de harcèlements, leur d’interdit l’enseignement de la langue arabo-musulmane.
 
Il ne restait dès lors au pouvoir qu’à jouer habilement les rivalités entre les puissances, en pleine course aux colonies, pour retarder l’échéance. Mais rien ne pouvait arrêter une expansion qui menaçait à l’échelle mondiale en un mouvement quasi-inéluctable.
Sans même tomber dans les délires fantasmagoriques d’une mission civilisatrice, il subsiste dans l’esprit de beaucoup, à l’extérieur du Maroc, et même parfois à l’intérieur du pays, comme le rappelle l’historien Marocain Germain Ayache, que les colonisateurs français et espagnol se sont installés pacifiquement après la signature de l’acte du Protectorat, oubliant au passage la réalité de la conquête militaire, ses pertes humaines et matérielles, les sacrifices et indéfectible résistance.
 
Le documentaire télévisé de FR3 “Colonisation, une histoire française” qui nous mène d’Alger à Madagascar, de Dakar à Saigon, s’est arrêté à juste titre au Maroc sur les figures incontournable de Abdelkrim Al-Khattabide Rif et Moha Ou Said de Zayane; mais que ces personnalités marquèrent la résistance en refusant le diktat colonial…Les récits en prêtaient cette phrase de Moha Ou Said: «même si vous me donnez la lune de ce côté et le soleil en face, je ne vous laisse pas El-Ksiba »
 
Autre figure de renom: Moha Ou Hammou Zayani au Moyen Atlas, du clan des Imahzane.Il avait participé à la bataille de Mediouna en 1908 (auprès du cheikh Ahmed El-Hiba Maâ-el-Aynine du Sahara Marocain) suite au bombardement et à l’occupation de Casablanca, avant de se démarquer avec la victoire de 1914 à la bataille d’El-Herri.
 
Là, sous la direction de Assou Ou Baslam, se déroula la bataille de Bougafer, pendant laquelle environ 12.000 guerriers, accompagnés par des centaines de femmes et d'enfants, ont livré un combat acharné face à une armée estimée à 82.000 hommes équipée d’artillerie lourde et de 44 avions de guerre.
 
Encerclés dans le massif de Bougafer, coupés des points d'eau, subissant durant 42 jours les pilonnages de l’artillerie et les bombardements, les combattants, voués au carnage, rendirent les armes, non sans avoir imposé leurs conditions et non sans avoir fait subir aux forces françaises de douloureuses pertes avec la mort de 3.500 hommes, y compris dix officiers dont Henry de Bournazel, surnommé en raison de sa tunique écarlate, «le diable rouge».
 
P'tite conclusion..Si je disais plus haut "lahdith wal Moghzel", c'est pour ne jamais oublier de déshabiller nos ennemis Algériens. Pour se faire, je termine cette intervention par une petite conclusion qui résume, ma vision et celle de tout Marocain concernant la mauvaise voisine "l'Algérie".
«A quoi s'attendre de la démonstration d'entêtement et d'orgueil de l'Algérie, que du pire et de la merde.!! Les gouvernants Algériens ont tort s'ils continuent encore à jouer la montre avec le Royaume!. Sachant que leur Algérie a vécu une décennie noire durant les années 90 du dernier siècle. Or, ils sont en train de rejouer encore, à la marrée, se dirigeant vers une autre phase de ruine décimal, en se procurant, au maximum de pétrodollar et s'acheter une autre vie en Espagne.
 
Pour nous Marocains..Peut-on et doit-on convoiter, à l'infini, cette frivolité Algérienne? Bien sûr que non. Le silence prestigieux de l'agent d'exécution royal Bourita en confirme clairement. Le silence ne veut pas dire "négligence". Nous prévoyons avec nos "drones" téléguidés toute perspective, faisant renaitre les faucons de guerre ou ressortir le général Driss Ben Omar de sa tombe pour reprendre les commandes en 'maitre-joueur' à gifler et à refaire une autre guerre de sable..Mais cette fois-ci avec d'autres «options! »

N'importe quel observateur constaterait clairement que L'Algérie en flatte lourdement envers ses maitres de Paris. La preuve en est qu'à peine l'encre des résultats séchée en France que l'Algérie invitait Macron en visite officielle pour soupirer. "La victoire de Marine Le Pen n'aurait pas été une bonne nouvelle pour un régime algérien vorace en visas". Jean Marie le Pen, le père de famille des Le Pen, ravivait de vils souvenirs de ce qu'il appelait «la guerre sans nom».

Dans l'entourage qui nourrit le sujet Algérien, Tebboune est très en cour à l'Élysée. Il a fait ministre à maintes reprises, mais n'a pas fait évoluer d'un iota les relations entre la France et l'Algérie.

Au contraire, tenant à une fausse mémoire irréalisable, fortement rejetée par les Français de l'ex-Organisation d'actions secrétés (OAS) dont l'un de ses officiers Jean Marie le Pen refusait, que l'Algérie soit indépendante, Tebboune et son Algérie se comportaient hypocritement, ne faisant que baiser les mains de leurs maitres Français, au moment où les Marocains ne baissent la tête à personne. Bonne lecture.

 
                                          Très cordialement,Chihab25
 
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                                                                              Les Algériens parlent d'eux-même

              

                                    
                                                          Tebboune, en charmeur de serpent    
 

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