Algérie : En paroles sarcastiques, le lieutenant Colombo, se rassure de l'hypocrisie de l'Algérie...
Peter Falk,lieutenant Colombo
Lieutenant Colombo...C'était la star de séries et de feuilletons des années 80 du siècle écoulé. On le fait substantiellement témoigner (photo). C’était une épopée fantastique et magistrale. Il disait au courant d'un de ses feuilletons, traitant en général des enquêtes et investigations policières..
«Dans le droit des systèmes militaires internationaux et dans la clause sur la fraude et le vol, le général au pouvoir distrait le peuple en détournant son attention des choses les plus précieuses. Il attire toute son attention sur la chose insignifiante, puis il en tire facilement profit.Le tout n'est qu'illusions».
Le rôle du lieutenant Colombo était incarné, tout au long de la série, par l'acteur américain -Peter Falk-. Pour ceux qui ne le connaissent pas ou n'ont pas vécu cette époque, Colombo était une série télévisée policière américaine dans laquelle le rôle-titre, interprété par un inspecteur de police, au grade virtuel de lieutenant, en apparence un peu simplet, brouillon et laborieux.Il se révèle en réalité très intelligent, obstiné et perspicace.
L’originalité de la série réside dans le fait que le spectateur connaît l’assassin et bien souvent le mobile du crime dès le début de l'épisode. L’intérêt de l’intrigue consiste à découvrir de quelle façon l’enquêteur-Colombo paraissait à travers ses actions peu acrobatiques "stupide et dingue", parviendra à démasquer le criminel.C'était le début de la belle époque de la Télévision Nationale Marocaine
Une expression bien connue de par le monde, se vérifie encore : «Quand la Chine tousse, le monde s’enrhume». Alors que notre mauvaise voisine (l'Algérie) subit de plein fouet les répercussions de sa rupture diplomatique avec le Royaume.
Voilà que la résurgence du duo (président-contesté et général-pisseur) vient compliquer la situation, ravivant même les craintes d’une nouvelle décennie noire, comparable à celle des années90.
Mais cette fois-ci, la mafia d'Alger a mis le pied dans le plat, avance à reculant face à des pénuries de matières de première nécessité, telles que -l'huile et la semoule-, par les queux d'attente qui se propagent et se ressemblent à travers tout le pays.Un pays vivant ses complications obscures, supplice après supplice à cause de l'intimidation précoce d'une junte qui lui coupe les souffles.
Les caricaturistes n'en manquent point, ils sont-là décrivant avec excellence les rides au vrais visage de la force de frappe de Tebboune. C'est avec plaisir de pouvoir apporter, moi aussi, mon grain de sable à toute caricature dévoilant davantage l'orgueil de nos voisins de mal Algériens, qui quoi qu'ils en feront de mieux, ils trouveront pas de place, même sur les bancs de touche.
Illusion particulière..S'asseoir sans rien faire n’ôte pas l'épine du pied.(proverbe français). Cela peut s'appliquer à l'Algérie, devenant, de plus en plus, une veuve méchante au visage d'écueils, comptant plus d'aliénés mentaux. Une situation d'où n'importe quel psychiatre n'y trouverait l'issue, pas pour soigner, mais pour s'en sortir et quitter les lieux sain et sauf.
La seule fonctionnalité pour laquelle son pouvoir est doué, réside aux assassinats et règlement de comptes qu'elle prend en monnaie courante.Une pratique tendancieuse à la portée des gouvernants. Les exemples sont énormes aux registres de ceux qu'ayant passés des périodes de prestige à ce qu'on appelle en Algérie les palais (moi je dirais, à mon sens) les écuries de «Pins et d'AlMouradia» à Alger.
L'assassinat le plus médiatisé était de Mohamed Kheider en 1965 en Espagne, dont l'exécution en plein jour était confiée à l'agent Drsiste, (Youssef Dakhmoch). C'était assassinat le plus connu par les Algériens, étant que la victime était le sage-brillant des cinq leaders de la révolution Algérienne.
Les générations futures Algériennes verront, certes, l’atrocité et l'autoritarisme du pouvoir de leur pays durant l'entre-mille-tours de gouvernance que connaissait l'Algérie depuis sa naissance effective en 1962 du siècle dernier, naissance inappropriée consacrée momentanément,à critiquer et ennuyer son potentiel ennemi,le Royaume du Maroc.Une attitude néfaste déplorée et rejetée ouvertement, ici et là, par tout sage et par des journalistes chroniqueurs de taille.
Si les maudits généraux (Nezzar et Toufik) étaient de retour après une brève «accalmie» provoquée par des aléas de climat terroriste d’État, imposé par l'inhumé maudit-général Gaid Ahmed Salah et par des turbulences géopolitiques au sein de la jungle d’Algérie. Cela n'en changera en rien de la donne, tant que premier était le bourreau de la décennie noire avec tous ses malheurs, le second est toujours le faiseur de rois, tueur silencieux d'excellence.
Le désordre sévissant au sommet de l’État d'Alger provoquait une atmosphère d'incertitude auprès de la classe politique bourgeoise. Des embarcations de fortune se seraient en préparation pour subvenir aux retombées de la merde qui frappe l'Algérie, à cause de la mal gouvernance, surtout chez le clan adverse du pouvoir.
Le sauve-qui-peut pour certains et la pomme de terre pour d'autres, dominent ces jours-ci esprits et mentalités des Algériens.L’Algérien, même le dingue, observe à l'œil nu, que le niveau de traversé5es périlleuses du désert, pour rallier les côtes du sud de l’Espagne, depuis les plages de l’ouest algérien, ont atteint un niveau furieux jamais vu en Algérie.
L'enfuit féminin.. la "Scie de la presse locale Algérienne, rapporte, que trois jeunes femmes algériennes, à l'âge de procréer, ont défrayé la chronique en Espagne, car elles ont failli mettre leur vie en péril pour fuir illicitement leur pays en entraînant dans leur mésaventure 3 petits enfants en bas âge, miraculeusement secourus par les autorités Espagnoles.
Elles voulaient changer de peaux en s’émergeant dans la pratique de honte qui attire la femme Algérienne, à se produire davantage dans la crédule de honte, quel soit en Algérie ou à l'étranger pour les chanceuses. Celles qui après l'aventure risquée de traversée, elles veillaient pour qu'elles s'installent en France, surtout au quartier Barbes à Paris. Le seul quartier Parisien "Algérianisé" par la forte présence d'Algériens.
ِCe genre de femmes Algériennes, qualifiées par l'exagération orgueilleuse de l'Algérien de «-femmes très fortifiées», tentaient de s'enfuir de l'enfer Algérien. D'’après les spécialistes de la chose, et après avoir constaté le désenchantement du temps en Algérie, ces femmes projetaient prendre des bains de soleil aux marchés de proxénétisme, vendant leur dignité à celui qui donne plus d'Euros et y vivre en fortune..
Pour être raisonnable,On ne pourra pas dire qu'au Maroc tout est bien rose et qu'il est épargné de débauches. (..). Non, il peut y avoir, ici et là, des cas pareils au détriment de la bonté Marocaine, car le forfait est le plus ancien métier depuis la création de l'humanité. Nos femmes,ne sont pas épargnées de cette saleté. Non il y aurait, comme par le monde, celles qui entachent leur honneur et valeurs. C'est la nature humaine depuis l'antiquité, l'exemple «Zouleikha, la femme d'Al Aziz d’Égypte et Youssuf».
Qui décide de quoi en Algérie.? Si personne ne trouvait réponse à cette question, l’opacité continue de régner en maître absolu au sein de l’appareil sécuritaire Algérienne qui s’est, visiblement, substitué à la Justice censée être souveraine, si l'Algérie était vraiment porteuse des caractères d’État crédible..évitant aux algériens l'arbitraire sur base d'un simple coup de téléphone d’obscurs organes sécuritaires sans consulter aucunement la justice.
En tout état de cause, loin de ça, l'Algérien découvre que dans la déroute irréversible et dans une situation financière précaire de son pays, le pouvoir d'Alger jette au hasard et au mirage les tenants et aboutissants de la fragilité de beaucoup de familles algériennes qui souffrent énormément de privations matérielles.Voyons, à quoi sert donc aujourd'hui d'avoir sa carcasse mouillée de gaz et de pétrole, mais dépourvue de crédibilité devant la chute du niveau de vie de l’être Algérien en manque en général de toute valeur de dignité?.
Le régime algérien est malade de la scission entre ses paroles et ses actes, du fait que l’arbitraire est toujours de mise en l'Algérie, étant que celle-ci englobe tous les maux d'une particularité leadership introuvable, souffrant d'Alzheimer d’États, et s'y croit la meilleure de tout ce que créa la divinité et qu'il n'y a personne au monde que l'Algérien.
Les libertés sont donc bafouées par les autorités de l'Algérie, au vu et au su, de toute le monde. Personne ne s’en émeut et n’oser réagir au plus haut sommet de l’État d'Alger. Les libertés publiques et individuelles là-bas sont devenues un jeu de "ping-pong" entre les autorités politiques et les sécuritaires sans prendre conscience qu’il s’agit-là de la liberté de tout un peuple opprimé.La mort récemment d'un "détenu d'opinion" en prison en témoigne.
Ces dérives rappellent aux Algériens les heures sombres des années 90, lors de la décennie noire, quand les Algérien ne savaient «Qui tue Qui!». En ce moment la «Nouvelle Algérie de Tebboune» n’a absolument rien de joyeux. Alors que son régime n’a eu de cesse de minimiser verbalement les succès diplomatiques du Maroc dans toutes les directions, sur le Sahara Marocain surtout.Dernier acte en date, est devenu puérilement hystérique après le tournant historique opéré par l’Espagne, claquant la porte à la figure de Ben Batouche.
Le proverbe populaire Marocain, nous apprenait que «celui qui compte seul, il lui en restera trop». Dans ce sens, le pouvoir d'Alger fait cavalier seul, considérant unilatéralement un certain Amar Belani d'«envoyé spécial chargé de la question du Sahara et des pays du Maghreb».
Cet homme, en fait un plumitif, scribouillard de son état. Pour minimiser le choc de Sanchez, il a remis son point de vue fallacieux à deux journaux différents, l’un algérien, l’autre espagnol. Le contenu apparaissait en premier dans un journal algérien (Tout sur l'Algérie) sous couvert de l’anonymat que signait un haut responsable algérien!.
Les mêmes propos ont été publiés dans le journal espagnol «El Confidencial», mais cette fois-ci en révélant l’identité de leur auteur, il s'agissait d'Amar Belani lui-même, dans un article écrit par Ignacio Cembrero, un journaliste défroqué et pré-payé d’ElPais, auquel le tournant historique que vient de prendre son pays lui faisait perdre tout sens de la mesure.
Ayant visiblement perdu ses nerfs, Cembrero manifeste désormais dans toute sa splendeur sa véritable vocation haineuse contre le Maroc : Celle d’un corrompu journaleux Espagnole au service d'Alger après avoir était le bout-de-feu, jouant l'instigateur d'indépendance pour la région Espagnole Basque..Il avançait que quatre personnalités Espagnole étaient derrière Sanchez, pas toute l'Espagne, en le poussant à ouvrir les bras de l'Espagne au Maroc.
Selon l'invention Belani, il s'agissait de : [Pedro Sanchez] de son ministre aux Affaires étrangères [José Manuel Albares]-de l'ancien chef du gouvernement [José Luis Rodríguez Zapatero,] et de [Miguel Ángel Moratinos] ancien ministre des Affaires étrangères - tous connus pour leurs accointances intéressées avec le Maroc ».
Or, tandis que les déclarations verbales du régime algérien tendent vers une minimisation des acquis du Maroc sur son Sahara Marocain, qui ne serait, pour l'Algérie, que marginale, comme dit-on précédemment, et n’engageant que les quatre personnes précitées, pourquoi l’Algérie, cette "force de frappe" a rappelé son ambassadeur à Madrid, menaçant, en parallèle, de réviser à la hausse le prix du gaz ou arrêter son déversement vers Madrid?. Une interrogation de plus, à classer comme d'autres, par les locataires de l'écurie d'AlMoradia d'Alger.
Le plus important est toutefois ailleurs. Quand l’administration américaine a reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara, le régime algérien a minimisé cette décision en affirmant qu’il ne s’agissait là que d’un simple tweet de Donald Trump. Quand l’Allemagne a considéré le plan d’autonomie comme étant une option sérieuse, les porte-voix de la junte d'Alger ont déclaré que c'était là une déclaration epsilon.
Que du chantage..Eh bien pas plus, voilà que l’Espagne est boudée, et pour mieux lui faire regretter ses dispositions envers Rabat, les gérontes s'en vont faire des déclarations enflammées à l’Italie, et lui proposaient de lui vendre le plus de gaz possible, à des prix bénéfiques inférieurs à ceux pratiqués avec l’Espagne.Le moins que l'on puisse dire, c'est que cela ne vole pas très haut. Cela vole d’autant plus bas, que l’Algérie n’a vraiment pas les moyens de sa politique d’adolescent, en pleine crise boutonneuse et très contrariée.
Avec une consommation interne en constante croissance, de vieilles installations obsolètes, qui pâtissent d’un régime qui préfère la rente immédiate à son prolongement dans le temps, le régime algérien ne peut, en réalité, augmenter sa production de gaz que de façon très marginale. Il ne pourra donc absolument pas suppléer à la dépendance de l’Italie au gaz russe, la Russie étant le premier fournisseur de cet hydrocarbure à ce pays méditerranéen.
De plus, promettre à l’Italie un amour exclusif, serait-ce là une raison suffisante pour que Rome initie une politique hostile envers Rabat? Non, le Royaume et l’Italie sont liés par un partenariat stratégique multidimensionnel, signé en novembre 2019.Et que l'Italie se trouverait attachée à la crédibilité d’État au poids considérable, à l'Italie d'Aldo Moro, ancienne et démocratique, elle ne pourra pas jouer à la "marrée" de filles gâtées d'Europe et se salir par les boues d'Algérie devant les vingt sept Européens..
Et c'est ainsi que l'Algérie continue sur la voie d'isolement diplomatique totale, jetant à sa poubelle d'histoire, le maudit-Teflika qui en répétant au moment de sa détente : «R'faâ Rassak Abba - C'est l'Algérie de fièreté et de dignité».
Depuis toujours, les Marocains sont bien arrivés à constater, par le passé et le présent que de l'ingratitude de la part des Algériens, depuis le temps fallacieux de Ben Bella et celui du dernier temps d'aujourd'hui, concluant certes, qu'il y a deux Algérie irréconciliables avec le Royaume Chérifien du Maroc.
De ce qui précède, l'Algérie récolte, amèrement les revenues de sa politique d’entêtement contre la raison, mordant, en parallèle la souplesse de la main généreuse d'autrefois. Celle de son maître, le Royaume Chérifien du Maroc. Tout observateur avéré constaterait que le pouvoir d'Alger est arrivée au pied du mur, banni et rejeté par ses anciens supports, semant que grimaces et clins d’œil, là où il passe, aux rencontres officielles régionales ou continentales.
Comme on aurait pu le constater, les acquits diplomatique du Maroc sont très suivies en Algérie. On les surveille depuis les hauteurs d'Alger, comme du lait sur le feu. C’est une habitude d'envie et de jalousie, plus qu'un réflexe de toujours.
Par contre, les Marocains connaissent les mentalités frivoles des gouvernants Algériens (péris et présents) et savent très précisément ce que chacun représente. Ils connaissent même des pans entiers de leur vie privée. Et c’est tout! Tous les autres viennent après, y compris l’Algérie dont la seule question qui nous intéresse, nous Marocains, reste : sera-t-il le prochain président Algérien moins anti-Marocain que Boukharoba et les autres? Au lectorat de juger.Bonne lecture.
Très cordialement,Chihab25