Le «crime inavoué» de l’histoire mensongère Algérienne.. une étape qui ne valait rien au concret ...
«Ceux qu'on appelait, les pères de l’indépendance, (photo) de gauche à droite : feu Hassan II -Allal Fassi -Abdallah Ibrahim -Abderahim Bouâbid -Mehdi Ben Barka et M'hamed Boucetta.) ont osé, à maintes reprises et jusque vers la fin de son règne, s’opposer aux décisions du souverain. Si certains d'eux se disaient inquiets de vengeance, d'autres s'attendaient à des surprises.
Entrée en matière..Obligation devant les juristes...«Dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. Dire bêtement la vérité bête, ennuyeusement la vérité ennuyeuse, tristement la vérité triste. «Charles Péguy¹».
Je disais dans une note précédente que «Je ne brosse pas les bottes, étant que j'en ai pas l'habitude d'en faire. J'ai vécu durant mon trajectoire de «hauteur en hauteur»,en tant qu'agent d'ordre autoritaire, ayant acquis des coulées d'expériences professionnelles du temps où l’autorité de l’État n'était pas bafouillée par les cris perdus d'opportunité de ce qu'on appelle aujourd'hui «les droits de l'homme».
On a vécu avec des opposants très farouches, pas des moindres ou du genre de Nabila Mounib, l'heureuse parlementaire, la cheffe d'un parti de gauche,(Podimos du Maroc) qui veut faire entrer ses bêtises au Parlement utilisant de faux mouvements d'unité et d'action sociale.
Son refus de porter la bavette à l'entrée du parlement en témoigne,croyant qu'elle peut baller tout et jouer à la "marrée" au Parlement, comme devant l'épicier du quartier, portant dans son sac-à-main les débris d'une opposition lâchée par ses tyrans d'autrefois.
Les tyrans qu'on connaissait à l'époque, étaient ceux qu'ayant choisi la trahison au service de l'Algérie et Libye, créant, une polémique baptisée "Maghreb-Chou-ôub". Ces traitres-insurgés étaient derrière les maux du Maroc de mars 1973. Des traitres de Goulmima et Moulay Bouaâza-Khenifra.
Cela étant leur avait coûté de la merde avec, de l'autre côté, les faux jockeys militaires du palais (les maudits généraux Medbouh et Oufkir et dernièrement avec le traître de Sidi Kacem, le général Dlimi, lesquels en avaient en face, un ministre de "plomb" dénommé dans son vivant Driss Basri (!)..
Ses détracteurs l'appelaient par humour (Mr-Frifra). Il ne marquait aucune abstention depuis où il eu les clefs de la grande autorité, traçant une piste lui permettait d'agrandir son entourage de "policier", tout en façonnant et crépissant des Walis, Gouverneurs et Caids, servant, à même régler des comptes.Il devint, alors la force de frappe gênant, pas seulement ses détracteurs, mais aussi le Palais.
D’après une source connaissant bien «'les oui et les non'» permis d'en parler au palais, feu Hassan II voulait, un jour, respirer seul et jouer à l'aise au golfe à Dar Essalam à Rabat sans la présence Basri, mais il a été surpris que ce dernier était déjà sur place, sans le consentement du général My H'afid Alaoui, chef du protocole et de la maison royale.En s'interrogeant avec surprise, le Roi soufflait à son compagnon Moulay Ahmed Alaoui.. «Ch'koun Qalha l'hada!».
Monarchie et trahison..Si en plus de l'illégalité de leurs fâcheuses attitudes contre le Royaume du Maroc, les Algériens sont les ingrats de tout l'univers. Ils sont des traîtres de nature. Ils croyaient êtres les plus intelligents de la planète et qu'ils sont, vachement, capables de recomposer le paysage politique régional en s'attaquant au leadership Marocain qui les réduit en État très banni, en Afrique et au monde. arabe.
Oui, ils sont les plus brillants, mais uniquement en ingratitude.Les Algériens, les plus honnêtes sont disparus, laissant la place aux fils de maisons closes de l'Algérie Française qui sont aujourd'hui à l'âge de mordre les seins de leurs mères, piétinant la crédibilité et l’honnêteté de l’État.
Qu'est-ce qu'un traître? Si vous l'ignorez, j'en prends l'exemple des Français, de la famille «Le Pen», puisque nous imitons tout ce qui est Français. «Jean-Marie et sa fille Marine nous en fait l'exact portrait aux yeux des Français. Avec le temps et surtout l'expérience, le père et la fille sont devenus pour les Français, de véritables «traîtrologues». Si Le Pen élue le 24 avril, ce serait la faute à Rousseau qui veut changer le «pire par le plus pire!! et que feront-ils à ce moment-là, les Français?».
Avec Driss Basri, le gardien de paix, j'ai eu l'occasion d'accompagner et vivre, même avec animosité, sa période de secrétaire d’État, de ministre, puis de ministre-président. Un commis d’État, passe-partout, qui régulait et coupait le souffle, de tout ce qui bougeait au Maroc..
C'était la période, la plus gravée de symptômes sécuritaires, durant laquelle, toutes les lumières de syndication ou de frivolité politiques, soulevées par la gauche Marocaine, qui était d'ailleurs, en quête du pouvoir et d'authenticité, en particulier par les «unfpistes d'autrefois», Abderahman Youssoufi, Mehdi Ben Barka et Fkih Basri qui réclamaient une réforme prématurée, s'articulant autour d'une «Monarchie parlementaire²».
Ces insurgés UNFPISTES étaient seuls dispensés à avoir des faits de haute facture de trahison contre, spécialement, la personne du feu Hassan II qui constituait la bête noire pour leurs parrains et commanditaires Boukharouba d'Alger et le fou de Libye, l'héritier du mal Égyptien contre le Maroc.
Je constatais de prés que devant Driss Basri, toutes les intentions opportunistes devenaient systématiquement floues et non avenues. Quand il devait venir parler au Parlement, tous les parlementaires se bousculaient pour êtres présents et prendre place, certains par peur d'expulsion du champ de jeux, d'autres par hypocrisie flagrante.
Je dirais loin de tout ça, comme tout autre Marocain, sage et mûr.. "oui" à la Monarchie parlementaire, quand on refusera de vendre son intention de vote, quand le pays refuserait les opportunistes politiques, garantissant les "droits et devoirs" à nos petits fils.
Cette vision est loin d'être applicable dans un pays comme le notre, là où on vend et achète facilement, au prix de tomate, les voix électorales pour en acquérir, du statut de représentant de la nation et marquer son somptueux fauteuil au Parlement. Il serait impératif d'accepter le fait que nous pourrons pas vivre à -l'Anglaise- étant que nous ne sommes pas évolués à ce point de démocratie.(ignorance oblige).
Sachant que le temps des complots et de trahison militaire d'Ahermoumou, (Ribat El Kheir actuel) et de Madame la "maitresse!" d'Oufkir, ayant, perturbé avec préméditation, la stabilité du pays. Ce temps traître est définitivement révolu, souhaitant qu'il ne reviendra à jamais, permettant au leadership Marocain d’avancer, au détriment de haine et d'hostilité Algériennes.
Harcèlement et divergence..«-Allongez un Marocain sur un divan et il est probable qu’au bout de dix minutes il vous parlera de l’Algérie, de son ingratitude, de sa haine et de son hostilité envers le Maroc. -Allongez un Algérien et il vous parlera du Maroc, de Ben Batouch, des queues d'attente - pour le lait et la semoule,portant trop d'illusions. Il est mémorisé pour rester myope, pour ne rien soutirer de ce qui se passe autour de lui.
Selon l'ordonnance soumise à l'application par tous, l'Algérien est contraint de garder son attention montée, plus d'un cran, près à parier le diable ennemi Marocain, constituant pour le régime d'Alger une maladie chronique. Même si fraternité oblige, nous simples sujets de Sidna, nous souhaitons vivre une rupture tranquille avec cette voisine de mal, avec laquelle on ne partage pas les mêmes valeurs.
Cette voisine folle qui vient tout juste de tomber du plafond Français en 1962, par contre Notre Maroc fête, tout le temps son histoire de 14 siècles d'existence. Le grand ("Maghreb d'autrefois") dont on préconisait construire n'est plus, et ne sera jamais bâti et que son pacte de naissance de Marrakech ayant groupé en février 1989 le Roi feu Hassan II et les présidents de Libye,Tunisie,Algérie et Mauritanie est mort-né, il serait pour les Marocains surtout, une blague,nulle et non avenue.
Cette petite remarque résume bien les préoccupations Marocaine et algérienne qui saisissent la Situation dégradée entre les deux peuples à la veille des 60 ans des fâcheux accords d’Évian de 1962 entre la France et l'Algérie, dont on veule ou pas, faire la station mémorielle d'un mauvais voisinage.
Ce qui m'intéresse le plus, c'est d'avoir un imposant dispositif de lecteurs de culture politique générale qui pourraient m'accompagner et revivre les bienfaits d'un règne glorieux qui a prévalu et a péri, marquant une phase d'or de l'histoire contemporaine du Maroc.
C'est parler politique, du haut niveau, défigurant au maximum le sale portait du pouvoir d'Alger et expliquer aux simples Algériens, qui croient aveuglement aux fourbies du passé de leur pays, que la France de De Gaules n'avait pas quitté l'Algérie à cause de sa guerre de libération, que menaient; dit-on, ce qu'on appelait vachement les "Mojahidine", non, c'est faux et archi faux..!.
La France était tout simplement fatiguée par les jets médiatiques et politiques brulants insupportables, préjudiciables aux termes d’État démocratique qu'elle subissait de la part de ses pairs puissants du monde qui lui collaient le terme dictatoriale et l’œil myope envers les -yéyé- de l’euphorie de l’indépendance que connaissait le monde partout à l'instar de ce qu'a fait récemment les USA, en jetant l'éponge au pays des Talibans.
Et que l'absurdité d' "Un million et demi de martyrs" n'était qu'un anecdote, inventé circonstanciellement par Abdenacer, le maudit président Égyptien à l'époque (!) lors de sa visite à son élève Ahmed Ben Bella, le président "Marrakchi" à Alger et ce pour souffler plus dans le faux esprit de bravoure que les Algériens se donnaient à leur particularité.
Lorsque le nom de «l'Algérie» est créée à notre voisinage en 1962. Il lui a fallu des politiques bien calés pour se mettre sur pieds et regarder la hauteur Marocaine.Les personnalités Algériennes dignes du respect, sont malheureusement disparues de la scène politiques, soit par disparition naturelle ou par assassinat commandité.Exemple :
-Mohamed Kheider, un leader des cinq, assassiné en Espagne. -Abdelhamid Mehri, ministre et ambassadeur au Maroc mort naturelle. -Mohamed Boudiaf, l’hôte de Kénitra pendant 28 ans, rappelé pour jouer le rôle de figurant, assassiné en direct à Annaba en Algérie pour avoir touché à la corruption des généraux.
L'important n'était pas tant de mesurer l'impact réel de ses attitudes de haine et d'hostilité depuis son indépendance, mais de mesurer l'effet impérieux de l'abominable gaffe impardonnable de donner l’indépendance à une entité folle de ses sujets d'outre mer.Une gaffe déraisonnable, s'inscrivant, désormais, dans la mauvaise page de l'histoire du général De Gaules, mais bien de comprendre que nous Marocains, nous avons et nous auront toujours, malgré nous, un ennemi dingue à notre coté-Est.
Le Maroc progresse, malgré ses inconvénients et l'avenir détaillera certes à ce stade, plus de compromissions de vérité, loin des attractions du pouvoir d'Alger, faisant circuler que le Maroc est derrière les soulèvements internes de séparation que demandent : la Kabylie au nord et les Awades (Touareg) au sud de l'Algérie.
Entre audace et réalisme...!En parlant politique d’État de sa haute sphère.Je crois que le dernier vote à propos de l’Ukraine à l’Assemblée générale des Nations unies demeurera inscrit sur du marbre. Une majorité des États membres de cette organisation ont adopté une résolution condamnant l’intervention militaire de la Russie en Ukraine.Le Maroc s'est exprimé dans ce sens à sa façon.
Toutefois, jetant un regard lucide et rétrospectif sur le déploiement du Maroc depuis son indépendance en 1956, on se rend compte d’une constance : «le Royaume du Maroc est demeuré neutre, il ne s’est jamais éloigné sur un camp contre un autre. Non plus, il ne s’est aliéné l’amitié de l’une ou l’autre puissance».
En preuve, la Conférence des États non alignés, organisée à Belgrade du 1er au 6 septembre 1961, feu Hassan II avait activement pris part en y prononçant notamment un discours fondateur. Nasser, président d’Égypte, J'wahir Lal-Nehru de l’Inde et le maréchal Joziph Broz Tito de Yougoslavie, alors en grave dissidence avec Nikita Khroutchev, président de l’Union soviétique, y participaient. Ce jour-là, c'était lui feu Hassan II,la vedette et superstar. La satisfaction de conférence se lisait d'ailleurs sur les visages encore juvéniles, en candidats plongés en guerre froide, tenacement à ses forts débuts.
Paraissant en hommes d’États de poids lourd dans un monde non aligné, la tonalité de son discours, les a surpris, restant bouches baies, surtout quand la définition de la position Marocaine exprimait, une manière de justesse à l'époque, où la guerre froide faisait rage et n’épargnait aucun continent.
Un parterre d'officiels, de grands patrons d'entreprises acquis à son discours était là, pour applaudir feu Hassan II. Certains membres de ce public filmaient la scène pour y réfléchir après. C'est dire à quel point feu Hassan II piquait leur curiosité.Lui, le tout jeune Monarque du Maroc, s'est déplacé ce 1er septembre 1961 jusqu'ici en Yougoslavie communiste, pour dévoiler sa feuille de route ambitieuse de règne. Le lieu était pour lui hautement symbolique :
Du haut de la tribune, Sa Majesté le Roi feu Hassan II préconisa alors une attitude de «neutralisme positif» entre les États-Unis et l’Union soviétique, en même temps qu’un soutien actif aux divers mouvements de libération en Afrique dont notamment l'Algérien. Faisant le "bombardier" avec sucés, il ajoutait., je cite :.«Les décennies passant, nous avons mesuré la justesse du choix du Maroc pour le neutralisme positif sans nulle ambiguïté, qui estampillera à jamais notre politique étrangère...
Quand bien même le libéralisme économique inspirerait toutes nos options, le Maroc fera du neutralisme son acte de foi, maintiendra de bonnes relations avec le bloc socialiste, notamment l’URSS avec laquelle il avait établi des relations diplomatiques dès son Indépendance.fin de citation.
Les visites des dignitaires soviétiques au Maroc, notamment de Nikolaï Podgorny et Alexis Kossyguine, s’inscrivaient dans le cadre d’une amitié forgée sur la base du respect mutuel de deux nations historiques, le Maroc et la Russie.
En 1966, Sa Majesté feu Hassan II effectua le grand voyage historique dans la Russie et eut plusieurs entretiens au Kremlin avec les dirigeants soviétiques, dont notamment avec Léonid Brejnev qui n'était pas n'importe qui à l'URSS. Il était l'homme d'État soviétique fort, d'origine Ukrainienne, secrétaire général du Parti communiste de l'Union soviétique, et donc le principal dirigeant de l'URSS de 1964 à 1982. S'il restait encore vivant, Vladimir Poutine ne pourra jamais piétiner la réalité du terrain et attaquer l’Ukraine aujourd'hui.
Après les changements majeurs intervenus en 1990 et la transformation de l’Union soviétique en Fédération de Russie, les relations entre les deux pays ont suivi leur cours normal, basé sur le vieux paramètre «entente, détente et coopération».
La Russie a connu, dans la foulée, de nombreux changements, en particulier au niveau de ses instances dirigeantes et des options politico-économiques, après l’effondrement du système communiste et la réorganisation de son économique vers un libéralisme progressif. On ne compte plus les visites dans un sens ou dans l’autre de hauts responsables des deux pays, les accords de coopération, les échanges et les missions s’inscrivant, sans faille, dans la continuité.
En 2002, deux ans à peine après son arrivée sur le Trône, Sa Majesté le Roi Mohamed VI s’était envolé à Moscou sur invitation du Président Vladimir Poutine qui l’accueillit en grande pompe. Cette visite Royale en Russie a illustré une continuité ; mais aussi une refondation de ce qui deviendrait, selon les experts une relance du partenariat Maroco-Russe, l’objectif ayant été de mettre à profit les atouts d’une coopération qui a traversé les décennies et les épreuves pour hisser les relations politiques et économiques à un niveau digne de leurs ambitions.
Et pour finir, disons-le : l’indépendance de l'Algérie a créé trop d’ennuis aux voisinage. Mais les bons points diplomatiques que marque, ici et là Syed Bourita donnent aux Marocains l'espoir de s'adapter à tout venant, de haine et d'hostilité de cette mauvaise voisine l'Algérie..Nous sommes bien éveillés et nous n'avançons pas à tâtons dans le noir.
Sachant qu'à chaque fois qu’un consulat étranger s'ouvre à Dakhla ou à Laâyoune, un diable Algérien meurt, c’est toujours une passerelle de vérité qui se libère de plus. Alors que ce Grand Royaume se stabilise et progresse en bonne position mondiale.
Preuve à l'appui, un grand artiste Français témoignait récemment, quelque part médiatique..Qu'«il ne croit et n'y croirait plus au terme «tiers-mondiste» au moment où un pays de cette entité se mobilisait, tout entier, pour sauver un simple petit enfant, issu d'une famille démunie, tombé accidentellement dans un puits de campagne» (!)».
Voilà le plus grand État de cinglés de la planète, frontalier d'un Grand Royaume ancestral le Maroc, membre d'un monde de Ch'makria, ( terme tiré du liquide solution anti-crevaison et du chema) devenu accidentellement État paria, violant le bon voisinage, fondant depuis 1962 que de la merde, tenant dans son bec des principes à lui, dont :
« -L'intangibilité des frontières- » -attribuant au Maroc le fait déclenchant la guerre des sables en 1963. Et pourtant, c’était Ben Bella qui était, le bout de feu, de son maitre Abdenacer qui voulait républicaniser tout le monde arabe après avoir réussi de mettre fin à la monarchie de Mohamed ElBadr au Yémen. Et depuis que l'Algérie est Algérie, c'est-dire depuis 1962, elle avait chaviré vers le fond de la l'abîme plongée et s'éclatera en sanglots quand elle s’éveillera pour regarder la raison en face. Bonne lecture
Cordialement,Chihab25
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
¹.Charles Pierre Péguy était un poète, essayiste et éditeur français.
².Le Roi règne et ne gouverne pas.
³.Le Roi règne et gouverne..