Maroc-Algérie : L'Algérie mise à nu partout, qu'en pensent-ils les voisins de mal d'à coté?..!
Cervelles en vrac pour Algériens
L’obsession du Maroc!...Le Maroc est contraint de se familiariser avec des séquences de (passe d'armes et de positionnement croisés) d'une entité folle à sa frontière-Est, mettant au pas sa haine et son hostilité. Sommes-nous devenus cons, pour porter aux ennemis un regard dédaigneux? A moins que ce ne soit eux-mêmes qui deviennent, de plus en plus, bêtes et cons ?.Quant à nous, notre crédibilité ne nous permettrait pas de faire -feu de tout bois, mais d'accentuer davantage l'envie et la rage de tout locataire du palais d'AlMouradia d'Alger.وليعلم الناس مع ذلك ... مع من حشرنا الله
Ce sale régime avec lequel nous avons affaires est un navigateur à vue, sans feuille de route (!).Du jamais vu en politique officielle des États crédibles, l'Algérie, à cause de ce régime, devient la risée de l'Afrique. Il n'y a pas vraiment de quoi se réjouir en Algérie, sauf de s'embourber dans l'égoïsme, et de s'enfoncer, dans la désillusion, tandis qu'en parallèle, le Marocain, se trouve en bonne position et se consolide davantage, s'attaquant à bout pourtant, aux tirs groupés de ses ennemis : (Pro-polisalgériens et les corrompus Sud-Africains, Cyril Ramaphosa et Jacob Zuma avec sa salope Dlamini).
L’Algérie se réjouit, tambour battant, de son admission au Conseil de sécurité en un tremplin pour satisfaire son obsession pour le Sahara Marocain. Alors que des rumeurs, voire des mesures de liquidation de Ramdane Lahmamra font le tour de la toile. C'est donc, le ministre-engagé aux affaires étrangères, Ahmed Khattaf, se trouverait obligé, (-sine qua non-) de suivre les folles directives des militaires jusqu’à l’ONU.
En exemple d'anarchie et de panique, Ramdane Lahmamra, l'ex-diplomate dit "chevronné" a été éliminé du champ médiatique et politique pour servir l’agenda de Tebboune qui cherche à obtenir une réélection sans vagues en 2024. Des milieux informés ont parlé, même de la confiscation de son passeport et son interdiction de quitter le territoire algérien, pour lui éviter de révéler les mensonges, frasques et dossiers crasseux du régime.
Après sa nomination en tant que membre, non permanant, au CS de l’ONU, l’Algérie compte faire que du bruit contre le Royaume. Et c’est le Maroc et la thèse séparatiste qui en meubleront, toutes ses discussions, à en croire Ahmed Khattaf qui, dans une cérémonie qu'il a organisée, lui-même à New York pour célébrer, unilatéralement, cette élection, a présenté les directives d'AlMouradia, je cite :
«L’Algérie poursuivra son soutien indéfectible aux justes causes de la Palestine et du Sahara (occidental!) et les droits des deux peuples à mettre fin à l’occupation de leurs terres usurpées, conformément aux dispositions des règlements et résolutions pertinents des Nations unies » fin de citation.
Il y a bien une règle d’or à retenir pour définir le voisinage diplomatique, ça ne pourrait être que la discrétion. Une qualité qui, quand elle fait défaut, rend impossible toute négociation ou démarche diplomatique. Car la confiance et le franc-parler ne sauraient exister sans ce préalable indispensable. On a marre au Maroc de ces dingues, qui se trainent en branle, en oscillation , perdant la boussole, devant les emmener au bord de la délivrance. Nous n'avons jamais rien vu de tel voisinage .Nous savions, à fort d'existence, que la voisine de mal se cohabite avec le mal, habituée à sauter, aux pieds joints, dans toutes les boues de merde.
Ses gouvernants n'ont plus honte de rien. Tout en traitant les Marocains d'ennemis. Ces Marocains qui, malgré l'envie ennemis, aiment leur Monarchie ancestrale, fiers de baiser la main Royale, appliquant unilatéralement, pour de bon, le principe du bon voisinage, malgré l'envie, la haine et le harcèlement de l'autre côté. La volonté divine nous a coincés à côté d'une Algérie qui a perdu ses hommes de paroles et de crédibilité d'autrefois, une voisine embourbée dans l'incertitude, vivant dans l'anarchie totale, à cause d'une racaille de caporaux Français qui se sont accaparés, de force, de tout un peuple opprimé, en l'absence, de fortes voix, dénonçant, le revers de la médaille, que leur impose le pouvoir.
Sachant que depuis fort longtemps déjà, la politique Algérienne des militaires, est quasi exclusivement animée par l’obsession du Maroc et des Marocains. Cela étant permettrait à tout observateur de remarquer que l’Algérie est bien la proie d’une classe de galonnés manifestement fous, dépourvus de raison d’être et d’agir, devant les problèmes qui secouent la société Algérienne et auxquels cette classe n’arrive pas à répondre avec programme mobilisateur, pour emporter l’adhésion de l'Algérie à la crédibilité d'Etat la plus prisée.
Faute de mieux, et pour cacher ce qui au final n’est rien d’autre qu’un manque d’imagination et d’ambition pour leur pays, un certain nombre d'opportunistes Algériens, complètement enragés, n’hésitent plus à épouser les thèses de langage fortuit, jusque-là l’apanage d’une xénophobie, composée de nostalgiques aigris, orphelins des temps «bénis» du colonialisme, et extrêmement préoccupés par l'appui de la dé normalisation de toutes sortes de relations avec le Royaume qui a du courage à dire, tout haut, ce qu'une minorité opportuniste du monde, pense tout bas, au sujet de la souveraineté territoriale du Royaume.
Or, je dois relever entre autres. «Que deux pôles négatifs politico-militaires, ont enfanté une spécificité néfaste Algérienne qui pèse de tout son poids, sur le maintien du -statu quo- avec : «Une classe d’importateurs de stupéfiants, notamment de la cocaïne, en dépit des produits alimentaires, liée au pouvoir, dépendante de lui et l’ayant lentement pénétré depuis l’ère de Boukharouba».
Je noterai également, qu'avec stupeur et consternation, les opinions publiques, «Algéro-Européennes» prenaient connaissance de l’impéritie et des turpitudes d’une gouvernance gangrenée depuis trop longtemps par les prévarications. Au bout de presque 60 ans de domination militaire, avec en parallèle, le reflux du pouvoir gâché de l'ère de Bouteflika et sa fin désastreuse, sous les coups de contestation populaire (le hirak) ont laissé l’Algérie dans une situation explosive très précaire.
Le mal, est le merveille Algérien...Du chantre sans talent d’une fiction baptisée «Le mal Algérien», on ne pouvait trouver meilleur titre au livre co-écrit par deux Français experts en la matière. Ils ont opéré une véritable plongée au cœur des nombreux maux qui rongent l’Algérie, depuis sa création en 1962 jusqu’à l’annonce creuse de ce que Tebboune qualifie d’«Algérie nouvelle». Mais comment convaincre un peuple désabusé, au bord de l’implosion, dont le Hirak a manifesté les revendications et les attentes, en rupture avec les pratiques du pouvoir? Comment le persuader de croire au slogan creux pseudo «force de frappe» dont on se veut le chantre de Tebboune (!!) qui a dissimulé le coupable à son impéritie : «la caserne et ses galonnés».
Le pouvoir Algérien est prisonnier de son aspect qu'est «la recherche de coupables fictifs à la construction de piloris pour l’opinion publique locale». Depuis que Tebboune a été imposé par l'inhumé-général Gaid Ahmed Salah pour occuper la plus haute fonction de l’État, celui-ci n’a eu de cesse de multiplier les interventions musclées concernant la supériorité Algérienne face à un Maroc qui dérange. Ses discours violents, relayés par une presse dithyrambique à l’égard de celui qu’elle présente comme un président «sur tous les fronts», combatif et engagé dans une course contre la montre, tentant d’éradiquer une «bureaucratie qui se mue encore dans une posture destructrice».
À l’occasion de ces discours inappropriés qui s’apparentent davantage à des réquisitoires, Tebboune n’a cessé d’invectiver et de lancer des ultimatums pour dénoncer l'ennemi Marocain pour plaire au diable. Frivolement sans savoir ce qu'il cherche du Maroc, exigeant "l'excuse!!". Excuses de quoi et pourquoi, se demande-t-on au Maroc! pour peut-être «les entraves intentionnelles qui obéissent à ses calculs de fausse grandeur politicienne!».
L'observateur remarquerait, certes, à quel point «l’Algérie compte copier et baser ses ambitions sur l’apport de l’industrie Marocaine dans la relance et la diversification d'une économie en panne, sclérosée, qui a généré une stagnation politique en Algérie, en neutralisant les forces vives telles que : «Le FIS de Ali Belhaj et le FFS de feu Hocine Ait Ahmed» , et qui seraient, selon sa fausse conviction, responsables, de tous les maux qui gangrènent l’Algérien.
Faute de convaincre, le médiocre stratagème employé par la junte, laisse donc apparaître, tout ce que le système tentait de masquer. L’inefficacité des gouvernants relève d’une évidence constatée et prouvée avec le temps. On sait d'ailleurs en Algérie que le népotisme est un des fléaux de militaires, mais Tebboune n’en parle pas, car pour qu’il y ait des «neveux faibles», il faut qu’il y ait des «oncles plus faibles encore et de mêmes couleurs»… et ceux-là doivent rester tranquilles, analysent les observateurs.
Avec les recommandations de l'armée, «l’Algérie profonde a encore de mauvais jours devant elle», ce qui laisse le champ libre à ce que tous les Algériens dénoncent : «la mainmise prétorienne de l’armée sur le pays , les prédations des groupes opportunistes qui ont intérêt au «'statu quo'» du système en place». Ainsi, pour Tebboune et sa junte militaire, «il s’agit de mettre en place un climat de précarité générale, sans pour autant indiquer qui détiennent le pouvoir, où se ceux qui sifflent les fins de partie».
L’ingérence du pouvoir Algérien aux affaires Marocaines (au Sahara Marocain surtout), est une atteinte à la bonté de voisinage, dépassement de toutes les prérogatives de la normalité. C’est une véritable volée de bois vert qu’a asséné la communauté internationale aux comportements malencontreux de l'Algérie envers le Royaume et tout récemment envers la Tunisie qui a profité, gratuitement, d'une offrande de 300 millions d'euros contre rien en retour.
Pour tout le monde, il n’est surtout pas question d’appeler à l'ordre des fous, ayant toutes les potentialités d'en nuire à tout vivant sur la planète. Et dans ce contexte, «la violence des termes du pouvoir contre le Maroc n’est là que pour ça. Alors, questionne-t-on à juste titre, cette Algérie, est-elle vraiment de l'ère nouvelle? où est-elle passée l'ancienne Algérie qui n'existait pas d'ailleurs avant 1962?. Le ritournelle disque est rayé et les Algériens n’y croient pas à la sincérité de casernes, étant que la structure de base reste la même: «Beaucoup de coupables Algériens et un seul innocent, c'est le pouvoir militaire» qui coupe le souffle à tout vivant.
Lahdith oul Moghzel...(travailler en parlant).Pour terminer, je dois devancer le passage de chronique ci-après et d'ajouter en perspective que «Le peuple Marocain est un peuple de tous les défis, comme le confirmait, à maintes reprises dans son vivant, Sa Majesté le Roi feu Hassan II que Dieu ait son âme. Une nation unie, indéfectiblement attachée à sa Monarchie, à même d’assurer une souveraineté économique particulière, tant qu'aucun Marocain n'est contraint d'adhérer, par nécessité, aux ('fils d'attente') pour du lait ou du semoule.
Mais cette patience injustifiée de la part du Marocain doit commencer à abattre de l'aile. Une chroniqueuse Marocaine, talonnée en écriture, très connue, Mme «Soumya Naâmane Guessous» résumait récemment une de ses chroniques par : «La campagne Marocaine était fastueusement très fructueuse. Une terre riche, gorgée de pluie et de soleil. Le savoir-faire des Marocains en a fait une source de produits, de tout genre, d'alimentations surtout, à la saveur et à la diversité uniques, qui font le prestige du Maroc, de ses terroirs et de sa grandeur».
J'ajouterai de mon côté à ce dicton précis : «L'accord de pêche entre le Maroc et l'Union Européenne est entré dans la phase des enchères politiques dans certains pays Européens, c'est un -rituel permanent- auquel le Maroc est habitué à chaque fois que cet accord approche de la fin de la durée convenue, que les négociations commencent d'habitude à reprendre : «Concrètement, le Maroc doit mettre fin à cet accord de pêche pour fermer les débouchés incommodes de chantage politique de certains engagés au service de l'Algérie».
Négligeant nos cons...Ce qui dérange de plus la junte et ses opportunistes en Algérie, c'est le point le plus fulgurant de tout ça...«Lion Africain-Maroc-USA»...C'est l'opération qui fait de notre autonomie souveraine reposer sur le renforcement d’un modèle, uniquement Marocain d’armées, crédible, cohérent et équilibré. Les FAR avec le soution de nos "frères" Américains, se distinguent à tous égards sur les plans de «force et de dissuasion», tant en interne qu’à l’international (professionnalisation, acquis et expérience opérationnelle).
D’autres facteurs viennent en complément à la cohésion Nationale, sécurisation des approvisionnements, influence régionale, continentale et internationale avec une diplomatie active servie par le leadership dynamique de Sa Majesté le Roi. En voici quelque temps, dans un ordre du jour des (FAR), à l’occasion de leur création le (14 mai 1956), Sa Majesté le Roi, avait mis en exergue la place et le rôle de cette institution Nationale. Il a instamment invité à prendre en compte d’autres exigences : «la capacité à se projeter dans l’avenir, la poursuite du travail continu et le développement de système de planification et de défense».
Dans cette même ligne, le Souverain ordonnait pour la première fois, une nouvelle création le CRERD (Centre Royal d'Etudes et Recherches de Défense). Avec deux axes : «-Une approche stratégique des problématiques, enjeux du système de défense, de sécurité et -Un cadre offrant un espace de compétences analytiques, civiles et militaire».
Pourquoi citer ces séquences? ce n'est pas pour s'en vanter, mais pour montrer aux ennemis du Maroc, aux voisins de l'Est en particulier, qu'on n'est pas disposés au Maroc de concurrencer, gratuitement, les fourbies Algériennes et que les locomotives de développement et de constructions dans tous les domaines sont bien sur les bonnes railles.
Il en restera, d'autre part, la question la plus prisée : «Peut-on démocratiser une Algérie dominée par une mentalité de casernes?» C’est l’une des questions qui a taraudé les observateurs ayant le bon gré à instaurer les droits de l'homme, surtout en Algérie!. C'est aux curieux d'en trouver la bonne réponse! Plutôt que d’exiger de garanties d'interlocutions aux locataires du palais d'AlMouradia d'Alger.
Certains Marocains, ou plutôt tous les Marocains, préfèrent se simplifier la tâche en refusant de perdre, temps et énergies, à répondre aux conneries d'un régime, je ne dirai pas de mafieux, mais à un ensemble haineux, s'accaparant d'une entité perdue entre ses sales bottes.
Il n'en reste plus à la junte d'Alger que de crier victoire, s’agissant du complot d’Etat ourdi contre le brillant journaliste Marocain Abdessamad Nacer, poussé à dire haut et fort «Non» au lobby Algérien d'Al Jazeera. Mais là encore, tel est pris qui croyait prendre que ce brillant speakeur Marocain de taille gagne la confiance de la BBC qui vient, tout juste de l'engager ('haut et fort') via un contrat de dix ans, lui garantissant la vie confort, convenant à sa brillance journalistique.
Un énorme échec...Enfin de compte, consciente de la frivolité apparente de régime militaire en Algérie, l'Espagne tourne le dos à l'Algérie et à son gaz. Le chantage Algérien ne fait, dans ce sens aucune pression sur le gouvernement Sanchez. Les politiques du parti au pouvoir en Espagne insistent sur la stratégie de relations avec le Maroc et de ne plus regarder à l'Algérie qui n'a pas de sens respectable non plus. Cet acte à rebours des propos lénifiants de Tebboune en direction de quiconque cache un affrontement à, couteaux tirés, entre un président illégitime et le chef frivole de la junte qui ne fait quoi faire en politique.
Le plus sûr, dans ce contexte, c'est de la «raison» qu'on ne trouve rarement chez certains Chefs d'Etat surtout tier-mondistes qui s'impose, généralement, pour y préserver les intérêts de chacun. Cette attitude Espagnole envers les positions oscillèrent étendues d'Alger est une décision à double tranchant qui, humiliera certes, les opportunistes amis de la veuve Algérie et ceux du contrôleur de bus de Carthage, Kaiss-maleur.
En parallèle, les choses progressent normalement au Maroc, la preuve se voit en «African Lion 2023». Les leçons Marocaines d’un exercice militaire unique en Afrique» organisées conjointement par l’Armée USA et les FAR. Mais ces manœuvres, qui ont gagné en régularité et en progression, malgré toutes les intrigues et les dénigrements, adressent des messages à nos ennemis : «l’Armée Royale» jouit d’une confiance, de crédibilité, ainsi que d’une force avérée de dissuasion et de défense, possèdent les capacités suffisantes pour endiguer les menaces grâce à ce qu’elles ont acquis de professionnalisme et d'expérience. Au moment où la racaille Algérienne constitue une proie; visée presque quotidiennement, par des attaques inopinées du mouvement indépendantiste «Touareg» qui se bat pour se séparer de l'Algérie.
Un énième revers pour une junte manifestement hors-sol. Se réjouissant, tambour battant, d'occuper le siège de membre non permanent au Conseil de Sécurité à l'ONU, l'Algérie continue de comploter, mais cette fois-ci, dans le monde du foot. Pour servir son agenda anti-Maroc, elle n’aurait, à présent, qu’une seule mission : intégrer le Comité exécutif (CAF) afin de faire entrer une étrange équipe de football issue de ce qu'elle considère : (membres polisalgériens) prétendument sahraouis. En appliquant le raisonnable en grâce, la CAF lui assène un carton rouge de manière fort éloquente.Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25