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  • Note du 7/4/2015, intitulée : Le traité sur le litige frontalier avec l'Algérie, sera-t-il fiable? » commentaire et réaction de l'admin. à ne pas rater!

    Les grands passages, ou presque, toute la note intitulée :«Le traité sur le litige frontalier avec l'Algérie, sera-t-il fiable?  du 7 avril 2015» - Le commentaire suscité et la réponse y afférente de la rédaction. 

                              

    je me rejouais, d'autre part de reprendre et reproduire, en deuxième volet de cette note,  les grands passages d'une note que j'ai publié à un moment donné dans ce blog, elle porte l'intitulée : (Le traité sur le litige frontalier avec l'Algérie, sera-t-il fiable..? en date du 7 avril 2015). S'agissant d'une note sur le Sahara Marocain oriental spolié, constituant le mauvais cordon qui, en l'évoquant toujours fait, trop de mal aux tympans-oreilles des algériens pour les vexer et irriter davantage dans l'attente de trouver de l'autre coté adverse la crédibilité nécessaire, pour en débattre objectivement ce dossier épineux et trouver l'issue de sortie avec nos "frères-ennemis" algériens!.

    Malheureusement, actuellement notre pays, le Royaume du Maroc, n'y peut rien faire avec une Algérie perdue, à l'image d'un Etat vulnérable, versatile, intempestif. Il n'y a pas d'interlocuteurs responsables en Algérie pour trancher dans de pareils cas. Et sans la bonne volonté il n'y a rien, que de vivre le "statu quo" jusqu'à ce que la volonté divine ordonnera à l'Algérie d'en procréer de bons voisins avec de bonne offices.

    Ci-dessous,sur la carte gauche, ça se voit, le Sahara est vraiment Marocain, quant à la frontière, elle s’étend jusqu'à Ain Salah à l’extrême-Est, à Gao au Sud-Est et Tombouktou et Jeniène au Sud, au Sud-Ouest Chenquit. La Mauritanie n’existait pas d'ailleurs. C'est qu'en 1960, par initiative personnelle de Mokhtar ould Daddah et certains séparatistes maures qui l'appuyaient à partir de Tunis, qu'il a été officialisée en "République Islamique de Mauritanie". Moi ici, je ne parle pas politique. Je fais parler seulement que l'histoire et c'est pas l'avis, non plus, de Abdelhamid Chabat, SG du Parti de l'Istiqlal (!).

    Sans les Français, l’Algérie ne serait rien. (regardez, à la place c'est l'empire Ottman qui se voit en vert). Sur la carte droite, En utilisant la loupe ou en Zoomant à 500°, on verra bien la frontière-Est du Royaume du Maroc d'avant 1903, s'étendant du Nord  au Sud de : Ain Tamouchent - Ras El Ma - Ain Sefra - Figuig - Igli - Touat - Taourirte - Tidikelt - Ain Salah et Thaodeni au Mali actuel.

    Ce sont deux cartes de l'Afrique Française issues d'archives de France d'avant 1830, date de création de ce qu'on appelle aujourd'hui "l'Algérie", à 1903, année de fin de conquête et d'amputation du Sahara Marocain oriental et son adjonction à l'Algérie Française à l'horizon d'imposer le protectorat au Maroc en 1912.(!) 

         Résultat de recherche d'images pour "Carte de l'Afrique Française ( carte du Maroc avant 1912)"Image associée

    Mise au point de parcours (2)..Je rappelle dans ce sens à mon lectorat, que malgré l'approbation circonstancielle par le Maroc de la "charte-chiffon" de l'Union Africaine, ayant permis sa réintégration à cette union continentale en janvier 2017, nous simples citoyens Marocains (les officieux) nous disons 'haut et fort' que nous n'avons pas plébiscité cette approbation accélérée (!) qui intervenait,rappelons-le, dans des circonstances bien particulières, imposées au Maroc par nécessités "géostratégiques". D'autant plus, qu'un aliénas, faut'il le souligner, existe dans cette charte, stipulant, ce que les Algériens se réjouissent d'appeler " Intangibilité de frontières héritées du colonialisme".

    Ce paragraphe ridiculement inique, qui efface, par coup de plume, les frontières légitimes d'un pays, comme le Royaume du Maroc, ne nous concerne, ni de loin, ni de prés!, n'étant pas encore soumis, à une consultation référendaire, par le peuple Marocain, pour y être obligatoirement applicable et définitive.

    Le litige frontalier avec l'Algérie, demeure pour nous, les résidents en particulier dans l'oriental Marocain, un contentieux majeur, que nous considérons, non réglé, faute de fuite en avant de nos "frères-ennemis" Algériens, et ouvert à toutes éventualités.

    Espérant ne pas tomber aux fils des dictons. Le Français, qui favorise l'Algérie dans ce cas : «Ce qui à moi, est à moi, ce qui est à toi, est à discuter!» et le dialectal Marocain : «En vendant son butin, à n'importe quel prix, le voleur est bien le gagnant!».(le voleur ici, n'est que cette Algérie de 1962).

    Cette mise au point imminente, intervient suite à ce qu’avançait le journaleux Abdelhamid Al Aâouni, dans la dernière édition d'Al Ousboue (943 du 27.7.2017) quand il tari d'éloges à l'Algérie de Bouteflikaa, qui selon lui, s'abstenait de créer d'autres complications dramatiques, à l'instar de l'affaire " Guerguarat", accueillant avec "satisfaction" la reconnaissance du Maroc de l'actuelle frontière avec l'Algérie, après que le Maroc ait approuvé et déposé son empreint sur la charte de l'Union Africaine (!) et que cette Algérie est gagnante en l'objet, sans avoir tiré un  seul coup de feu (?)          

     

                                                                                              -:-

     

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