Sahara Marocain Oriental : Les médias Algériens piqués au vif par l'historique de l'intégrité territoriale du Maroc..
P'tite annonce...Tout a commencé pour l'Algérie depuis la guerre des sables d'octobre 1963 et n’a fait que s’amplifier pour venger les gifles qu'elle a endossés depuis sa révolte contre la générosité Marocaine. C’est une envie brute d'une voisine enragée, une envie qui n’est calibrée, ni par l’intelligence, ni par une politique juste, mais par des frivolités soumises au seul juge d'une mentalité pourrie.
C'est de dirigeants Algériens qu'il s'agit bien sûr... des apprentis en politique Étatique, floués et paniqués devant la force florissante d'un Maroc qui dérange qui, au lieu de reconnaître son soutien et sa générosité, les fils de ce qu'on appelait en guerre d'Algérie -pieds noirs- qui prennent, désormais, le Maroc en ennemi de toujours à leur Algérie.
Leurs attitudes ingrates envers le Royaume est un viol d'honneur et de gratitude, voire un crime, aussi grave qu’un meurtre avec préméditation, imposé à deux ou trois générations qu'ayant accompagné la mentalité dysfonctionnelle du pouvoir en place. Il est évident que lorsqu’il s’agit de Malhonnêteté, l’on est encore plus scandalisé.
De toute façon, c’est une horreur dont l’auteur devra être puni à la hauteur de son crime. Pas d’indulgence, pas de circonstances atténuantes, face au flux d'ennuis, en roue libre, qui submergent nos frères-ennemis Algériens. Il est bien clair que l’écart culturel et politique qui nous sépare d'eux n’a aucun équivalent à la sérénité et la richesse de l'histoire, lointaine ou contemporaine du Maroc.
Tous (Algériens) viennent d'une sale race, d'un monde collé en morceaux différents, en société multicolore défaillante où règnent toutes les mauvaises sculptures. Quelqu'un se demande, pourquoi sont à cran?, hé bien parce qu'ils n'ont pas de crocs, que du tabac à chiquer, de la haine et d'hostilité contre Maroc. Nous avons dit et nous le dirons encore ..."Merde", avec un grand 'M' à l'injustice de géographie pour ce mauvais voisinage.
Pour immortaliser ce méfait, Sa Majesté le Roi feu Hassan II concluait en paroles de génie : «Je ne demanderai pas de reconnaître la Marocanité du Sahara, mais je souhaiterai du monde qu'il sache, avec quel voisinage nous a-t-il coincé !»
Pour de nombreuses turbulences internes et d'échecs diplomatiques externes, le régime d'Alger perd ses plumes ne faisant que du bruit. Il devient, à forge de propagande le régime le plus banni, le seul porteur de gales et désillusions, ne pouvant en aucun cas réussir l'éclatement des carcans de silence d'un certain Bourita qui valorise bien la vision Royale dans tous les mouvements de vent de la diplomatie Marocaine.
Mme Bahija Simou,
Odeur réelle dites-vous...Loin de tout ça, au Maroc, on ne prend pas la poudre d’escampette et parler trop d'une retraite mouvementée "à la française", mais on doit, quand même, marcher sur de bons pas d'histoire, surtout au-delà de la barrière de frontières fauchées, voire tracées par coups de gueule, au moment confort, d'un résident général Français, qu'il soit en guise de protecteur au Maroc ou au demeurant à l'infini en Algérie Française.
A cet effet, tant que la stabilité du Maroc est tonitruante aux yeux d'ennemis, je suis contraint de revenir dans ce sens aux problèmes de frontières-Est du Royaume, des territoires Marocains, bafouillées à force brute et aux amputations illégales, perpétrées par les autorités coloniales Françaises dans un temps mort, durant lequel, les peuples Marocain et Algérien se trouvaient en situation craterelle d'impuissance politique.
De ces territoires se trouvait l'ensemble du «Sahara Marocain oriental» spolié actuellement par une Algérie qui n'est faite façonnée et badigeonnée au monde réel par la France-De Gaulle qu'en 1962. Oui, il est rare que les Marocains en parlent de leur Sahara oriental, un immense territoire coupé, par préméditation Française, et offert sur plat d'or à une Algérie Française qui naviguait en rotation parmi d'autres, aux départements Français dits (-d'outre mer-) où précisément, comme la petite Française qui, en cas de réjouissance disait « l'Afrique de Papa». Les Algériens n'en parlent pas d sujet ou l’ont nié carrément, en tant que proie gratuite qui leur tombait, à l'improviste d'un ciel Gaulliste, leur permettant d'écarter les pieds et d'en profiter, visant gagner aussi la pureté d'air Atlantique. même si de ce territoire qu'il s'agit, ils savent qu'est foncièrement Marocain.
C'est la Directrice des Archives Royales, qui a eu le courage de prendre les risque et rappeler l'affaire du Sahara Marocain oriental. Avoir un tel courage plus que d'autres jongleurs politiques Marocains, serait la particularité en nationalisme, sans chantage ni enchères, d'une dame fidèle à la devise nationale. Par cette sortie inopinée, elle faisait clin d'œil au sujet, certes elle ne parlait pas du vide, elle aurait des oignons en poches, assurant que le Maroc demeure droit dans ses bottes, fort par sa crédibilité pour y engranger des combats pour y engranger, éventuellement, des combats politiques à l'international, pour y remédier le cas des amputations qu'il a subi et préserver son intégrité territoriale, même si cela lui coûterait beaucoup de temps et d'efforts.
Mme Bahija Simou qui, parait-il, a bien voulu effrayer et rappeler à l'ordre l'esprit malsain Algérien par les preuves couvrant la Marocanité du Sahara oriental, dont dispose le Maroc. Dans son intervention au forum de la MAP en février dernier a expliqué que le Maroc détient, preuves à l'appui, des liens entre Monarchies Marocaines et Chioukhs du Sahara Oriental à travers l’allégeance. Des correspondances Royales, et des dahirs Chérifiens attestant les faits, ainsi que des cartes montrant le tracé réel des frontières du Royaume avec l'Algérie Française, outre que le Maroc s’est procuré des documents sur ses deux Sahara, (oriental et occidental), auprès de pays Européens. «Il n’y a pas que les documents attestant de la souveraineté du Maroc sur le Sahara Marocain occidental, mais aussi sur l'autre oriental».
Les documents officiels existent en nombre importants aux Archives Royales, affirmant qu’ils «sont d’ailleurs mis à la disposition de chercheurs pour les examiner et les étudier». Ces clins d'œil sur la Marocanité du Sahara oriental sur ses faits historiques avérés, ont suffi pour déclencher des réactions houleuses dans la presse jaune d'Algérie. Les médias algériens commencèrent à se délier et se sont empressés de prendre ces faits historiques et réels pour une «provocation», oubliant que la plus grande provocation qui existe est celle qui dure depuis 1962 et 1976 lorsque l’Algérie s’est appropriée les terres Marocaines au Sahara oriental et continue sa tentative d’expansion échouée sur le Sahara Marocain dit «occidental» par le biais de son polisario et pour, en parallèle, respirer de l'air Atlantique et faire acheminer, en sorte le fer extrait du gisement de Ghar Jbilat de Tindouf (..).
Aussi, faut-il rappeler aux algériens quelques faits historiques attestant de la Marocanité du Sahara oriental, comme la naissance de Tindouf remonte à 1852 ou en 1857 par les cheikhs des tribus Marocaines, en l'occurrence les «Doui-Menia3- Tajakant et R'guibat Echarq, surnommés R'guibat El-Qa'ff» qui avaient toujours fait allégeance aux sultans du Maroc, une réalité bien confirmée et développée par l’historien français Bernard Lugan et par ce qui est rapporté et dit clairement, dans ce sens par la rédaction, dans ses deux dernières notes concernant les fâcheuses amputations territoriales qu'ayant touché le Royaume.
La région de Tindouf n’a été occupée par la France qu’en 1934, et placée successivement sous la tutelle du Résident français au Maroc, puis sous l’autorité du gouverneur général de l’Algérie française, mais même avec cela, son identité et son appartenance au Maroc n’ont pas changé. Ce n’est ainsi pas anodin que le régime Algérien ait choisi de faire installer ses camps du polisario dans la région de Tindouf, en leur laissant le soin de créer une sorte d’Etat neveux à l’Algérie au sein même de ce qui est considéré aujourd’hui comme un territoire Algérien.
Par conséquent, il prévoyait déjà qu’en cas d’échec de leur plan anti-Marocanité du Sahara, le pouvoir Algérien allait, selon les analystes, devoir céder le territoire du Sahara Marocain oriental aux séparatistes Sahraoui sans devoir perdre un territoire algérien. Et de cette possibilité venait l'idée à Boukharouba de créer son polisario et partir à l'enfer sans lui faire d'adieux.
Rappelons que général De Gaulle qui était plus intéressé de l'Algérie Français avait confirmé, dans une déclaration franche que l'Algérie n'existait à l'origine qu'après 1962, notant que l'Empire Ottoman se trouvait pendant des siècles aux frontières orientales du Maroc avant que la France venait en 1830 s'installer dans un mélange ethnique, créant une Algérie Française. Selon ceux qui connaissent l'Empire Marocain, la carte du Maroc de l'année 1830 sous le règne de Hassan Ier, comprenait de vastes terres Sahariennes, à l'est comme à l'ouest de l'Afrique du nord, et les frontières s'étendaient librement entre le Royaume, le Sénégal le Soudan occidental dit "Sahel", et à l'Est Libye, Tunisie et l'Empire Ottoman au Numédia, ce qu'on appelle aujourd'hui l'Algérie.
Le Maroc a été trop indulgent avec le régime militaire en Algérie, qui exploite une poignée de mercenaires du Polisario pour semer la confusion au "Sahara occidental Marocain", notant que la guerre du sable 1963 aurait mis fin à ce conflit en récupérant le Sahara oriental usurpé, n'eut été de l'humanité de feu Hassan II, qui a demandé à l'armée Royale et à son faucon de guerre le général Driss Ben Omar de s'arrêter de fusion de sang entre -frères- et de revenir aux casernes. Le Maroc, rappelons-le, avait alors, la possibilité de récupérer toutes ses terres usurpées au Sahara Marocain oriental et d'arriver à ses frontières légitimes de l'année 1830, mettant la France responsable de l'usurpation des terres Marocaines.
A la lumière de l’histoire....L’actualité contemporaine et les rapports diplomatiques du Maroc se dévoilaient sous un nouveau jour à la lecture de l’histoire du Maroc, d’autant que la question des conséquences de la colonisation se pose aujourd’hui plus que jamais. C’est ainsi sous le règne de «Sidi Mohamed Ben Abdellah (1757 et 1790)», que les Etats-Unis sont reconnus par le Maroc et que dix ans plus tard, se fut signé le traité de Paix et d’Amitié, le premier et ancien traité du genre dans l’histoire des Etats-Unis d’Amérique.
L’un de ses titres : «Souverain de Gao et de Guinée», en disait long sur le rayonnement du Maroc et la réalité géopolitique de l’époque, car, explique Bernard Lugan, nombre de tribus reconnaissaient son autorité et à Tombouctou, la prière était dite en son nom.
Autre actualité que l’on revisite avec ce bond dans l’histoire, les relations triangulaires entre le Maroc, la France et l'Algérie-Française. La question Algérienne occupait ainsi un sous-chapitre du livre, alors qu’en 1830, la France avait pris Alger et qu’il «fut bientôt évident qu’elle n’allait pas se contenter d’occuper une mince bande littorale à l'Ouest de la ville». Et l’auteur de rappeler que «dans un pays qui n’existait pas, aucune résistance nationale ne se manifesta». En effet, était-il expliqué, «l'Algérie n’avait pas de nom, puisque son nom qu’Algérie lui fut donné en 1839 par le général Antoine Schneider, ministre Français de la guerre».
Ce n’est que sous l’impulsion d'Abdelkader Old Mohyeddine que les Algériens surnommaient "Emir Abdelkader", dont sa tribu se rattachait à la lignée de la dynastie Idrissides de Fès, les fondateurs du premier État Marocain au XIe siècle, que la résistance se mit en place. Celui-ci a pu ainsi compter sur le soutien du Maroc, qui le considéra comme -Un de ses Khalifa- et lui envoya armes et vivres, bien que lié par un traité de neutralité sur la question Algérienne avec la France. C’est aussi au Maroc que ce Abdelkader trouva refuge, après avoir été défait durant les batailles d'Isly, région d'Oujda en aout 1944.
Aux origines d’un conflit...C’est à cette époque, en 1844, que va se jouer également le premier acte d’un conflit frontalier Franco-Marocain, aux abords des lisières nord-est du Sahara Marocain oriental. Les tensions avec la France, les revendications des puissances européennes s’ensuivaient et donnaient lieu au début du dépeçage du Maroc et aux mutations du pays, des sujets brûlants auxquels l’auteur consacrait le chapitre «la question Marocaine» (1873-1908).
Vient ensuite le règne de Mohamed Ben Youssef, (Mohammed V) (1927-1961), puis celui du feu Hassan II et des mutations qui transformèrent le visage du Maroc entre 1961 et 1999 et enfin, ultime chapitre, le Maroc de Mohamed VI, le 23ème souverain de la dynastie Alaouite, qui a changé en profondeur le style de gouvernement du Maroc.
Pour mémoire, depuis Rabat le 4 février 1924, les services du Résident de France au Maroc écrivaient: «Il n’est pas douteux qu’à cette époque (avant le Protectorat), l’Empire Chérifien Marocain étendait nettement son influence au sud de l’Algérie, et il coupait celle-ci du Sahara Marocain Oriental proprement dit: les Oasis Sahariennes de Touat, Gourara, Tidikelt, Tabelbalt et Tindouf relevaient depuis plusieurs siècles du Maroc (…) et des gouverneurs Marocains y demeurèrent jusqu’à l’occupation française d’Ain-Salah en 1902.
En 1917, le Général Gouraud qui était alors Commissaire résident général par intérim en Algérie Française demanda même «le retour de Colomb Béchar au Maroc, tandis que la Marocanité de Tindouf ne faisait l'objet d'aucune obsession de part et d'autre». Sur ce point, aucun des "stupides Algériens " aux commandes ne pourrait effacer, par une simple plume entachée de pétrodollar, la réalité des petites parcelles boueuses sur lesquelles se baserait l'Algérianité de ce territoire Marocain, tout simplement, à cause d'un coup de traitrise d'un Français ivre.
«Le général de Gaulle a-t-il proposé au Maroc d’étudier la refonte frontalière Algéro-Marocaine? Le souverain Marocain Mohamed V a alors, refusé de poignarder le dos de ses "frères" Algériens préférant attendre l’indépendance de l’Algérie pour remédier, avec ses frères algériens, au contentieux frontalier». Pour dissiper toute anticipation, le Maroc et le GPRA (Gouvernement Provisoire Algérienne) ont signé l’accord du (6 juillet 1961) résumant : «Le GPRA s'engage par négociations à purifier toute délimitation arbitraire entre les deux pays et y trouvera solution. À cette fin une commission «"ad hoc"» se penchera sur le problème dans un esprit de fraternité».
A prendre ou à laisser... Une conclusion amère pour l'Algérie, peut-on lire dans un rapport de l'oncle Sam. La Centrale d'Intelligence Américaine (CIA) confirme, entre autres, que «les territoires du Sahara oriental sont Marocains et pas Algériens». Un document déclassifié de la CIA au sujet des frontières Marocaines au niveau du Sahara oriental, a confirmé le caractère Marocain de territoires aujourd’hui considérés comme Algériens. -Le document déclassifié par la CIA en 2004, et révélé par (The North Africa Post) a indiqué que la souveraineté du Maroc s’étendait à Hassi Beida et Tinjoub au sud de la province d'Ouarzazat. Il indique par ailleurs la responsabilité de la France dans le tracé des frontières et les territoires annexés qui n’appartiennent pas à l’Algérie Française, à la source du différend territorial entre le Maroc et l’Algérie actuellement.
-Le document explique que l’administration française au Maroc et de l’Algérie avait redéfini à plusieurs reprises la ligne de démarcation administrative séparant le Maroc de la juridiction Algérienne française et qu’elle avait favorisé l’Algérie, qui faisait légalement partie des pays d'outre-mer Français. La CIA qui reconnaît de facto à travers ce document la souveraineté Marocaine sur son Sahara oriental, « renforce la position juridique et les droits historiques du Maroc pour la libération des derniers territoires occupés illégalement et annexés à l’Algérie française au détriment du Maroc ».-Ce document officiel Américain déclassifié retrace les dates clés du conflit entre le Maroc et l’Algérie, comme la Guerre des sables de 1963, et explique que le tronçon Sud-Saharien de la frontière Maroco-algérienne de Figuig jusqu’au Sahara oriental n’a jamais été délimité.
Les renseignements Américains rappellent encore que dès l’indépendance du Maroc en 1956, la question de la récupération des terres Marocaines amputées et annexées par la France en Algérie a été posée. Après avoir accédé à l’indépendance les Marocains ont soulevé la question de la récupération de leurs territoires annexés à l’époque à l’Algérie française, le document CIA précise d'une autre manière : « Cette ligne est pourtant adoptée par les Algériens. Les Marocains insistent sur le fait que la véritable frontière est une ligne antérieure, qui place les postes de Hassi Beida et Tinjoub au Maroc qui étaient l'étincelle de la guerre des sables d'octobre 1963 entre le Maroc et l'Algérie indépendante». Ces postes sont importants, car ils se trouvent sur la principale piste caravanière reliant Colomb-Béchar et Tindouf au Soudan occidental et à Tombouctou au Mali en particulier ». Concluant par une vérité accablante, la note de la CIA citait, l'accord conclu en juillet 1961 signé entre les mains du feu Hassan II par Ferhat Abbas, alors Président du GPRA, s'engageant à céder le «Sahara oriental Marocain» une fois que l’Algérie serait indépendante, mais les dirigeants algériens, depuis Ben Bella et ses complotasses ont renversé la donne, éjectant le Kabyle Mr.Ferhat Abbas, refusant d'honorer cet engagement de restituer les terres du Sahara Marocain oriental à la mère patrie le Royaume du Maroc. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab25