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«-Le Royaume Chérifien du Maroc - Chihab 25 المملكة المغربية الشريفة - شهاب - Page 66

  • Le Maroc-Royal : L'impossible n'est pas Marocain, le leadership-ma fait surmonter toute épreuve, sauf avec le voisin fou Algérien..!

                                                                   drapeau-du-maroc-image-animee-0008            

           

                                                                                             Le Commandement Algérien

    On craque l'ennemi-dz..Les insectes à la cervelle et l'ivresse, c'est avec cette veuve-Algérie que le Maroc recule pour mieux sauter. Effectivement, il n'y a que des insectes au cerveau (photo) de celui qui s'en vante s'opposer en adversaire au Maroc. Sachant qu'il n'y aurait pas de comparaison, en termes de réalité et en substance, étant qu'il y a un faucon, à 4 étoiles d'or à l'épaule, portant le nom de Belkheir L'warrak qui survole, avec succés, tous les cieux et sauvgarde la souverainté d'un Maroc-Royal.

    Nous ne devons pas cependant oublier que la rage qui interpelle ce Chengriha contre le Maroc a ses particularités de haine et d'hostilité. Ce pisseur de la racaille Algérienne (armée) est actuellement l'homme "fort" de l'Algérie après l'assassinat de son ex-parrain, l'inhumé général Ahmed Gaid Salah.

    Il était tout un petit sous-lieutenant et l'un des 101 détenus militaires Algériens capturés au Maroc, durant les batailles d'Amgala et du  mont L'Ouarkziz, les 27 et 29 janvier 1976. La caricature démontre qu'il n'a que des mouches dans sa Cabessa. Il n'a rien à donner de concret, ni à l'Algérie ni à ses divers voisins.

    Le Maroc-Royal, Dieu merci, est stable de nature, se réjouissant de sa démocratie et de son leadership arabo-Africain. Quant à la Tunisie, elle est emportée par un ogre-prédicateur qui sort subitement de la jungle de Carthage. Tandis que la Lybie ne dépasse jamais son état actuel de dissension, même si elle cherche à unir  l'Est à l'Ouest ou à mettre en œuvre l'accord de cessez-le-feu entre le général Haftar et la légitime de Tripoli, sauf que..Si Kadhafi aura l'occasion de renaitre à nouveau pour y recoller les morceaux cassés en son Jamahiria. 

    N'en parlons pas de l'Algérie qui est en état critique, se balançant entre -sa panne institutionnelle généralisée par l'incertitude, et entre les conséquences du torchon qui brûle déjà entre l'armée et le palais d'AlMouradia qui hésite de prononcer le Maroc en tant que tel. Un Algérien en colère, a taclé son pays qui n'oserait, par envie, prononcer la qualification du Royaume au festival foot-ballestique de Qatar .

    Trois faucons formant le triangle Marocain de danger, ressemblant à celui de Bermudes : Hakimi, Zyech et Naceri, actuels footballeurs chevronnés en Europe et aventuriers aussi déterminés, caressant un rêve fou : Aller en final, où aucun des Européens ne pouvait y mettre le pied devant les lions de l'Atlas, au mondial Qatar22 et en devenir les Rois de la ronde à l'échelon international…Les yeux du Roi et du peuple veillent à ce que nos Lions aillent loin, très loin jusqu'au bout, faisant soupirer l'ennemi Algérien.

    Début de conte. Un vent glacial s'installe entre le Maroc et la France, le courant ne passe pas à cause de l'Afrique Marocaine où le leadership Royal entasse des exploits..! Pas par croiser les sources d'informations, non il y a qu'une source qui alimente notre réalité. C'est bien notre crédibilité. La récolte s'est éclatée au Qatar par Regragui et son équipe multicolore. Une équipe populaire, constituée «d'Ouled Echchaâb», sortie des banlieue du Maroc, pas des villas de la classe prestigieuses, pour faire tomber les grands ambitieux du foot international à Dawha. 

    Je consacrerai cette fois-ci, une grande partie de cette note, aux relations Maroco-Françaises, convoitées par l'envie du pouvoir militaire d'Alger, le pouvoir qui ne connaissait comment attraper la bête de sa que durant la visite éclaire de Macron à Alger en août 2022. Ce qui nous concerne là-dessus, c'est que la France a commis une grave erreur, comparant les Marocains aux voyous de l'Algérie, tout en réduisant, en même égalité, la délivrance des visas pour entrer sur son territoire.

    Apparemment, ni le président Français ni son ministre de l'Intérieur, n'ont conscience de la détérioration des relations entre la France et le Maroc. En punissant les trois pays arabes de l'Afrique du nord, divisant par deux la délivrance des visas pour entrer en France, ils ont provoqué au sein des populations de ces pays un tollé allant jusqu'à une violence inouïe dans les commentaires relayés par les médias de part et d'autres.

    Les Algériens eux, se rappelleront qu'une semaine avant la chute de Bouteflika, le général inhumé Ahmed Gaïd Salah prenait ses distances du locataire du palais d'AlMouradia et appelait même à la destitution des Ait Bouteflika. Il soupçonnait son frère Saïd Bouteflika de comploter avec le général «Toufik» pour l’éliminer de la scène en relançant un vieux plan : proposer Liamine Zeroual, le général en retrait de la vie politique depuis sa démission "forcée" de la présidence en 1999, de diriger une période de transition. Mais celui-ci refusait.

    Le général à la retraite Toufik ainsi que Saïd Bouteflika et Louisa Hanoune, la secrétaire du Parti Algérien des travailleurs étaient placés sous mandat de dépôt par le tribunal militaire de Blida. Les trois prévenus étaient condamnés en septembre 2019 à quinze ans de prison chacun lors d’un procès éclair pour écarter Gaid Salah de la coupole présidentielle avec chef d'accusation, "prés à porter" «comploter contre l’autorité de l’État et de l’armée».

    Mais l'inhumé Gaïd Salah, s'est montré très gênant aux décideurs du cercle du pouvoir et fut assassiné en décembre 2019 des suites, dit-on, d’une crise cardiaque.Deux des trois condamnés, le général Toufik et Louisa Hanoune étaient finalement acquittés en appel par la Cour militaire de Blida.

    Chaque année, le RSDD des Nations Unies «Réseau des solutions pour le développement durable» publiait Un rapport sur le «Bonheur». Un classement des pays dans lesquels les habitants sont les plus heureux. Pour cette étude, sept points sont étudiés dans 156 pays : (la compassion, la liberté, la générosité, l'honnêteté, la santé, les protections sociales et la bonne gouvernance).

    Je ne sais pas quelle place occupera le Maroc cette année pour mieux faire encore. Peu importe quel classement du Maroc pourrait y avoir dans ce sens, je souhaiterais que le Royaume, où on vit le meilleurs des pays tiers-mondistes, en  en stabilité politique, devancera l'Algérie dans tous les domaines, en particulier en crédibilité et en leadership. 

    Le retour des bourreaux. Répondant aux rumeurs, le disant atteint d’une grave maladie, le général à la retraite Khaled Nezzar a réagi en s’en prenant à ceux qui ont révélé la détérioration de son état de santé. Ses insultes, dénotant un état mental dégradé, ont été amplifiées, par le média de la famille Nezzar, qui voit le «Makhzen Marocain» partout et derrière tout cela.

    Selon des sources locales, l’ex-général Khaled Nezzar serait gravement malade. Manque de chance, il est contraint de se contenter, pour ses soins, des villas et autres résidences médicalisées de la junte militaire locale. Malgré l’insistance de ses médecins algériens et étrangers, qui lui ont conseillé d’aller se soigner à l’étranger, vu les limites criantes des structures sanitaires locales, le «Pol-Pot algérien» comparé au dictateur (l'ex-premier ministre, chef des Khmers rouges en Cambodge). leur aurait expliqué qu’il lui est impossible pour le moment de voyager hors d’Algérie, craignant l'arrestation et lr jugement, surtout par la Suisse.

    Traqué par la justice internationale qui a failli le coincer en Suisse, où il était justement venu pour se soigner avant de fuir en urgence vers Alger, Khaled Nezzar (85 ans) est désormais condamné à passer sa fin de vie en Algérie, ou en prison. Il faut rappeler qu'il a déjà été opéré aux Etats-Unis, au milieu des années 90, en vue d’extraire une tumeur au cerveau.

    Pour avoir révélé ces informations sur sa maladie, le journaliste algérien en exil, Hichem Aboud,(vidéo en bas) a été copieusement insulté par Nezzar en personne, dans une brève sortie vocale. Il l’a ainsi traité de «fils de gobi», gobi étant, en jargon militaire colonial, un soldat inculte qui n’a aucun grade.

    Il s’agit là d’une référence à la carrière militaire de Aboud-père, un ancien moudjahid, devenu journaliste comme le sera son fils. Il n’en fallait pas plus pour que Hichem Aboud rappelle à Nezzar son passé de harki, hérité de Nezzar-père qui a servi dans l’armée coloniale comme goumier avant d’engager son fils dans l’armée française, au plus fort de la guerre d’Algérie.

    Hichem Aboud a alors promis de rediffuser toutes les vidéos qu’il avait publiées ces dernières années sur les crimes de Khaled Nezzar. Et c’est de l’artillerie lourde qu’il a sortie, non sans préciser que Khaled Nezzar a choisi, pour s’attaquer, le jour de l'anniversaire des manifestations de colère du 5 octobre 1988 en Algérie.

    Des manifestations, rappelons-le, du pain et de liberté ont eu lieu pour la première fois en Algérie, réprimées dans le sang, plus de 300 morts, par ce même Khaled Nezzar, alors chef d’état-major de la racaille algérienne, membre du pseudo-conseil d’Etat qui a dirigé l’Algérie de 1992 à 1994, après l’assassinat, en directe, toujours par Khaled Nezzar, du président Mohamed Boudiaf en juin 1992 à Annaba, engageant un Drsiste (-M'barek Bou Maârafi-), un des agents du général Toufik, alors qu'il s'adressait à une réunion publique.

    Mohamed Boudiaf, l'ami du Maroc, était l'un des rares vétérans de la guerre d'Algérie encore en vie à l'époque. Il résidait à Kenitra au Maroc où il avait une usine de carrelage. Un assassinat houleux, s'ajoutant aux autres qu'on connaît publiquement, ayant emporté Mohamed Kheider assassiné à Madrid en 1967, Krim Belkacem, assassiné à Francfort en 1970, et Mohamed Seddik Benyahia, assassiné à la frontière entre l'Iran et l'Irak..!

    La junte poursuit son show surréaliste en honorant les bourreaux à la retraite.. «Nezzar et Toufik».Hichem Aboud a ouvert ce casier macabre avec un autre crime commis par Nezzar qui a tué de sang-froid son épouse, assassinée d’une balle dans la tête, devant ses fils. C’est l'un d'eux qui a d’ailleurs fini par révéler ce féminicide, à travers un post sur sa page Facebook, celui-là même qui voulait récemment monter un commando dédié à l’assassinat des opposants algériens exilés en Europe pour plaire au cercle du pouvoir d'Alger qui a acquitté son père de tous crimes.

    L'étau se resserre autour de Tebboune..c’est dans ce cadre que les Algériens et le monde entier ont été surpris par l’hommage indécent rendu le 4 août dernier par le tandem Tebboune-Chengriha, respectivement chef de l’Etat imposé et le chef d’état-major de la racaille algérienne, au profit du duo de généraux retraités, Khaled Nezzar et Mohamed Mediène (dit Toufik), deux noms retenus à jamais par l’histoire récent d'Algérie comme directement associés à la mort de quelque 200.000 Algériens durant la guerre civile qu’ils ont déclenchée dans les années 90 du siècle dernier.

    Ce «certificat d’honneur et de gratitude» remis à Khaled Nezzar et Toufik s'est accompagné, récemment, d’une virulente attaque, menée par leurs porte-voix médiatiques, contre les anciens dirigeants du Front Islamique du Salut (FIS, dissous) et contre la loi sur la concorde civile, promulguée par Bouteflika dès son élection en 1999 à la présidence. Pourtant, si cette loi a prévu l’amnistie pour les islamistes armés repentis, elle a surtout instauré l’impunité totale pour les militaires et agents des services de renseignement qui avaient infiltré les islamistes et tué les Algériens en leur nom.

    Cette impunité accordée au haut commandement de l’armée et aux agents de sécurité sera confirmée par ce qu'on appelle là-bas, la loi portant intitulé «Charte pour la paix et la réconciliation» de février 2005, puis par la Commission consultative sur le dossier des disparus, dite -Commission Ksentini-, qui a exonéré le commandement militaire, à savoir Khaled Nezzar et Toufik, de toute responsabilité dans les cas des milliers de disparus lors de la guerre civile.

    Ce qui est donc reproché aujourd’hui à la loi sur la concorde civile de Bouteflika, ce n’est pas seulement d’avoir mis sur le même pied d’impunité les protagonistes de la décennie noire, aussi bien les généraux que les hommes armés du FIS, mais de n’avoir pu empêcher la focalisation sur les vrais responsables de cette tragédie algérienne, qui ne sont autres que Nezzar, Toufik et leurs bras droits, comme les généraux Said Chengriha, Hassan Aït Ouarabi, Jebbar Mhenna, Nasser El Jenn, Hocine Boulahya. Toute cette bande de galonnés a été pointée du doigt par les manifestations du Hirak (2019-2021), la qualifiant de «Moukhabarat irhabiya», et autres slogans cultes comme «Vive le FIS et tous les généraux à la poubelle. Bonne lecture.

                                                                  Cordialement,Chihab25

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