Maroc-Algérie : il n'y aura jamais de paix avec les fous d'Alger, il y aura que de la crispation sûrement..!
«Ne touchez pas, c'est avec persévérence, que l'aubergine se mangerait»
Empiètements d'une veuve. A noter tout d'abord que le Maroc n'est pas la fourmi que l'on croit. On n’entend pas baisser la garde devant toute frivolité Algérienne et pas avec délicatesse non plus. Le bourdonnement diplomatique des caporaux fait mal à l'Algérie, voire préjudiciable à une terre au "million et demi" de connards, contrainte à la grâce tragique (l'Algérie).
Malgré ses allégations irresponsables contre le Royaume, la réaction des intellectuels Marocains sur le net ne fait pas d'exception aujourd’hui, elle est constituée d’initiatives libres et personnelles, sans hésitation ni décence fraternelle d'autrefois..
Ce sont des professeurs, chercheurs, juristes ou économistes et des simples individualités de la société civile. Tous patriotes, attachés à leur pays et ses Institutions, profitant de la fraîcheur de l'ombre Monarchique Marocain qui les protège. Plusieurs parmi eux font partie de centres d’études marocains et internationaux réputés.
Sans citer de noms, on n’évoquera pas ici, leurs convictions, vivacité, réactivité ou leur nationalisme. Ils n’attendent pas d'éléments d'offensive ou des orientations (à l’instar des trolls algériens avant de s’exprimer. Leur patriotisme chevillé au corps est à la fois leur motivation et leur inspiration! D'autre part, ceux qui sont nés depuis 1963, se trouveront, certes, durant toute leur trajectoire, confrontés malgré eux, à une air de tension et d'hostilité imposés par cette voisine de mal. En évoquant ce passage, je voudrais, tout simplement, prouver aux Algériens, particulièrement aux engagés du pouvoir d'Alger pour y aboyer à notre frontière-est, leur prouver que les Marocains ne sont pas faits pour vivre, forcément, sous des sales bottes.
Malgré,les quelques tentatives qu'on sait, menées par des traîtres-officiers de haut rang, en l'occurrence, les généraux les plus rapprochés du palais, pour ne pas dire les locataires du Palais Royal. Medbouh et Oufkir, au début des années soixante-dix du siècle dernier contre la générosité de leur maitre Sa Majesté le Roi feu Hassan II, mais ces fâcheuses tentatives ont été vite déjouées par la volonté divine, épargnant, Dieu merci, à notre Maroc, toute saleté de bottes ou de liaisons incestueuses avec une junte militaire d'ingrats.
Autrement dit, on ne peut vivre là où l’insécurité sévit, comme en Algérie, quand la panique dépassant, là-bas, la règle contribuant à dépourvoir l'ordre quiétude et se dirigeant vers la relégation ou vers l'abîme plongée du navire Algérien déjà vieux, qui n'attend qu'une législation divine qui pourrait lui appliquer l'euthanasie sans pour autant pouvoir l'éviter.
Méfaits made in-dz...L’Algérie décidait de son propre gré, de rompre ses relations diplomatiques avec le Maroc suite, dit-on, à l'implication de ce qu'elle considère de mouvements terroristes, allusion certes au MAK- de Ferhat Mehani en France et à Rachad de Larbi Zitout à Londres! et bientôt à Hicham Aâboud en l'accusant être engagé au services de renseignement du Maroc, d'avoir incendié les forêts d'Algérie l'an dernier et assassiné le Hirakiste Jamel ould Smaïl.
C'était la goutte qui a fait déborder le verre car en réalité, le Royaume a été d'une grande patience devant les agissements haineux Algérois, pour lesquels Lahmamra n'a eu honte d'inventer, je cite: «Que ces agissements malencontreux du Maroc durent depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962». Mais en remontant le temps chez nous au Maroc, on comprend mieux les visées expansionnistes de l'Algérie vers l'Atlantique qui cherchait à se procurer d'une fenêtre atlantique pour découler, gratuitement, le fer de Ghar Jbilat de Tindouf au détriment d'un accord conjoint avec le Maroc (!).
Voilà ce Maroc, qui était conscient des efforts de reconstruction que devait fournir sa voisine (l'Algérie), contrairement à elle, il n'a jamais connu les affres de la colonisation ni ceux de l'annexion subi par l'Algérie. Tout au plus avait-il connu quelques restrictions de liberté que pouvait lui imposer le protectorat français en 1912. Il a pu, ainsi, sans faire de guerre, négocier la fin du protectorat Français en 1956 et accéder à l'indépendance.
La France alors avait besoin de rassembler toutes ses forces pour combattre les -Fellagua-Algériens- qui, eux, faisaient la guerre pour se libérer de l'implacable domination d'une armée coloniale française qui avait envahi leur pays en 1830 sur les ruines des Ottomans.
Cela étant permet de dire que le Maroc a aidé l'Algérie à obtenir son indépendance. Et qu'avons-nous obtenu en retour? Une agression militaire Egypto-Algérienne (octobre 1963). Par cette agression, le maudit Egyptien Jamal Abdenacer voulait imposer son "Nacerisme" aux Marocains et annexer une partie de leur territoire à sa République Arabe Unie (RAU) dont les premiers adhérents étaient Abdallah Sellal qui a renversé le Roi du Yémen et Amine El Hafid de Syrie qui a fait de même contre son concitoyen comploteur Salah Jedid.
Cette partie de l'histoire agressive d'Algériens prenait universellement le nom de «Guerre des Sables» quand le peuple Marocain impressionna le monde entier par une mobilisation générale derrière Sa Majesté le Roi feu Hassan II que Dieu ait son âme pour venir à terme aux ambitions du bloc Soviétique représenté par l'alliance Algéro-Egyptienne.
À l'époque, des partisans Marocains avaient même exprimé leur désaccord avec l'Algérie de Ben Bella qui dirigeait, aveuglement la guerre contre le pays de ses racines, «le Royaume du Maroc», étant issu d'une famille Marocaine de Sidi Rahal Boudali, région de Marrakech. Cet ingrat s'était habillé d'orgueil et cessa toute gratitude envers la générosité Marocaine pour orienter ses hommes contre le Maroc, obéissant aux ordres de ses maitres Egyptiens.
Ben Bella, rappelons-le, c'était un simple adjudant de l'armée Française, injecté par la France au sein de l'armée de libération Algérienne. Il ouvrait, gratuitement, l'Algérie au maudit Jamal Abdenacer qui tentait reproduire son putsch au Maroc contre le Roi feu Hassan II après avoir réussi de destituer, facilement, le Roi Mohamed El Badr au Yémen.
Quelle belle leçon d'unité Marocaine, lorsque le danger frappait à la porte de l'Algérie avec la capture "inopinée" d'un hélicoptère Algérien, l’un des cinq offerts à l'Algérie par le Maroc en offrande d'indépendance, avec à bord 9 officiers de hau rang, (5 Egyptiens et 4 Algériens), dont les ex-présidents, l'Algérien Liamine Zeroual et l'Egyptien Hosni Moubarak, dépêchés en rescousse et assistance militaire à l'Algérie pour secouer la stabilité du Royaume Chérifien.
Trompé de direction, perdant la distinction entre -Amont et Aval- d'Oued Guir, pourtant vers la localité "Algérienne" d'Abadla où se concentraient des bataillons de l'armée, le pilote Algérien avait atterri, sans ser rend compte dans une petite localité Marocaine -Ain Chouatter- dépendant de la province de Ksar-Es-Souk (Errachidia actuel)! La volonté divine avait ainsi répondu présente, offrant gracieusement au Maroc de -Gros Poissons Ennemis- dont il avait besoin pour négocier victorieusement avec le duo de mal "Algéro-Egyptien" qui menaçait ses frontières.
Finalement, l'agression Algérienne contre le Maroc, avait pris fin grâce à la bonne foi du Roi feu Hassan II et à la médiation du président Malien -Modibo Keita- et de l'Empereur -Hailé Sélassié- d'Ethiopie. Il faut préciser que le Maroc manifestait à l'époque son désir de libérer ses territoires du Sahara Marocain oriental, groupant le «Grand Touat, la Saoura, Colomb-Béchar, Kenadsa et Tindouf», territoires amputés du Maroc et passés sous table à l'Algérie Française où la France du général Charles De Gaulles comptait rester à l'infini.
Repères historiques...Quelque temps plus tard, le Maroc revendiquait son Sahara Marocain sous l'occupation Espagnole depuis 1884..et alors que le général Franco qui avait gouverné d'une main de fer l'Espagne était à l'article de la mort, Sa Majesté le Roi feu Hassan II en profita de la panique du gouvernement Espagnol et y annonça -la Marche verte du siècle- libérant ainsi son Sahara Marocain "occidental" en regardant vers le nord pour faire autant pour -Cebta, Melillia et les iles Jaâffarines- aujourd'hui encore sous contrôle espagnol.
Devant le fait accompli que voulait imposer feu Hassan II pour accaparer le Sahara Marocain, quelques farouches Marocains des tribus R'guibat (L'kaff) s'organisèrent autour du -dinar Algérien et du cigare Cubain-, créant ce qu'on appelle le polisario, défendant la thèse Algérienne contre le Maroc. Et depuis, cette Algérie qui se vantait fidèle à ses valeurs, s'empressait à soutenir le slogan fissuré de la guerre froide "le droit à l'autodétermination des peuples".
D'autant que le droit Marocain de récupérer ses territoires spoliés par l'Algérie Française et par l'Espagne était déjà sur la table de l'ONU qui ordonnait l'organisation d'un référendum permettant aux tribus Marocaines du Sahara de s'exprimer. Quel que soit la décision qui en sortira du référendum, l'Algérie promettait alors -verbalement- de respecter le résultat, mais pratiquement elle se préparait à mener la guerre contre l'intégrité territoriale Marocaine.
Entre-temps, le Maroc multiplia les manœuvres après avoir admis le principe du référendum dans un accord signé en 1988, il faisait volte-face et rejeta toute forme d'expression Sahraouie, étant que les séquestrés de Tindouf étaient un mélange ethnique difficile à identifier, car en plus des R'guibat (Charq) d'Algérie, il y avaient aussi des déportés de Mauritanie, de Mali, de Niger et de Tchad, ce qui compliqua aux Nations Unies un vrai recensement aux camps de la honte de Tindouf.
Les tribus Marocaines du Sahara étaient des nomades et des pasteurs, se déplaçant au-delà des frontières internationales. Les fortes sécheresses qui se sont abattues sur la région ont conduits la plupart d'entre eux à se sédentariser dans les centres urbains de Smara, Laâyoune et Dakhla. Avant le retour des provinces du sud à la mère patrie, la structure sociale des tribus Marocaines du Sahara était fondée sur une confédération de tribus, subdivisées en fractions et sous-fractions. La tribu fut dirigée par un cheikh, en la qualité de chef de tribu, et une assemblée tribale, la Jemâa, réunissant les chefs de fractions.
L'irruption du problème du Sahara Marocain dans l'histoire internationale débuta en 1884 lorsque l'Espagne, à la suite de la Conférence de Berlin qui répartit l'Afrique entre puissances coloniales, entreprend de coloniser les régions côtières situées entre Tarfaya et Villa Cisneros -devenu depuis Dakhla. -La conférence de Berlin, rappelons-la, marqua l’organisation et la collaboration Européenne pour le partage et la division de l’Afrique. Aussi connue comme la conférence de l'Afrique de l'Ouest, elle commença le et finit le .-
Une résistance anticoloniale s'exercera jusqu'en 1934, mais étouffée par une offensive française. A partir de cette date, le protectorat espagnol devient effectif sur le territoire. Lors de son accession à l'indépendance en 1956, le Maroc réclama la souveraineté sur le territoire. Au cours des deux années suivantes, 1957-1958, un soulèvement était déclenché contre l'Espagne, réprimé lors de l'opération franco-espagnole, dit "Ecouvillon". Dès lors, l'évolution de la question du Sahara Marocain occidental sera au confluent de trois logiques : -Celle de la décolonisation, -Celle du droit international, et -Celle de la rivalité de l'Algérie de Boukharouba.
L'énigme-dz, haine en bandoulière...L’avènement du binôme Chengriha-Tebboune à la tête de l’Algérie en 2019 a ouvert, encore plus, les vannes de la haine «énigmatique Algérienne», mais bien structurelle, contre le Maroc. Une déferlante qui a submergé leurs médias officiels et les réseaux sociaux, pour atteindre des seuils inédits dans la malveillance. Cette haine est, en vrai, à la hauteur de la déception et de la douleur de la junte d'Alger.
Alors que le Royaume enregistre des percées historiques et irréversibles sur son Sahara atlantique, le régime Algérien se contente de commenter, défavorablement, les acquis et réalisations de notre diplomatie Royale. Une question : Saluée comme le messie par les médias de la junte, - Qu’est-ce qu’a bien fait leur jockey Lahmamra pour redresser la barre de la diplomatie Algérienne en perdition-?
Depuis qu’il est revenu en poste, deux pays Européens majeurs ont reconnu la prééminence du plan d’autonomie, proposé par le Royaume en 2007, pour régler le différend artificiel qui oppose le Royaume à la veuve Algérie. Il s'agit des pays au poids lourd, influents parmi les vingt-sept d'Europe. L’Allemagne a cité pour la première fois le plan Marocain d’autonomie et l’Espagne a fait son choix historique qui reconnaît ce plan comme l’unique base pour trouver une solution. Sans parler du nombre de consulats ouverts par plusieurs pays à Laâyoune et à Dakhla…
Au vrai, la diplomatie d'autruche Algérienne a enregistré ses pires échecs depuis le rappel par le duo -Chengriha-Tebboune- de Ramdane Lahmamra. Cela est la réalité, et quand on la saisit, on comprend la rage, l’hystérie et les excès qui sont devenus le pain-béni quotidien du pouvoir d'Alger. Plusieurs observateurs internationaux déplorent que la «détestation» du Maroc soit devenue l’exclusive «grille de lecture» du monde pour le régime des caporaux d'Alger.
Depuis la confiscation du pouvoir Algérien par ce duo bientôt octogénaires, il y a eu une radicalisation de la propagande anti-Marocaine. Les Marocains, indignés, ont réagi spontanément face à cette dérive. Parmi eux, des internautes, dont une majorité d’universitaires, hommes et femmes, qui ont lancé des chaînes YouTube, dédiées à l’étude des turpitudes de la junte d'Alger. Leurs vidéos connaissent un grand succès et recueillent des millions de vues. Une riposte remarquable sur les réseaux sociaux par une élite Marocaine, bien callée, rejetant un bellicisme absurde. En plus de cette riposte spontanée, le Maroc oppose de la retenue et de la sagesse, et interdit à la chaîne publique de suivre la folie furieuse du régime algérien.
Attention à la marche du podium..La propagande Algérienne s’appuie depuis longtemps sur une armée de Youtubeurs, de trolls et de moucherons électroniques («dhobab») encadrés par le généraux Toufik chef du DRS et Khaled Nezar, le bourreau de la décennie noire Algérienne aux années 90, acquittés, parait-il, de toutes les charges. La nouvelle appellation de cette structure archaïque (dhobab) importe peu! Mais l’appareil militaro-politique géré par le duo (Chengriha-Teboune) insiste à décréter la guerre totale contre le Maroc, faisant croire en parallèle à leur opinion publique locale une fausse supériorité, en acquis et en diplomatie sur le Maroc.
Tous les médias Algériens, y compris ceux qui se présentent comme indépendants, sont mobilisés dans cette guerre. Et il ne se passe pas un seul jour sans qu’ils n’insultent les Marocains et leurs symboles sacrés. En face, quelques internautes Marocains réagissaient, mais ils étaient peu nombreux. Pour ne pas insulter l’avenir, le Maroc officiel a toujours privilégié la retenue et a refusé de répondre aux provocations Algériennes.
La force et la crédibilité des youtubeurs Marocains est que chaque vidéo reflète la personnalité, la formation et le style de son auteur. Chacun exprime ses analyses et commentaires dans sa singularité! Aucun angle ne ressemble à un autre. Une diversité qui fait de l’audience et déstabilise le camp adverse. Ils peuvent être sévères et rigoureux, mais ils ne sont jamais dans l’invective ou l’insulte comme les trolls algériens.
Par contre, les youtubeurs embrigadés par les renseignements Algériens sont dans la récitation d’une langue de bois usée. Leurs vidéos sont vides et insignifiantes. Ils sont à court de sujets par rapport à notre actualité. Celle d’un pays concentré, paisiblement, sur sa dynamique de développement et ses chantiers. Alors ils compensent en créant des fictions… Pour toujours aboutir au racisme, à l’insulte et à la vulgarité. C’est leur zone de confort. Ils ne savent faire que ça!
Le Maroc qui a gagné sa réputation dans les médiations, depuis ses casques bleus au Congo 1960 est toujours prédestiné à jouer un grand rôle dans la résolution des conflits internationaux...il a toujours su garder une neutralité positive. Une position qui a gagné le respect des puissants du monde dont la Russie, l'Union Européenne, la Chine et les Etats-Unis."
On demeurera dans une position forte et confortable, tendant la main à l’Algérie en vue de mettre un terme à la rupture à ses turbulences. Tendre la main, est une «Main de fer dans un gant de velours». Cette politique prendra à témoin toute la communauté internationale, «c'est une approche qui a toujours été de mise du Maroc dans ses relations avec cette voisine de mal»
Sa Majesté le Roi feu Hassan II avait refusé de mettre en application le droit de traquer l’ennemi d’où il débarquait, pour poursuivre les éléments du Polisario jusqu’aux camps de Tindouf et qu’avait agi de la sorte afin d’éviter une guerre aux conséquences désastreuses avec les algériens. La même attitude était de mise chaque fois que les autorités algériennes tentaient de faire des provocations sur les frontières de l’Oriental.
Le Maroc avec son positionnement continental se renforce au fur et à mesure que se développent les événements. Autant que la vision stratégique du royaume fait couler les salives d'autrui. Mais le régime Algérien de mal n'a pas fait que bafouer les règles du bon voisinage en s'attaquant moult fois aux intérêts du Maroc et ceci depuis sa sortie de l'œuf, comme le Maroc, en parallèle, n'a pas réagi.
Mr. Jean Dormoy
Le Français qui retrouve par hasard, un décret royal Marocain de 1931. Jean Dormoy, 75 ans, a découvert un décret royal Marocain (dahir Charif) du 4 mars 1931 dans le grenier de la maison de ses parents, décédés. Son père..Jacques Roger Dormoy, directeur de la photographie en France.. Il a été au Maroc
Les algériens, refusant de voir en face et avouer cette réalité, se délectent sur la "fragilité" Marocaine "imaginaire" , s'il y en a fragilité vraiment!, d'ailleurs, c'est ce qu'ils se croient, en supériorité de "polichinelle, et le disent tout haut.
La photo jointe disait le contraire, c'était la diplomatie forteresse Marocaine d'autrefois. Mais la sagesse Royale est productive et le peuple Marocain est saturé par les propos belliqueux des caporaux-fr algériens prétentieux se faisant les plus forts et les Marocains vils. Quoi faire, face a un chien enragé, menaçant, lui tourner le dos par sagesse!
Un rappel piquant.
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-2)Deux ans après l'avoir sécurisé, le Maroc évoque l'ouverture du passage de -Guerguerat- sans effusion de sang ni enregistrement de victimes, obligeant les mercenaires -polisalgériens- à s'enfuir, pieds nus , satisfaisant ainsi, les camioneurs Marocains se dirigeant, en toute quiètude, vers l'Afrique de l'Ouest.
-3)Il est visiblement plus clair que les caporaux d'Alger et leurs pions d'AlMouradia sont contraints de reconnaitre publiquement que..« Seul Bourita ait les capacités politiques avec lesquelles il pourrait gouverner l'Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. Bonne lecture.
Cordialement,Chihab-25