Le Maroc arrive à envahir les cieux..En Algérie, panique, vacance du pouvoir, blocage total,guerre de succession, déficits et planche à billets?»
La diplomatie sportive
Très bon à lire..Le Wydad Casablancais, ou plutôt, je préfère les nommer les «Diables Rouge-Blanc», ont remporté, comme nous le savons tous, l'édition CAF2017, ce samedi 4/11 face à Al Ahly avec un score cumulé de 2-1.
Les fans du Wydad et les Marocains en général, sont disséminés partout à travers le pays, après la victoire en Ligue des champions du WAC, c'était l'occasion de jubiler. Après le coup de sifflet final à Casablanca, les Marocains ont envahi presque toutes les villes, y compris en Maroc profond, pour fêter comme il se doit la victoire des Rouge et blanc.
Au terme d'une finale indécise, le prestigieux trophée de la Ligue des Champions est revenu au Wydad. Sur des nuages, tous les Marocains, sans exclure les MRE, ont fêté le sacre Africain dans une ambiance indescriptible.
En s’adjugeant la Ligue des champions les joueurs du Wydad s’assurent de belles primes de la part de leur direction et de la CAF.
Ce n'est pas le victoire qui m'interpelle le plus..Non, étant une énième offensive Marocaine au continent africain, secteur sportif confondu. Ce couronnement s'ajoute confortablement à la diplomatie Royale, politique, économique, religieuse et au savoir-faire du Maroc, dédiée généreusement aux Africains.
C'est aussi le cumule de réussites Marocaines qui a fait tomber le rabbin de la diplomatie d'autruche de l'Algérie, Ramdane Lahmamra et humilié son co-équipier Smail Chergui, le pseudo président du Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine avec leur complice, la farouche Dlamini Zuma et son Afrique du sud.
La victoire Wydadie à ce niveau, conforte davantage la position du Maroc en Afrique, prouvant que la diplomatie Royale récolte bien ses fruits et que cet exploit n'est qu'un ingrédient de plus, venu à renforcer la rayonnement et la crédibilité du Maroc en Afrique.
Preuve à l'appui. SIDNA que Dieu le garde, était très satisfait du match qu'il suivait, comme tout autre supporter Marocain et fier de l'être apparemment. En preuve, il a félicité par la suite toute l'équipe, le Staff et les supporter Wydadis qui étaient à la hauteur de l’événement au stade Mohamed V de Casablanca.
Sachant que Sa Majesté le Roi fait du renforcement de la coopération Sud-Sud et de l'orientation du Royaume vers l'Afrique un choix Marocain stratégique. Un bon d'ailleurs, pour un continent prometteur, totalement libre, marchant sur les décombres de l'ex-Afrique de papa..!
Les Algérien eux, ne voient pas, cette victoire du bon augure, ils se murmureront avec amertume certes, ce que leur mauvais-parleur-tv -Ennahar- considère de" petit exploit sportif sans importance", sans pouvoir regarder la vérité en face et leur dire, avec courage déontologique, «que cet acquis vient de s'atteler aux nœuds de la chaîne de victoires politiques», que marque régulièrement la marche silencieuse de notre diplomatie, pour bien préserver l'intégrité territoriale du Royaume.
Nous leur imposerons, ainsi qu'aux autres ennemis du Maroc la solution garantissant nos droits au sujet du dossier artificiel du Sahara Marocain. Là aussi, l'imitation est leur impossible, car les victoires ne s'achètent pas aux enchères du pétrodollar, les Marocains, toutes tendances confondues, les arrachent par force du bras.
Enfin, et c'est l'important de tout ça.. Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu l'assiste a affirmé lundi soir, dans un discours de fermeté, à l'occasion du 42ème anniversaire de la glorieuse Marche verte, «Qu’aucun règlement du conflit du Sahara Marocain n’est possible - en dehors de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara - , s'adressant entre autres, envers et contre la partie Algérienne adverse, que l'attachement du Royaume à la Marocanité de son Sahara était soulevée depuis M'hamid Al Ghizlane en 1958 par feu S.M.Le Roi Mohamed V et que cette vérité «préexistait même à l'indépendance de l'Algérie». Cela étant,rejette toute solution autre que l’autonomie élargie de nos provinces du sud
Morocco EO Sat1, (Mohamed VI-A)
Important..Bonne nouvelle en orbite, pour les Marocains et amis du Maroc. Un énième acquis Marocain de la politique fructueuse Royale qui irrite davantage nos ennemis Algériens, il leur fera grain de 'sel' à la gorge?
Le Maroc se dote et "B'tay-Tay", et sans discrétion, de son premier satellite espion qui sera mis très bientôt en orbite.(probablement le 8 novembre prochain). Un bijou technologique Marocain qui prouvera la forte progressive du Maroc, face à une faible voisine méchante. C'est la vraie force du Maroc à disposer de cet outil à coté de l'Egypte, que Messahal a réduit hier de sa valeur..
Une supériorité qui rend folle l'Algérie. La bas, c'est la panique, on ne maîtrise que du rien (!), sauf incitation de chiens, à aboyer au passage de toute caravane de réussite Marocaine.
Que l’Algérie de "Aâmi Salah",(le nom que lui donne Said Bouteflika, au moment d'extinction), qui s'arme à tour de bras, se rend compte finalement de l'inefficacité stratégique des stocks d'armes qu'elle n'a eu de cesse d'accumuler du Khorda Russ.
Avec ce satellite, le Maroc pourra tout savoir sur les séquences de musculation de ce général bougre à Ouargla ou ailleurs en Algérie, de ses positions et de celles de ses mercenaires de Tindouf.
Le Maroc est désormais, malgré la haine algérienne, la seule puissance militaire régionale, à disposer de cet outil de reconnaissance ultrasophistiqué. On se réjouit ici au Maroc de dire que, c'est du séisme Royal, qui s'étend aussi sur l'Algérie, un séisme piloté depuis une écorce d'abeilles se trouvant quelque part au Maroc.
Au Maroc c'est au pied d'oeuvre..A une semaine de la mise en orbite par le Maroc de son satellite de renseignement de haute technologie, les préparatifs s'accélèrent, voire sont au pied d'oeuvre à la base de lancement en Guyane Française en Atlantique.
Selon ses caractéristiques, le satellite, d'environ une tonne, est fabriqué en France. Il sera lancé à bord d’une fusée de fabrication italienne. Cet équipement aura principalement pour mission de surveiller ce qui se passe sur terre à longueur de journée, avec une définition et précision de haute qualité.
Le satellite est capable d’observer une large bande de quelque 800 km et devrait «planer» à 695 kilomètres au-dessus de la surface de la terre. Le coût de cet engin-bijoux est estimé à 600 millions d’euros.Un financement des propres moyens Marocains, sans pétrole et sans gaz. Regardons la preuve en images.
Satellite d’observation de la Terre, le satellite MOHAMMED VI - A vient d'être lancé depuis le site de lancement Vega (SL V) à Kourou en Guyane française.Le responsable du centre a tenu à remercier le Maroc pour leur avoir confié cette mission.
D'autre part, accédez au 2ème volet de la note pour voir où en est l'imitation de l'Algérie dans ce domaine spatial !.
Imitation impossible..Tout le monde sait que les algériens sont des "bons élèves" dans l'imitation de tout ce qui est Marocain. Mais dans de pareil cas, dans un domaine utratechnologique très sophistiqué, ils n'arriveront jamais à concurrencer le savoir-faire Marocain.
Un journal électronique algérien (TDL) qui d'habitude, hausse le ton contre tout progrès Marocain et ne cesse de faire coller au Maroc «échec et mat», profitant de l'occasion, il aurait permis à un de ses journaleux de se moquer, de façon humoriste, du naïf Algérien, il publiait la gravure-caricature ci-dessus, avec le titre «Mieux vaut en rire», sur laquelle on peut lire clairement :
«"3 nouveaux satellites algériens seront lancés le 26 septembre par la fusée Ivoirienne Pjlv - de son coté l'observateur commente : "D'après leurs formes, je dirais que ce sont des satellites d'espionnage"». Pire encore; il les dessine en forme de bouteilles survolant à l'aide de panneaux-ardoises.
Cette fois, le savoir-faire abruti des algériens contre les exploits du Maroc est orienté vers "les cieux", après avoir échoué, par toutes tentatives malencontreuses de l'ex-trio diplomatique algérien (Lahmamra-Messahal-Chergui) de stopper,sur"terre", le triomphe de la diplomatie Royale - politico-économique et religieuse en Afrique - en particulier son retour à l'UA en janvier dernier.
Sachant que le Maroc n’a jamais caché sa volonté de se doter d’un tel outil depuis sa forte implication dans la lutte contre le terrorisme, la migration illégale, les trafics d’êtres humains et de drogues. Et c'est grâce à ce satellite, le Maroc pourra ainsi mieux surveiller ses frontières et compter avec précision les composants du troupeau de Aâmi Salah. De plus, le satellite pourra également jouer un rôle purement civil en fournissant des informations aptes à être utilisées dans l’élaboration des stratégies de développement du Maroc.
Pour ce qui est des critiques, à l'encontre du projet Marocain, on ne trouve que le régime algérien qui tente de mettre en place des installations de brouillage des signaux susceptibles d'être émis pas le satellite et contrecarrer le Maroc, faisant appel, probablement, à des experts Nord-Coréens, tant que les experts algériens ne savent confectionner et produire que le tabac à chiquer! 'le Chemma' pour salir leurs gueules, pas plus que ça!.
Brouiller le satellite c'est simple à dire. Les algériens pour en arriver là, doivent continuer sur les voix de corruption, user davantage du reste de leur pétrodollars pour s'en procurer d'une technologie de pointe, des plus sophistiquées. Mais hélas, ils n'arriveront jamais, tant que tous les moyens haineux qu'ils peuvent utiliser seront inefficaces. S'ils tiennent à ce forfait, leur malfaisant n'y peut être qu'en orbite, la plus basse, se trouvant à 800 kms de la terre, sans pouvoir atteindre l'extrême orbite des satellites géo-stationnaires, la plus haute hors de l'atmosphère, (à 36 milles kms au-dessus de l'équateur), où nage avec quiétude, le satellite Marocain.
La presse algérienne n'a trouvé quoi dire qu'éblouir la grandeur de l'événement quand elle a réagi à cet énième succès Marocain. Selon elle, on constate que les algériens qui préfèrent l'invective et la haine contre le Maroc, ne supportant pas le succès des autres. Pour la plupart de journaleux algériens, connus pour leurs habitudes virulentes anti-Marocaines, cet exploit spatial du Maroc n'est que de la "pure cendre" jetée aux yeux des Marocains pour en cacher ce qu'ils appelaient "les catastrophes, de tout genre, qui menacent le système Marocain".
Pour vous dire, les propos de la presse algérienne à l'égard du Maroc n'en surprennent personne. D'autant que ce sont de pures affabulations. alors que les algériens qui traînent le complexe du colonisé n'ont rien de leçons à nous apprendre sauf de l’égoïsme,l'arrogance et l'ingratitude.
Il s'agit de personnes ayant faussé l'histoire Maghrebine née à Tanger en 1958. Cette histoire qui a subi, à cause d'eux, une persécution barbare qui a commencé avec la naissance césarienne de l'Algérie en 1962 . Les gouvernants algériens ont sciemment fait l’impasse sur cette terrible et abominable page de haine contre la générosité Marocaine. Certains d'entres eux sont allés jusqu'à nous présenter une fausse fraternité, comme une belle histoire entre nos deux peuples Marocain et algérien, ayant toujours vécu en harmonie et dans la paix.
Pour revenir au pouvoir algérien, il faut peut-être rappeler que ce dernier a de tout temps trahi son peuple opprimé. Quand ses personnalités historiques (Mohamed Kheider, Krim Belkacem et Mohamed Boudiaf) se faisaient assassinés, la junte au pouvoir n'a pas trouvé mieux que de prendre la fuite en avant, créant , entre autres,des divergences avec le Maroc,(la guerre des sables et le problème du Sahara Marocain) comme services rendus !
Les algériens sont tous atteints du complexe de supériorité. Il font seule partie, qui a la haine de soi. Pour nous Marocains, c'est notre crédibilité qui nous guide au bon créneau, pour gérer et préserver la grandeur de notre Royaume, en terre et en espace. Notre rayonnement progresse davantage, face à une Algérie qui régresse et dégringolade de plus en plus. Ils n'ont donc absolument rien à dire sur ce grand Maroc.
Abdelkader Messahal le ministre algérien de la propagande qui connait tout sur le Maroc, signera et persistera en tant que membre, à part entière, du club algérien des truands et inventera que le Maroc est allé au ciel par blanchiment d'argent, et ne manquera pas certes, de redire aussi que la fusée lancée depuis la Guyane Française le 8 novembre transportait autre chose que le satellite Marocain.
D'habitude, devant l’amertume qui les interpelle à chaque exploit ou succès Marocains, les algériens refusent de regarder la vérité en face et reconnaître qu'en revenant sur les applications militaires de cet outil d’observation, on s’aperçoit, malgré eux, qu'il va renforcer le poids et la position stratégique du Maroc en Europe et en Afrique.
Pour nous c’est un acte positif car il est normal que le Maroc cherche à renforcer la sécurité de ses frontières et parce que ce satellite constitue un moyen de parer aux dangers qui menacent le reste, voir l'ensemble des pays du Sahel, qui comptent sur l'appui anti-terroriste du Maroc, et pas sur l'Algérie, pour leur stabilité sécuritaire.
La raison d'être stratégique de deux satellites Marocains et qui irrite davantage les Algérien, c'est que le Maroc est désormais capable d'observer les mouvement de leur armée, scruter les camps des réfugies de Tindouf, et déshabiller le général Chengrihan le chef de la 3° région militaire algérienne et son polisario, mais aussi évaluer le potentiel militaire et la puissance de feu de l'Algérie.
Selon une information parvenue de Colomb-Béchar, seuls les autochtones du Sahara Marocain oriental, spolié par l'Algérie, seraient discrètement très contents de voir leur pays d'origine, le Maroc évoluer de cette façon.
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Transition à la cubaine?..Quoi qu'il en soit, les musculations qu'opère Aâmi Salah, ici et la, ne nous font pas peur nous Marocains, car nos FAR connaissent parfaitement comment surpasser sa racaille en cas de folie. La guerre des sables, les Amgala et le Warkziz; desquelles aurait déserté, en témoignent.
Ses mouvements, ou plutôt ses échauffements contre nature, affichés depuis la maladie de son parrain, en particulier, ses chuchotements colorés à Chengriha à Tindouf, démontrent qu'il se prépare, pas pour le danger qu'il préconise lui arriver de quelque part, mais pour un seul but. C'est de serrer les rangs de sa racaille, pour éventuellement réussir la succession en sa faveur.
Surtout s'il prend en considération la provocation de Jamal Ould Abbas, SG du FLN, qui dans une rencontre avec ses militants à Alger, disait, parait-il, suite aux musculations du Gaid Salah dans les régions militaires algériennes!, que le futur président de l'Algérie sera inévitablement du FLN?.
Selon ce Ould Abbas, l'armée algérienne n'imposera pas de "candidat-poulain?", car cela n'entre pas dans ses prérogatives constitutionnelles. Par contre d'autres voix politiques, même si elles sont cassées, le contredisent et misent sur Aâmi Salah, en la qualité, éventuellement, de videur de cabarets politiques!.
D'aprés ses déclarations Ould Abbas ne répercute que les craintes de son clan des ambitions du chef de l'armée qui projette, par ses déplacements à consolider son poids d'homme, "à ne pas négliger", dans les coefficients ayant trait à la succession de Bouteflika.
En effet, sur la foi d’une source proche de l'armée algérienne, ce général-bougre a su comment redonner du tonus à sa personne et gagner la confiance et l'estime des militaires, et depuis il suscite les plus grosses craintes dans le camp de Said Bouteflika qui se trouve déjà sous ses fourches, ou proches!.
Pour minimiser sa chance d'aller vers la succession, Said appelle au nom de son frère président, les subordonnés du général Salah et l'armée en général à écarter toute transition à main armée et à se tenir à l’écart de la politique. Il reprenait la directive de coutume, insistant sur le fait de «laisser l'armée hors du jet de pierres politiques».
En réplique le général Gaid Ahmed Salah ne semble pas en mesures de lâcher son carnet de campagne devant les affabulations d'Ould Abbas, il serait contraint de passer à la vitesse supérieure et procéder à un redéploiement urgent au niveau de l'état major de l'armée et aux régions militaires, pour recaser et replacer ses proches pour parer à toute éventualité.
Je crois que la goutte qui a fait débordé le vase à ce niveau, c'est que dans une émission télévisée, Ould Abbas se disait convaincu, qu’il n’y a que Dieu et le FLN qui connaissent le nom du prochain président. (allusion probable à son parrain Said Bouteflika. ou accidentellement, au passage au plan B, à Chakib Khalil, le banquier de la famille présidentielle?.
En fait, l'homme fort de l’armée qui a l’oreille de la plupart des chefs de régions militaires algériennes qui restent les véritables patrons de l’Algérie, a fait savoir, un jour, au président Bouteflika son hostilité à toute succession familiale qui verrait son frère Saïd se hisser à la première place.
Faut-il rappeler, que Bouteflika s'est débarrassé de ses rivaux potentiels, il limogeait aussi le vice-ministre de défense,Abdelmalek Guenaizia et confie sa charge au général Aâmi Salah, sans que sa compétence ou ses mérites de carrière y soient pour quelque chose, en période de déménagement des services sécuritaires, mis aux ordres du général Tartak et qui payent au prix fort cette réorganisation à la hussarde et perdent, tant mieux pour nous Marocains, plusieurs de leurs leviers.
Je ne récidive nullement pas en sillonnant autour de la vacance du pouvoir en Algérie, le moment où les algériens jouent à la marrée, se perdant devant la case des communales. Car à Alger les couteaux sont tirés entre les principaux clans qui prétendent gérer la succession. A l’avant garde de cette transition, se trouvent le clan présidentiel, animé par Saïd Bouteflika, et l’Etat major militaire, avec à sa tète Gaïd Salah,
L’équation politique algérienne est à quatre inconnues. Une candidature à la présidence en Algérie repose en effet sur les choix effectués par: -l’armée algérienne, -les services de sécurité, -les hommes d’affaires et enfin -les partenaires internationaux. Seul manque à l’appel, le peuple algérien qui est le dernier à être consulté.
Ainsi, le torchon brûle au palais d'Al Moradia d'Alger. Un comité de soutien à la candidature de Said Bouteflika pour succéder à son frère aux présidentielles de 2019, aurait été créé en France par les thuriféraires algériens au service du pouvoir Bouteflika. Une création qui serait commanditée par le nouveau ambassadeur d'Alger à Paris pour marquer sa présence au jeu de succession.
Les zaouia algériens sont aussi manipulées, pour se politiser, appuyer la circonstance et enrouler ses adeptes. l’Organisation nationale Algérienne des zaouïas (Onza) est sortie de l'ombre pour expliquer aux algériens, les raisons à l’origine de la création d’un nouveau pôle religieux de soutien au président Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat. En cas de renonce par ce dernier, le courant passera automatiquement à la candidature de son frère Said Bouteflika.
En riposte à cette bavure, un Général Algérien à la retraite se confesse et laisser entendre que : Saïd Bouteflika est hors cadre et c’est grâce à Ahmed-Gaid Salah que l'Algérie est restée debout, il dirait d’emblée pour montrer l’altruisme de ses propos à l’endroit de son ex-patron.
Et d'ajouter, si pour certaine presse inféodée à Saïd Bouteflika, Gaid Salah est un général finissant sous les ordres de Saïd Bouteflika, la réalité est tout autre en dévoilant que Saïd Bouteflika n’a ni le pouvoir qu’on lui prête ni la capacité de diriger l’Algérie.
Un observateur avéré veut trancher et a essayé de décrypter les propos du Général à la retraite qui a semblé dire que si Saïd Bouteflika tente quelconque manœuvre avec l’appui de l’étranger ou pas, dans le but d’une succession, via des élections truquées, il en sera empêché.
Pour ce Général, l’option «Saïd», est une hérésie à écarter ! Il se rappelle et revient en sa mémoire, la fameuse phrase dont le Général Benhadid, retraité lui aussi, avait usé pour qualifier Saïd Bouteflika de «malade mental».
C’est aussi un hystérique, versatile et sanguin, capable du pire comme l’affirment ses proches collaborateurs. Pour être précis là-dessus, je peux dire moi aussi que ce larbin qui n'est que Saïd Bouteflika ne fait pas le poids, n’a aucune expérience politique, il travaille à tâtons, il agit souvent impulsivement et maladroitement, l’actualité récente confirme son amateurisme dans la sélection, la désignation et le limogeage des membres du gouvernement.
Des flops du rêgne-Bouteflika qui resteront dans les archives d’El Mouradia. Il est clair qu'il n’a ni légitimé, ni physique de l’emploi , ni la stature d’un président. Il ne pourrait colmater les brèches d’un pays mis à genoux par la faute du programme virtuel de son frère.
Ce que je crois, au plan international, ni la France, ni l’Union européenne ni les USA ni même la Russie et la Chine n’auront intérêt à traiter avec l’homme le plus honni du peuple algérien. Aucun pays voisin du Nord comme du Sud n’aura intérêt de voir à leurs portes une déferlante de réfugiés algériens, aucun algérien n’aura intérêt de voir de nouveau une Algérie à feu et à sang par la faute d’un fou furieux.Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
Pour vivre la nostalgie et ne jamais rompre le lien sentimental avec la patrie, nos MRE sont invités à regarder au pied de la page, l'authenticité musicale de leur pays, bonne audition...)