Maroc-Algérie : Faut-il jouer la carte de la Kabylie? Jouons responsables en se donnant le temps de réflexion..!
L'ile du dragon, prés de Dakhla..
Pour vexer, voire asfixier davantage nos ennemis Algériens, les héritiers de haine et d'ingratitude, je commence mes dictons, souhaitant leur provoquer l'indignation au grand degré d'amertume, en leur exposant une merveille Marocaine qui leur fera rage.
Il s'agit de «l'île du Dragon», se trouvant à quelques brasses de la côte marocaine, à 25 km de la ville de Dakhla. Une merveille qui attire les touristes. Une courte excursion, qui leur permet d'admirer la diversité de sa faune et de sa flore, mais aussi de profiter de son calme.
La dune blanche que nous voyons là-dessus, est un passage obligé des touristes en visite à Dakhla, à la recherche des mystères du Maroc, et qui veulent admirer la riche biodiversité de cette partie du Sahara Marocain. C'est un acquit naturel comme d'autres de la glorieuse marche verte qui n'envinimerait que la mentalité haineuse Algérienne enragée d'envie.
Le maudit président Algérien Boukharouba ouvrait dans son vivant, toutes les portes et fenêtres de haine et d'hostilité pour affaiblir le Maroc et avoir facilement, selon sa mentalité de berger des Aurès-dz une ouverture sur l'atlantique, coupant la poire à sa guise, en vue de respirer gratuitement de l'air pure Marocain.
Mais devant la solidité de l'être Marocain il a échoué dans toutes ses tentatives d'expansion, brûlant toutes ses cartes et mourrait à mi-chemin sans pour autant réaliser ses rêves, laissant ainsi à ses supporters un mauvais héritage de haine contre la grandeur d'un Royaume fort et stable qui s'appelle grandieusement par mérite le Royaume Cherifien du Maroc.
Je ne sais pas si le Maroc est le plus beau pays du monde, comme l’affirme avec aplomb notre dame, la ministre du Tourisme, mais il est certain qu’il recèle son lot d’endroits magnifiques, majestueux ou magiques Avec cette merveille et ses jumelles impériales dans tout le Royaume, on s’entend remettre les pendules à l’heure pour asfixier davantage nos ennemis jaloux Algériens qui sont dévoilés au monde.
Surtout que c’est tout le Maroc qui devrait être classé réserve archéologique et nous devrions n’y être que tolérés. Avec obligation aux touristes de suivre les indications respectant l’environnement et la propreté pour préserver cette merveilleuse région Marocaine.Regardez en vidéo cette splendide merveille.
Espionner dites-vous..! Mon lectorat m'excuserait, même si je ne suis pas spécialiste dans ce genre d'affaire d'espionage qu'on vient de surnommer le "Pegasus". Je ne suis pas habilité ni de mon ressort de substituer à Mr.Nacer Bourita pour défendre le Maroc dans cette affaire, mais je dirais quand même que le Maroc n'a espionné personne, ni même le président Français, son premier ministre ou un des membres de son gouvernement.
Les relations avec ce qu'on appelle en humour "Faffa" ne seront pas refroidies depuis cette affaire,étant que la relation entre les deux pays est particulière, construite sur l'histoire, sur des liens humains et culturels extrêmement forts et sur des intérêts communs. Je crois fort qu'avec nos amis Français c'est une relation d'exception mais aussi une relation qui se renouvelle à l'aune des évolutions dans chacun des deux pays et des nouveaux défis.
Il existe en France des réseaux anti-ma financés par le pétrodinar Algérien.Même dans des endroits censés êtres lieux de culte en France, on trouve des éléments hostiles au Maroc.L'exemple le plus dégueulace s'articule autour du prêtre Algerien Dalil Boubker,un Harki Franco-algérien.
C'est un agent des services secrets Algériens qui jouait l'homme providentiel pratiquant par parasitisme le rôle "d'Imam et prêcheur" à la mosquée de Paris (5°arr) et ce grâce au support de ses acolytes Algériens engagés à cette fin sous la supervision directe de l'ambassade d'Alger à Paris.
Sachant que cette écurie diplomatique Algérienne faisait de ses objectifs les plus récurrents.."l'opposition à tout acte Marocain". L'ambassadeur Algérien à Paris coupait les ponts avec le rôle de diplomate, il jouait lui-même l'intelligence de "tabac à chiquer" (chemma) pour y falsifier les donnes, dont le choix de "l'imam"de la mosquée de Paris. Il se mettait à attaquer la candidature Marocaine présentée à cette fin pour gérer les destinées de cette mosquée à empreintes artisanales Marocaines.
Sachant que la présence spirituelle du Maroc était toujours éminente en France. Rappelez-vous qu'en preuve, la participation du Maroc aux festivités Françaises du 14 juillet 1999 par la présence physique de Sa Majesté le Roi feu Hassan II, juste à quelques jours de sa mort, avec les bons tableaux de defilets distractifs tracés somptueusement par la garde Royale aux champs Élysées. .
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Jouer la sécission serait la meilleure monaie à rendre à l'Algérie..!
Une question qui dérange Alger.. Le régime mafieux Algérien attise le feu, dont il sera la seule victime. L'Algérien (photo) s'exprime avec amertume, allant chercher de l'eau dans son pays de gaz et de pétrole.Au moment où nous Marocains dépourvus, en quelque sorte, de gaz et de pétrole, nous nous beignons gratuitement, faisant même abreuver par abondance, nos animeaux des eaux potables et ce grace à la politique de construction de baragaes tracée, à long terme, par la vision génie de Sa Majesté le Roi feu Hassan II que Dieu ait son âme.
Le régime militaire algérien endosse la pleine responsabilité de la crise qui affecte les relations avec le Maroc, a affirmé un politologue Marocain en mettant en garde Alger contre les risques d’escalade. Spécialiste en géostratégie en Afrique et dans le Moyen-Orient, ce politologue a évoqué "l'obstination du régime vert-kaki à s'attaquer en permanence au Maroc et à son intégrité territoriale".
Il a illustré cet acharnement par la sortie provocatrice et insultante de Ramtane Lamamra, l'ancien-nouveau ministre aux propagandes étrangères d'Algérie, à l'occasion de la récente assemblée du Mouvement des Non-Alignés à New York qui "Au lieu d'élever le débat sur des questions d'actualité internationale comme la crise du Covid, le dit Lamamra n'a pas trouvé mieux que de s'attaquer une nouvelle fois au Royaume", affamé de haine et de provocation, alors qu'il vient juste de prendre ses fonctions.
Il avait un double discours, un double langage et une double position lorsque qu'il défendait d'un côté les principes et les droits des uns et qu'il rejetait, d'un autre côté, ces mêmes droits pour les autres; rejettant ainsi référence au droit légitime à l'autodétermination pour lequel se battaient depuis des décennies les peuples de la grande Kabylie et les Aouades de Ghardaia.
Pour nous Marocains, la Monarchie reste l’expression unique du contre-modèle de toutes autres idéologies ou formes dites "progressistes" que les Algériens ont eu sous des latitudes régionales, voire tiers-mondistes.Nous rappelons au passage, aux ingrats Algériens que nous au Maroc, «nation et Monarchie confondus» nous sommes consubstancielles jusqu'à l'infini.
C'est se faire une piètre idée de l'appareil sécuritaire Marocain que de croire qu'il se serait livré à une telle démagogie aveugle dans laquelle se sont élevés nos ennemis Algériens depuis les giffles du général Driss Ben Omar qu'ils ont subi durant la guerre des sables en 1963.
Le professionnalisme crédible en politique étrangère de notre grand Maroc plaide pour lui et les grandes chancelleries du monde le reconnaissent et saluent tout le temps son efficacité et sa maîtrise. Les mêmes ne manquaient pas, régulièrement d'ailleurs, de s'en féliciter: Ce même appareil sécuritaire nous a permis de prévenir et de neutraliser tant d'opérations terroristes sur le sol Marocain, depuis l'attaque terroriste de l'hôtel Asni à Marrakech en juin 1994 dont les assaignants n'étaient que des Algériens, portant l'étiquette de fils des harki en France.
Dans la présente campagne contre le Maroc, les appareils sécuritaires de ces mêmes pays sont en retrait, confondus par ce qu'entreprend depuis une semaine certains pans politiques, institutionnels et autres, mobilisés à tous égards contre le Maroc. Tous ces milieux, relayés par des officines, n'ont qu’un ordre de jour dans leur feuille de route contre le Maroc.
Ce qui gêne, ce qui dérange et demeure ingérable et même intolérable pour tous ces adversaires du Royaume, c'est que le Maroc tient bon, et qu'il avance. Il bénéficie d'un socle de légitimité millénaire enraciné au plus profond de sa formation sociale historique, qui lui a façonné sa nature et son visage aujourd'hui prouvant que la Nation et monarchie Marocaines sont consubstantielles.
Un substrat structurant dans le legs des siècles et la mémoire collective. Tout Marocain est pétri par ce référentiel où la monarchie Marocaine est présente, garante, protectrice, veillant de manière ombrageuse sur ce que le général De Gaulle appelait "l'essentiel national Marocain". Le pluralisme social est une réalité; la vie politique n'a pas toujours été un "long fleuve tranquille" -un signe, après tout, d'une vitalité revigorante et d'une dialectique en marche.
Le Maroc a toujours surmonté toutes les épreuves, tant celles de la libération que celle de l'unité territoriale. Il capitalise ainsi une vieille expérience. Du savoir-faire. Et une capacité à s'unir et à se rassembler sous la conduite de ses Rois. Une histoire donc recrue d'épreuves.
Sa Majesté le Roi Mohamed VI mesure cette charge et l'assume pleinement. Depuis des années, s'est ainsi affirmée «et souvent avec éclat» sa ferme volonté de faire face, dans un monde confronté à tant de bouleversements.
Ces derniers mois, avec les deux tensions diplomatiques intervenues avec Madrid et Berlin, la diplomatie Marocaine a été à la hauteur de sa mission : le respect des principes d'un partenariat privilégié et, partant, celui des "lignes rouges" touchant l'unité nationale et l'intégrité territoriale du Royaume.
Lors des années précédentes, en différentes circonstances, d'autres illustrations en ont été données. Et il faut de plus noter ce fait : plus le Maroc s'affirme comme puissance régionale, plus les manœuvres et les menées de certains ennemis se multiplient.
Les motivations -ou plutôt les desseins- de ceux qui sont ainsi à la manœuvre ne relèvent pas d’un seul paramètre, tant s’en faut. C’est en effet tout un entrelacs d’intérêts et de visées plurielles mais convergeant toutes dans ce seul registre: l’hostilité envers le Maroc.
Une hostilité encore prégnante dans certains milieux de la mouvance Algérienne et ceux d'ailleurs des "droits de l’hommistes" ou d’autres sensibilités voisines. Une hostilité qui est aussi la première strate de cet état d’esprit prévalant depuis plus d'un demi-siècle chez nos voisins ennemis d'Algérie. S'y superpose aujourd'hui une seconde strate.. celle du redéploiement de la politique étrangère en Afrique et ailleurs.
Des domaines jusqu’alors réservés, relevant d'anciennes puissances coloniales, se trouvent ainsi bousculés, fragilisés et réduits. Globalement, le Maroc met en œuvre une autre approche, tournant le dos au tutorat et marquée du sceau du service de la paix d'Afrique, voire mondiale, de la stabilité et du co-développement.
Notre Souverain que Dieu l'assiste s’est attaché à une conduite de la diplomatie silencieuse qui se distingue par des marqueurs : la paix et la stabilité, avec son corollaire, celui du rejet des influences étrangères; la concertation et le dialogue comme doctrine, alors que prévalent les coups de force et les politiques unilatérales; l'ouverture à l'international et une forte exposition et insertion dans la mondialisation, avec une centaine d'accords de libre-échange conclus avec pas moins de 55 pays.
Et en désuasion, le Maroc a la capacité de giffler davantage, même ceux qui se croient "grands" aux yeux des leurs. Il a récemment démontré comment la paûme de la main Marocaine a su giffler les figures d'Allemagne et d'Espagne et des autres pays frivoles subiront certes avec le temps le même sort.
Cette philosophie des relations internationales a été voulue par le Souverain. Et elle a une identité; une visibilité, et une lisibilité "made in Morroco". Elle ébranle bien des carcans du passé, pesant encore sur les rapports entre les Etats d'aujourd'hui. Elle est productrice et exportatrice de paix de solidarité là où il faut à travers le monde. Nos contingents -casses-bleux- à travers le monde en témoignent.
En coopération et partenariat, notre pays bénéficie de la totale adhésion des composantes de sa communauté Marocaine ici et ailleurs. C'est un autre Maroc qui est en marche. Un Maroc respectueux des autres, mais sourcilleux et intransigeant sur le respect qui doit lui être exprimé. Un Maroc mobilisé autour de son Roi et qui n'hésitera pas à faire face -et front- le cas échéant.
Que les bonnes âmes derrière cette affaire de logiciel espion se le disent : leur dénonciation ne va pas manquer. Elles seront mise à nu devant l'opinion internationale. Elles vont devoir de nouveau, on le sait, trouver autre chose. Notre veille et notre vigilance n'en seront que davantage renforcées.
Malheureusement, nous regrettons que les relations entre Alger et Rabat ont toujours été, par initiative malencontreuses Algériennes condamnées à traverser des crises graves et particulières . Selon ma propre conviction de simple sujet de Sa Majesté, la reconnaissance américaine en décembre 2020 de la souveraineté marocaine sur le Sahara a été «douloureuse et déstabilisatrice pour le pouvoir militaire Algérien».
L'Algérie fait face à une explosion exponentielle du nombre de cas de contamination au covid-19. Le pays est au bord de la catastrophe du fait de la saturation des structures hospitalières et de l’insuffisance des moyens de prise en charge des malades. Ainsi, le pouvoir d'Alger, avec son gaz et son pétrole, ne peut cacher son nudité au public Algérien, ni lui nier l'animosité qu'il porte envers les succés Marocains en politique étrangère.
Collecte de fonds.. En Algérie, le pays de gaz et de pétrole, on demande l'aûmone pour subvenir aux besoinx d'oxygène face au coronavirus. Contrairement aux déclarations futiles faites auparavant par le président-marionnette Algérien (Tebboune), qui affirmait dans son esprit d'orgueil que le système de «santé» dans son pays est le meilleur d'Afrique et même meilleur que plusieurs pays européens, avant que le virus Corona exposait ce discours politique au vide.
Il est clair pour tout le monde que "la santé de l'Algérien" est en creu du main du diable, équivalent à l'orgueil du pouvoir militaire Algérien.Les gravure ci-dessouss en disent plus que mille mots sur la vérité accablante où est arrivée l'Algérie.
D'autre part, dans plusieurs régions algériennes, les Algériens étaient contraints de dresser des tentes dans la rue pour collecter des "dons" financiers, afin d'acheter le matériel et les fournitures médicales nécessaires. Des vidéos y afférentes diffusées par un journal électronique "Algérien" sont plus expressives que n'importe quelle expression.
Une Algérienne dément en vidéo en bas, l'allégation du président Algérien au sujet de son meilleurs système de santé Algérien.Une autre vidéo dévoile le meurtre d'un journaliste qui dévoilait, dans son vivant, la tentative de débarquement de l'hunimé général Gaid Salah par Said Bouteflika durant son confort présidentiel, ce qui déclencha la guerre au sommet du pouvoir Bouteflika, (à fusionner pour le plaisir).
Mr. Nacer Bourita ne chôme guère, même en cette période pandemique de Coronavirus. Le régime algérien avec son Chengriha et son Laâmamra se trouve au pied du mur, il trouve toujours face à lui, une diplomatie Marocaine silencieuse plus forte, plus présente et plus offensive.
Des exemples de la déroute d'Alger. On a noté un changement notoire de l'attitude du régime algérien depuis son échec dans l'épisode de Guerguerat2020. La crise d'Alger s'est amplifiée quand Said "Al Bawall" dit le général "Chengriha" et ses autres généraux algériens ont créé la tension entre l'Espagne et le Maroc en déplaçant dans ce pays, et d'une manière illégale, Ben Batouch, le pseudo-chef du Polisario, sous une fausse identité, muni d'un passeport algérien.
Je concluerais ce vollet en rappelant que le régime militaire d'Alger "est hostile et agressif depuis plus de cinq décennies à l'encontre du Maroc, depuis les giffles de Hassi Beida et de Tinjoub en 1963. En clair et dans un langage simple, cela veut dire que l'Algérie qui attise l'incendie risque d'être la seule victime des flammes.
La Kabylie..Revenant à la Kabylie qui est à mon sens victime du racisme du régime militaire Algérien. Je me rappelle d'une interview exclusive donnée à un site Marocain par Mr.Ferhat M'henni, le président du Mouvement d’autodétermination kabyle (MAK), d'où il revient sur le long différend qui oppose les Kabyles au pouvoir.
En exclusivité la parole était donnée par le quotidien Marocain à Ferhat Mhenni. Il revient sur le long calvaire des Kabyles et explique comment le racisme anti-amazigh a été érigé en doctrine du régime militaire algérien.
Cet opposant Kabyle, pour ne pas dire "cet opposant Algérien" vit actuellement en exil, depuis de longues années, en France, d’où il préside aux destinées du MAK. Récemment, il était au Maroc, en tant qu'invité de la société civile.
Dans son entretien il expliquait comment le régime militaire Algérien je cite : "a érigé la haine de la Kabylie et des Kabyles en ligne de mire de sa politique. Une ligne directrice qui date de plusieurs décennies pour ce vaillant peuple, qui s’est battu, et a payé un lourd tribut, pour l’indépendance de l’Algérie. Avec beaucoup d’amertume, Ferhat Mhenni raconte comment, en août 2019, les pontes du régime vert-kaki se sont réunis à Mostaganem, sous la protection de la gendarmerie, pour lancer l’opération «zéro Kabyle». C'est-à-dire.. éliminer, fort qui peut tout ce qui est Kabyle"fin de citation.Ecoutez-le parler dans la vidéo au bas de la note.
Cette «purge», si j'ose dire s'en fut une, consistait à ne plus voir un seul Kabyle à la tête d’une institution financière, économique, politique, et surtout pas militaire. C’est pour cela que les êtres Kabyles ne sont plus reconnus en Algérie, dont le mouvement (MAK) a été catalogué comme «terroriste» par le régime d’Alger, alors même qu'il s'agit là d'un mouvement sérieux qui n’a jamais tiré une seule balle pour défendre ses revendications.
Par ailleurs, Ferhat M'henni accuse le régime algérien d’avoir cherché à exterminer le peuple kabyle, et ce, par tous les moyens: comme tirer sur la foule (120 morts en 2001, par exemple), ou encore tenter de gommer l’identité et la culture de tout un peuple Kabyle.
Le président du MAK avait pour conclure son interview remercié le Maroc pour l’intervention de Mr.Omar Hilala, l'ambassadeur du Royaume à l’ONU, lors de la rencontre virtuelle du Mouvement des Non-Alignés. Au cours duquel le le Royaume du Maroc a dit ses quatre vérités au régime d’Alger concernant l’autodétermination de la Kabylie tout en remerciant le Maroc, pour avoir permis cette déclaration qui Le débat sur la suspension des marches du Hirak en Algérie à cause de la crise sanitaire due au covid-19 se développe dans les salons privés en Algérie, alors que l’Algérie est embourbée dans une flambée épidémique.
La nouvelle Algérie
Concluons..En tout état de cause, de ce qu'on connait généralement sur la Kabylie, pousse à constater que le peuple kabyle est un peuple millénaire, avec une histoire riche ,une culture unique, c'est totalement différent des autres Algériens francisés par les liens de leurs concitoyens harkis de France.
Aprés l'offensive du maitre Hilal, je peux dire évidemment que les Kabyles méritent notre soutien sans faille. Il faut les armer, les former comme ont fait les Algériens aux terroristes du polisario. Le Maroc doit soutenir le droit inaliénable à l'autodétermination et à l'indépendance des kabyles, rattachés sans merci à l'Algérie Française par la France et aussi les mozabites, (Touareg) martyrisés par la junte militaire Algérienne qu'ayant assassiné, brûlé vifs et égorgés presque 260 milles innocents Algériens durant la décennie noire des années 90 du siécle écoulé.
Cette junte, rappelons-le qui reprend son souffle avec le retour sur scène, sans punité, des généraux Nezzar et Toufik à la décennie noire-deuxième édition pour appliquer certainement le même scénario pour les manifestants du Hirak et aussi pour les chaouis,le mouvement autonomiste au nord-est Algérien.
L'Algérie commencait à aboyer et à heurler à haute voix aprés la déclaration de notre ambassadeur à l’ONU à propos de la Kabylie. Cette déclaration continue de susciter des réactions en Algérie, jusqu'attribuer des alibis de soutien au pouvoir à des militants kabyles actuellement en détention, lesquels dément catégoriquement en bloc.
Le Maroc prend de l'altitude en politique étrangère. Souvenons-nous deux jours aprés que Mr. Omar Hilal avait distribué le 14 juillet aux représentants des États membres du mouvement des non-alignés une note dans laquelle il est fait en premère «état du soutien Marocain» au droit du peuple Kabyle à l’autodétermination et à l'indépendance, l'Algérie prétendait une «dérive particulièrement dangereuse» et procédait au rappel de son con se trouvant à Rabat pas pour "consultation", mais pour déguster tranquillement avec Laâmamra le tabac à chiquer (Chemma) et réviser en même temps les nouveautés d'outils de déformation de vérités et de réalités appliquées jusque-là par la diplomatie d'autruche Algérienne.Bonne lecture.
Cordiabelement,Chihab25
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