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Maroc-Algérie..Les opinions Algériennes chauffées à blanc..le risque de contrarier le Maroc serait une blague-dz.!

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                                     le grand doigt bleu et le vol à l'arrachée de semoule. 

La frivolité oligarque-dz.. Il va devoir tout d'abord s'y mettre le pouvoir Algérien dans les tenailles de la diplomatie silencieuse Royale. Mr.Bourita fait de son mieux dans ce sens pour atteindre, sans ambiguïté, les objectifs tracés pour neutraliser davantage les caporaux-fr d'Alger et leur pompier de secours,Lahmamra appelé à leur rescousse. 

Le Royaume du Maroc est le paradis perdu pour les oligarques Algériens qui en avaient l'habitude de profiter de sa stabilité particulière et que leurs décideurs qui caracolent les humiliations de la rue Algérienne pour leur rigidité, n'en savaient et ne sauront pas imiter.

Cette fois-ci d'ailleurs, est la seule manière qui leur échappait, n'arrivant pas en faire copier et coller, comme y ont l'habitude de faire à la coutume et que Lahmamra, leur pompier d'Alerte ne savait, avec ses expériences périmées comment faire pour fouiller de loin la poche diplomatie Bourita pour s'en servir. ou du moins pour essayer vainement de la secouer. 

En fait, je ne parlerai pas des conneries de Lahmamra et de ses chiens à l'étranger qui sont déjà arrivés au bout de souffle. Je les laisserai tous au professeur universitaire Mr. Abderrahim Manar Slimi pour les éplucher à sa manière. 

Un fait à garder en tête pour résister à cette incessante envie de fausse supériorité que les Algériens, (les gouvernants) de se croire autre chose pour reprendre le célèbre mot d'un athlète Américain au  podium qu'une "énième bestiole de plus". Les Algériens dans leur majorité se contentent de se fourvoyer davantage dans les illusions  et dans la lâcheté de leur pouvoir de mafia contre la grandeur du Maroc.

Les Algériens sont les seuls oligarques du monde qui croient unilatéralement aux illusions de supériorité dans la région. Pour cela, nous Marocains, voisins les plus proches, nous constatons de près que la tension sans précédent entre l’Algérie et le Maroc pourrait dégénérer à la faveur d’un incident mal maîtrisé. Alors même qu’aucune des parties, surtout le Maroc, ne désire un conflit ouvert avec ses voisins les plus virulents de la planète. 

Nombre de conflits ont, par le passé, éclaté à la faveur d’incidents de faible envergure, mais en l’absence de mécanisme de dialogue et d’instance de médiation entre les deux parties qui pourtant ne souhaitaient, surtout le Maroc, l’ouverture davantage d'hostilités.

La rupture par l’Algérie des relations diplomatiques avec le Maroc, en août dernier, n’a pas seulement privé les deux d’un canal de communication précieux, mais aussi l'éloignement de toute entente possible, étant que l'interlocuteur Algérien se prend pour l'héritier de l'Ottoman Mustapha Atatürk qui aurait bafouillé les ils humaines éparpillées, ici et là, qui formaient désormais ce qu'on appelle aujourd'hui l'Algérie. Ce grand leader turc qui aurait stopper les ambitions d'expansion de César et de ses alliés.

Certes, tout le monde reconnaît, d'un autre coté, que le général-pisseur Algérien Chengriha avait « le coup d’œil et la promptitude de décision» après la mort de son commanditaire le damné inhumé général Gaid Ahmed Salah. C'est-à-dire l’aptitude à saisir l’instant vacant de commandeur pour se distinguer des autres caporaux-fr de son genre.

En revanche, sur la durée, l'Algérie semble être continuellement à la poursuite du temps qui lui échappait,pour contrarier son ennemi de toujours de l'ouest, tout en cherchant à lui perturber la progression vers le meilleurs, à moins qu'elle ne l’ignore superbement pas, par des décisions impulsives irrationnelles contre tout fait Marocain. 

En tout cas, tout au long des années qui s’écoulaient du début de la guerre civile interne qu'on baptisait (la décennie noire) à la mort de son parrain commanditaire l'inhume général Gaid Ahmed Salah, il passait des mois, à se jouir, à courir aux extrémités de son monde dingue Algérien et il ne trouvait le temps de s’arrêter à la frontière ouest de l'Algérie que pendant quelques temps de musculation à la surprise de ses similaires caporaux qui auraient amèrement bien respiré forcement les poussières de poudre et l'acharnement du guerrier Marocain à plusieurs occasions.

Il a en effet été suivie de l’interdiction de l’espace aérien de l’Algérie aux vols Marocains, alors que la frontière entre les deux pays est fermée depuis l’évènement terroriste de l’hôtel d'Asni à Marrakech en 1994. Elle a surtout entraîné une escalade des campagnes de dénigrement réciproque, amplifiée par les réseaux militaires du côté Algérien.

Dans un climat aussi délétère, chaque différend localisé risquerait fort de dégénérer en crise grave, même si le Maroc ne désire une confrontation qui serait à bien des égards désastreuses pour le côté Algérien.  

 La communauté internationale s’est avérée, depuis 1976, incapable de régler la question des divergences Algéro-Marocaines, dont la réalité historique affiche sans équivoque la «Marocanité» de son Sahara, face à la provocation du Polisario, soutenue par l’Algérie.

Le poste d’envoyé spécial de l’ONU était même resté vacant sur ce dossier durant deux longues années, marquées, en novembre 2020, par la rupture du cessez-le-feu qui prévalait depuis 1991 entre le Maroc et le Polisalgérien. Rabat avait alors obtenu de l’administration Trump, en décembre 2020, la reconnaissance de la «Marocanité» du Sahara, en contrepartie de la normalisation  "publique" des relations ouvertes avec nos concitoyens juifs Marocains en Israël.

Les Émirats arabes unis, qui venaient de signer un traité de «paix chaude» avec Israël, ont encouragé la posture désormais offensive du Maroc. Alors que l’Algérie dispose jusqu’à maintenant de son budget militaire, évalué en 2020, selon les experts, à une dizaine de milliards de dollars, le Maroc pourrait le surpasser dès 2022 avec 13 milliards de dollars, évidemment sans pétrole ni gaz. 

Le déplacement, le mois dernier à Rabat, du ministre israélien de la Défense s’est accompagné de la signature d’un accord sans précédent de coopération militaire. L’Algérie se considère directement visée par un tel rapprochement stratégique, du fait de son soutien aussi bien au Polisario qu’à la cause palestinienne.

Par contre la récente «visite d’État» à Alger du président de l’Autorité palestinienne a été commentée dans cet esprit par la presse locale  Algérienne : «Alger contre-attaque» en déroulant le tapis rouge à Mahmoud Abbas, tandis qu’Israël parade à Rabat», le Maroc étant accusé d’ «ouvrir une fenêtre à l’entité Israélienne, dont la fausse ambition, selon les Algériens, était de transposer le conflit du Moyen-Orient en Afrique du Nord. 

Les dirigeants algériens mettaient aussi en cause la complaisance des États-Unis et des pays européens envers Rabat. Cela ne peut que les pousser un peu plus dans les bras de la Russie, leur premier, et de très loin, partenaire militaire, alors que Poutine n’avait déjà pas ménagé son soutien aux généraux algériens face à la contestation populaire du Hirak en Algérien. 

Une telle polarisation géopolitique s’aggrave du fossé qui semble se creuser inexorablement entre les opinions publiques des deux pays. Un jour, des voix s’élevaient au Maroc pour que la représentante de leur pays au concours de Miss Univers se désiste du fait que sa grand-mère était algérienne.

Au-delà de ces anecdotes, la revendication de la «Marocanité» du Sahara Marocain oriental est partagée par l’écrasante majorité des Marocains, même parmi les opposants Marocains, tandis qu’une grande partie des Algériens, y compris au sein de la contestation, s’inquiète sincèrement du rapprochement entre le Maroc et Israël, voire du soutien "verbal" sur table de l'ambassadeur Marocain à l'ONU Mr.Omar Hilal à «l’autodétermination» de la Kabylie en Algérie. 

Les procès d’intention que s’échangeaient ainsi Algériens et Marocains atteignaient parfois une grande virulence sur les réseaux sociaux, amplificateurs naturels de tels débordements.Un incident limité, mais où chaque partie accuserait l’autre d’agression caractérisée, pourrait dégénérer dans un contexte aussi dégradé.

Le 1er novembre, la présidence algérienne a déjà accusé les forces Armées Royales au Sahara Marocain d'«assassinat» de trois Algériens et le «bombardement» de leurs camions assurant la liaison entre la Mauritanie et le sud-ouest algérien (!).

Le Maroc avait rétorqué que ces camions avaient été touchés dans une zone de transit du Polisario, tout en précisant «si l’Algérie veut la guerre, le Maroc n’en veut pas». La retenue avait fini par prévaloir, mais sans qu’émerge à la faveur de cette crise un canal de communication voué à en éviter la répétition.

C’est bien cette absence de dialogue entre Alger et Rabat qui est la plus lourde de menaces. A défaut d’échange direct, tout type de médiation serait le bienvenu pour éviter une escalade que personne ne souhaiterait entre les deux pays et les deux peuples qui ont tant en commun.Espérons que l'avenir verra se mettre au plus tôt en place une telle initiative de réconciliation, telle que l'Arabie Saoudite tente vainement de mener à bien ces jours-ci.

Je reviens toujours à la saleté Algérienne qui s'impose à nous Marocains pour nous entacher  de toutes les merdes comme elle est.Pas pour épurer la mémoire stérile de l’Algérien ou de clarifier son esprit, mais pour revenir en -arrière histoire- du nord Africain ou ce qu'on appelle aujourd'hui le Maghreb et revivre avec mon lectorat le début de la sale guerre d'Algérie et les ripostes françaises y afférentes en l'objet.

Arrière-histoire..En fait, les premiers coups de feu de ce qui allait devenir la guerre d’Algérie furent tirés le 8 mars 1945. Ce jour-là, des émeutes éclatèrent à la ville de Sétif, dirigées contre l’autorité française. Les désordres durèrent quatre jours et s’étendirent à tout le Constantinois, faisant plus de 100 morts parmi les Européens.S’ensuivit une répression brutale :

Et d'ajouter, je cite : l’autre écueil à dépasser, selon le même diplomate, est en lien avec les réticences du Congrès américain au financement de la construction d’un consulat général à Dakhla.«Nous travaillons de manière très étroite avec les Marocains, avec le Congrès et avec les Israéliens pour trouver des solutions à tout problème, tant que le Maroc fait partie des Accords d’Abraham». fin de citation.

L'accord d'Abraham est une déclaration conjointe entre Israël, Maroc, États-Unis, signée le 22/12/2020 à Rabat, prévoyant, en ce qui concerne le Maroc, l'établissement de relations diplomatiques entre le Maroc et Israël et la réouverture des bureaux de liaison à Rabat et à Tel Aviv.Bonne lecture.

                                          Cordialement,Chihab25

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