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  • VIII.A l'ombre du trône Marocain (Les coups de pouce du Roi)

     Suite et fin.

     Sa Majesté le Roi Mohamed VI en  photo de famille avec la communauté Marocaine au Sénégal                                                    

    N.B..Je répartis ma présente note en trois volets, nécéssité oblige : a/ Les frivolités-Chabat, évoquant le reste des frivolités de Hamid Chabat, le SG du PI contre le gouvernement Benkirane, même si l'espace ne permis pas de citer davantage ce que j'ai encore à dire dans ce sens. b/Les coups de pouces du Roi, loin de toute cette polémique, qui relatent modestement - pas toutes- les interventions bénéfiques régulières de Sidna, ayant tendance à faire tourner la roue du pays dans cette phase particulière de transition politique nationale. c/ De ce que j'ai qualifié de "Bande-Rice"USA, sur les derniers développements qui ont surgi subitement dans le dossier de la cause nationale

    1.-Les frivolités-Chabat.Il ne suffit pas de jeter l'éponge..La dernière réunion du Secrétariat général du PJD a élargi la marge de manœuvre du chef du gouvernement, ouvrant pour la première fois la voie à la discussion des différents scénarios possibles de l’après-gouvernement suite à des élections anticipées, après des mois d’entraves de l’action de l’Exécutif et d’une crispation croissante des tensions suite aux critiques adressées pour tout, et par tous.

    L’ombre de la crise économique qui frappe le pays a plané sur la réunion bimensuelle ordinaire du SG du PJD, et Abdelilah Benkirane a saisi cette occasion pour exposer les difficultés que doit affronter et qu’affronte le gouvernement pour faire passer, et pour réaliser, ses projets de réformes.

    Les sources d’un quotidien Marocain ont indiqué que les dirigeants du parti ont décidé de brandir la carte des élections législatives anticipées, du moins si l’ambiance actuelle devait se perpétuer, et sachant que le PJD n’est absolument pas disposé à abandonner sa promesse faite aux électeurs de « la réforme dans le cadre de la stabilité ».

    Ces sources, selon le journal en question, ont aussi appris que les membres du SG sont unanimes à affirmer la nécessité de dépasser la crise, afin que le parti ne soit pas décrédibilisé en ne respectant pas ses engagements politiques et électoraux. Les sources du journal précisent que la dernière décision en date du gouvernement – à savoir réduire le montant des investissements publics pour 2013 – montre bien l’étendue de la crise, et que la révision de la baisse du budget investissement aurait pu être aisément évitée si des réformes avaient pu être menées, comme celle de la Caisse de compensation par exemple.

    En conséquence, les dirigeants du PJD ont réaffirmé l’urgence d’adopter les réformes projetées qui ne peuvent plus tolérer aucun délai supplémentaire, quel qu’en soit le prix, car maintenir les choses en leur état actuel menacerait la stabilité du pays et porterait atteinte aux intérêts des populations. Ce quotidien dans son édition papier, qui a préféré de ne pas citer ses sources, a précisé que les obstacles dressés devant les projets gouvernementaux et les blocages qui les frappent sont une véritable absurdité, qui prend plusieurs formes et qui est aussi le fait même de certaines composantes de la majorité.

    Le gouvernement PJD, traverse une passe difficile liée à sa gestion des comptes publics, vilipendée par l'opposition et critiquée au sein même de sa coalition. En 2012, sur fond de ralentissement économique et d'explosion du coût de sa caisse de compensation qui subventionne des produits de grande consommation, le Maroc a connu un inquiétant creusement de son déficit public.

    Pour remettre ces comptes sur de bons rails, le gouvernement vient de décider d'une coupe budgétaire de 15 milliards de dirhams sur les investissements publics. L'opposition socialiste a aussitôt fustigé une décision dangereuse et une tromperie à l'égard du peuple. 

    Cela menace la stabilité sociale et ralentit la croissance économique, a affirmé à l'AFP le Premier secrétaire du parti socialiste USFP, Driss Lachgar. Depuis l'officialisation de la mesure, la presse marocaine s'en donne elle aussi à coeur joie. La plus grande coupe de l'histoire, a titré le quotidien francophone L'Economiste, avant de noter que le montant représentait plus du quart du budget total. 

    Face au creusement du déficit, le gouvernement, coalition hétéroclite emmenée par le PJD, se devait de répondre à une urgence, signale toutefois à l'AFP un économiste Marocain. Il fallait absolument lancer un message clair au Fonds monétaire international, et l'investissement a toujours été la variable d'ajustement budgétaire, relève-t-il.  Sous la surveillance du FMI, qui lui a accordé l'été dernier une ligne de précaution de presque sept mds de dollars, mais aussi des agences de notation, Rabat a déjà admis qu'il ne pourrait réduire son déficit d'environ 5% du PIB fin 2013, comme il s'y était initialement engagé.

    Aller se faire exorciser à Bouya Omar..A Casablanca le secrétaire général du parti Istiqlal, deuxième force politique de la coalition gouvernementale, semble après une brève accalmie, reprendre son bâton de prédicateur anti-Benkirane. «Abdelilah Benkirane, devrait arrêter de se plaindre des diables, des crocodiles et autres lutins politiques qui saboteraient son travail, s’il trouve encore qu’il en souffre, il n’a qu’aller passer une nuit à Bouya Omar, pour se faire exorciser».

    C’est en ses termes inattendus, que s’est exprimé Hamid Chabat. Selon un quotidien arabophone Marocain, qui a rapporté ses déclarations, Hamid Chabat a invité Abdelilah Benkirane a cessé «ses tergiversations» et à vaquer à la définition d’une vision claire pour la marche de son gouvernement et du pays dont il est le chef de l’exécutif..A rappeler que Hamid Chabat a tenu, depuis son élection à la tête de l’Istiqlal, un discours critique des plus véhéments, à l’égard de son allié le PJD.   

    Si on dissout le parlement avec ses deux boites..Agissons dans les normes de la démocratie. Ne nous faites pas peur! "absolument pas"..Nous gardons une expression dite, redite et répétée par le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, plus d'une fois, au parlement, et plus particulièrement à l'opposition. Benkirane sait aujourd'hui que cette opposition est faiblarde, certaines de ses composantes se cherchant un nouveau certificat de naissance après avoir perdu leur raison d'être initiale, d'autres tentant de lécher leurs plaies après leurs diverses et malencontreuses participations aux précédents gouvernements, et une troisième catégorie se demande ce qu'elle fait dans l'opposition… des partis nés  avec une cuillère d'or et de pouvoir dans la bouche.Pourquoi donc Si Benkirane ne dissout-il pas le parlement en se basant sur les prérogatives que lui donne la nouvelle constitution et faire disparaitre son gouvernement qui a créé que la polémique et nous recommençerons le jeu.                                                         

    Le vrai changement acquis..Taillées sur mesure pour contrer les vents du "printemps arabe", les élections législatives du 25 novembre 2011, qui ont porté au pouvoir, une coalition conduite par le PJD a forcé Sa Majesté le Roi à modifier et à modeler l'équilibre du pouvoir. En intégrant plusieurs anciens membres de l'exécutif dans son équipe de conseillers –qui n'a de comptes à rendre qu'à lui– et en imposant la présence de fidèles dans les couloirs des ministères clés, le Souverain a sérieusement rogné sur les prérogatives du gouvernement. MM.Charki Draïss,  ministre délégué à l'intérieur, Youssef ElAmrani aux Affaires étrangères sont sans conteste les membres du gouvernement Benkirane à surveiller de plus près dans le sens positif pour éviter tout dérapage dans ces deux départements  clés  de l'État. 

    Au quartier de l'ancienne résidence de Lyautey à Rabat, loin de son annexe qui vient d'émerger à Hay Riad, nous sommes, malheureusement devant une coquille vide..Nous venons de constater qu'aprés la victoire du PJD, le ministère de l'intérieur, le tout-puissant ministère d'autrefois est bien devenu un rempart suspect d'affrontement, pour ne pas dire de "réglement de comptes", entre une génération multicolore, étrangère de la maison, rassemblant des loups, en sorte de "socièté privée de sécurité et de néttoyage" et entre les vielles montures qui servaient auparavant à dégager les charges et les ordures de  l'ex-fils de Chaouia.

    Pire encore, il est devenu l'ombre de lui-même aprés l'attribution de ce portefeuille stratégique, détenu jusque-là par le juriste Mr. MyTaieb Cherkaoui, à  Mohand Laenser, un simple ingénieur d'application des PTT, découvert, comme d'autres du même calibre dans la fouille des années soixante dix par Mahjoubi Ahardane.

     Je ne dis pas n'importe quoi en ce sens, car je connaissais bien ces trois bon hommes et leur quatrième décédé, un certain Lahcen Oulcaid de Talsint, le moment où ils étaient attachés au cabinet d'Aharadane, alors ministre des PTT. Ils me rendaient visite de courtoisie, en compagnie d'Ahardane qui faisait, à l'époque, campagne électorale pour son parti, le MP, en ma qualité de premier responsable de ce qu'on appelle aujourd'hui "l'Administration territoriale".

    Excluant de tout ça, les quelques hommes derièrre le rideau qui font marcher la machine aux cotés du  ministre délégué et qui agissent silencieusement à part, selon les diktats et orientations (bénéfiques) de celui qui a la charge des affaires générales du pays et l'aide de camp d'El Mechouar Essaid. Il serait injuste d'oublier, d'autre part, le rendement positif de la dame gouverneur du terrain (!) qui, on la voit souvent sur chantier,vêtue de son combinaison frappé du logos "INDH", ou planquée prés du tableau-fiche de projets, lors d'inauguration ou pose de première pière, en coordination constante avec l'autre vieille dame, conseillère du palais et la femme du commissaire.

    Je disais une coquille vide, car son nouveau locataire est apparu paniqué devant les mousquetaires barbus-PJD, incapable de trancher dans des dossiers sensibles en instance ou donner suite à des requêtes ou doléances des tiers, surtout face au maire de la ville de Kénitra, le tigre sébré du transport, en ce qui concerne le droit aux agréments, de même de pronostiquer les conjonctures éléctorales cencées êtres régulières, ni pouvoir arrêter aussi, le temps des échéances locales et professionnelles pour régulariser la chambre Biadiallah et donner un ballon d'oxigène à la gestion et à la crédibilité des collectivités élues, locales, provinciales et régionales.

    Positivité remarquée...Ce que je crois, le gouvernement Benkirane a fait du progrés dans le changement projeté . Un seul pas de bon élève, dans le sens d'activer  la constitution par les lois organiques..Il a réussi à faire appliquer, à chaque week end, le chapitre constitutionnel concernant le choix et la nomination de hauts fonctionnaires de l'Etat, dans la seule prérogative de faire recaser,  de façon urgente, les pions de la majorité, sans pour autant exclure les compétences de l'opposition et des asujettis de la socièté civile, pour faire  valoir à l'opinion publique la bonne gouvernance en l'objet.

    Et à l'autre coté,La génération du Roi  est mise à l'épreuve et contrainte à suivre les cours..C'est la première conséquence de la victoire du PJD : après douze ans de règne, Sa Majesté le Roi Mohamed VI s'est décidé à donner un sérieux coup de jeunesse à son équipe de conseillers et à en écarter certains de ses membres, nommés par son père feu Hassan II que Dieu ait son âme. Les  prescriptions de la nouvelle ère et de la modernisation oblig

    2.-Les coups de pouce du Roi.Le Roi agit normalement.. Loin de toute cette polémique et veillant sur toutes les donnes pour que la roue du pays ne s'arrête point au seuil de la polémique politique qui règne au niveau de tous les acteurs, les Marocains ont remarqué récemment un nouveau phénomène au sein des médias, presse papier et électronique confondue, qui suivent de plus près les activités royales..Les journaux marocains ont, de tous temps, suivi les activités du roi, à l’exception peut-être d'une presse, dite d’opposition ou de mouchards. Mais aujourd’hui, nous sommes face à une autre orientation, différente, et qui est que la presse s’intéresse bien plus au Roi et à son action qu’avant. Pourquoi donc ? C’est simple : la raison consiste en cela que Sa Majesté le Roi lui-même a changé en allant directement sur le terrain, sortant de son palais et montrant un comportement tout à fait ordinaire avec les gens, tout empreint de modestie (souvenez-vous:le Roi à la canne médicale) . Et c’est bien pour cela que tout le monde s’est pris à s’intéresser au Roi et à son image populaire. 

    Des images montrent le Roi dans des attitudes diverses, sans protocole, posant avec des Marocains installés au Sénégal, goûtant ici du lait et des dattes, et là à un jus de fruits tropicaux, ou encore prenant la pose pour une photo souvenir avec deux dames ivoiriennes portant le caftan traditionnel marocain. 

    Sur une des images, on voit le Souverain que Dieu le garde en discussion avec un responsable ivoirien qui n’est autre que l’ambassadeur qui avait essayé d’embrasser sa main lors de son arrivée à Abidjan, avant que le Roi ne la retire prestement, ce qui avait nourri un début de polémique en Côte d’Ivoire ; ce geste est en effet considéré,  par certains comme un symbole "Makhzenien!", souvent critiqué par la presse marocaine et  celle de l’étranger, surtout la pré-payée par les services secrets algériens et par les ennemis de  la grandeur chérifienne Marocaine. Des gestes  qui laissent une bonne impression de Sa Majesté, car ’il apparaît plus en homme qu’en roi, sans protocole, naturel ?

    Pourquoi parle-t-on ainsi ou tenir le coté de Sidna, c'est parce qu'il n'est pas venu de la rue, il est bien formé dans les tempêtes et vagues d'haute-mer  pour maîtriser les moments forts de hautes et basses marrées, et préparé  soigneusement aussi pour confronter avec forte détermination les risques du métier et mener à bien les  charges d'un jeune Monarque censé accompagner, avec le moindre dégats, les contraintes du 21ème siècle qui apparaît  trop mouvementé, dès sa deuxième décennie.

    En contrepartie, nous voyons nos autres,  qui nous viennent pratiquement de la rue et de divers "guêtos politiques", affamés d'offrandes et  de pouvoir, se lancer dans le vide, voire dans le collimateur de la divergence politique gratuite.

    Pas non plus comme celui qui est notre cher voisin et cher adoptif de Beni Znasen d'Oujda, qui prend  l'ingratitude comme devise (!), et qui se plaint des siens se disant "Tab Jnanou" et qu'il en aurait marre de ses sales-parrains de Ben Aâknoune et Daly Brahim à l'autre coté de notre  frontière-Est. Ce vieux célibataire, pour ne pas dire autre chose (!), cherche à briguer encore un quatrième temps mort à la tête des ses vieux mulets pour perdurer le blocage avec pays.

    Et il est vrai et que personne ne peut nier, que depuis l’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, le royaume a changé de visage : des autoroutes, des Méga-malls, des tramways, des stations balnéaires, des ports, le gigantesque Tanger-Med, des aéroports, des maréna de plaisance…,Promotion des énergies renouvelables-le grand projet solaire Ouarzazat/Ben Methar- sont sortis de terre, les investissements étrangers et domestiques, ici et là.., les usines de montage de voitures et d'avions, et bientôt le TVG (Train à Grande Vitesse) Tanger-Casablanca. Le Maroc entier est devenu un grand chantier, là où va, on trouve, visiblement, dans chaque ville ou village les matériaux entassés pêlle-mêlle, les travaux de construction ou de réhabilitation partout. En tenant compte, opérationnellement  des inaugurations continues et régulières des projets initiés par le Souverain dans le cadre de l'INDH, du plan Maroc-vert dans l'agriculture,  le projet à long terme Alieuthis, projetant l'exploitation des richesses maritimes et la vision 20/20 concernant le plan national du tourisme, (20 millions de touristes à l'horizon de 2020).

    Nous Marocains, nous sommes fiers, trés fiers même, de dire et de répéter devant tout le monde que cette ère Mohamadia, L'Ere de Sidna, est de tous les défis. En son temps, le Maroc est toujours en marche, les locomotives de développement et d'infrastructures de bases ne s'arrêtent pas et n'auront pas de terminus sûrement, selon la cadence qu'on voit aujourd'hui. Ce Maroc de Mohamed VI ,continu malgré les contraintes dont souffrent nos partenaires économiques étrangers, à enregistrer des performances dans tous les domaines.

    1-Institutionnellement, il a pu renouveler  la confiance citoyenne à ses Assemblées nationales à l’issue d’élections transparentes et crédibles du 25/11/2011 avec une bonne Constitution bien taillée à la Marocaine, celle du 1er juillet 2011, qui est loin d'être un "mauvais Roman", la qualité qui vient de lui donner le mouchard du PAM. 2-Politiquement, il a réussi à éliminer définitivement l’islamisme radical de la scène politique, en lui opposant une vision consensuelle partagée par la majorité des Marocains, le cas du PJD en témoigne. 3-Économiquement, il a gagné la bataille de solvabilité au point d’être sollicitée financièrement par le FMI et le bailleurs de fond étrangers, ce qui a fait de lui une destination previligiée des investisseurs. 4-Socialement, il a poursuivi son programme de réhabilitation et de réaménagement touchant : -la vie quotidienne des plus défavorisés par les actions de l'INDH, l’habitat, l’agriculture, la santé, l’éducation, la culture et -l’environnement. 5-Diplomatiquement, il s’est distingué en tant que partenaire stable jouissant d'une sécurité qui ne se trouve pas ailleurs, ou dans les pays similaires, et qui ne refuse pas la mondialisation, mais qui s’autorise souverainement à opter pour des options qui ne menacent ni son intégrité territoriale ni sa stabilité politique. Une situation acquise sans "Sonatrach" et sans pétrodollards.Dieu merci.

    Cela étant prouve que Sidna tient bien les commandes, ce qui permettra à n'importe qui d'apprécier qu'on a rattrapé en treize ans une bonne partie du retard, hérité de l’ancienne ère en termes d’infrastructures. Soit. Et c’est sans doute grâce à cette volonté Royale de marquer l’histoire comme étant le Roi bâtisseur. On aurait donc souhaité retrouver cette même impulsion royale pour deux domaines qui touchent directement le Marocain dans son quotidien, qui sont l’Education et la Santé. Car il s’agit de besoins primaires qui auraient toute leur place au rez-de-chaussée de cette pyramide d'infrastuctures sociales que mène Sidna par une volonté royale affirmée d"améliorer les conditions de vie des populations locales, les plus démunies en particulier, à travers tout le territoire national. Bonne lecture 

                                                                                    Cordialement,Chihab25             .