Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (4)
Flashs de dernière minute : (06/02/2017)
Le tournant d'un règne, dites-vous!
Ce terme galvaudé chez nous, trop souvent accolé aux actions royales, est cette fois totalement justifié. Il a d’ailleurs été repris par d’autres rédactions, moins suspectes de complaisance, comme l’AFP, EFE et Anadolu Agency. Par son nouveau ton de discours, le Souverain a donc fait un retour remarqué, sous les applaudissements des chefs d’État et de gouvernement, touchés par les mots d’un souverain qui parlait franc à l'Afrique.
Pour ceux, journalistes et observateurs, assis sur les strapontins de la plénière, personne n'a douté que ce discours marquait une rupture d'un règne et le début d’une autre épopée Africaine. Celle d'un Maroc qui revient fort au sein de sa famille africaine, mais aussi la transformation d’un souverain. Car c’est bien le destin d'un Royaume Chérifien, mûr en politique, riche par son savoir-faire, qui prend un tournant remarquable à Addis-Abeba.
Si l’ombre de feu Hassan II, dit-on, a longtemps plané sur le règne de l'héritier de son trône. Il a été dit aussi que Sa Majesté le Roi Mohamed VI n’avait pas la même stature internationale que son père et qu’il n’avait, ni son aisance, ni son éloquence. On découvre par pratiques que ces comparaisons ont bien pesé sur notre monarque. Il n’est jamais facile d’être le fils de son père et l’héritage d’un roi ne s’évacue pas par la formule Hassanienne «moi c’est moi, lui c’est lui». Mais les fortes ambitions sont parfois le moteur d’impétueux désirs de réussite.Il révèle que sa diplomatie africaine, il l’a dessinée dès l'aube de son intronisation . Il vient enfin, pas de "tuer le père", comme le dessinait la journaliste, mais, à mon sens d'apprenti, de suivre le génie éloquent de son père avec une nécessité de vivre son temps à lui et incarner le changement.
La politique de la chaise vide voulue par Hassan II a été désastreuse pour le Maroc. Elle a laissé pendant 32 ans le champ libre aux Polisalgérienx, qui ont su efficacement distiller leurs syllogismes dans les couloirs de l’UA et sur les tribunes des intervenants en Afrique et ailleurs.
Le Souverain avec son génie bien émouvant a su comment mettre un terme à cette absence et les dirigeants algériens et ceux du Polisario devront s’habituer à être contredits. Le style M6, qui peut paraître risqué à certains — parce qu’il implique de siéger aux côtés d'une république fantoche, façonnée par notre ennemi éternel de l'est —, est plus audacieux au final que celui de feu Hassan II parce qu’il prône fortement l’action sans prendre de baguette du milieu.
Les adversaires du Maroc et leurs soutiens seront désormais affrontés à la loyale et à la crédibilité et dans un cadre formellement institutionnel. Les mots du roi étaient humbles, empathiques et généreux. Il mettait en exergue ce que disait son père à un ambassadeur Centrafricain qui venait lui faire ses adieux au terme de sa mission. «Saluez nos frères Centrafricains, et dites leur que le Maroc leur appartient».
Sa Majesté le Roi Mohamed VI que Dieu le glorifie, marchait sur le même rythme et confortait avec son discours ce généreux testament du feu Hassan II, s'adressant à Addis Abeba aux présidents et chefs de gouvernement Africains, leur disant indirectement «Saluez nos frères Africains et dites leur que le Royaume du Maroc leur appartient».
Cette part de son caractère, les Marocains ne la découvraient pas pratiquement à l'intérieur. Mais à l’international, quand le Roi fend l’armure, il suscite la curiosité et l’intérêt de tous. Cette nouvelle posture est une chance pour le Maroc et pour le continent.
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Le Maroc retrouve sa famille Africaine, Mais comment chasser l'intrus?
Une question que Mr.Azzeddine El Othmani, président du conseil national PJD (parlement), ex-ministre des affaires étrangères et de la coopération du Maroc donne la réponse. Il a expliqué lors d'une réunion organisée par la formation régionale de la jeunesse du PJD à Rabat, les dimensions du retour Maroc à l'Union africaine. Il a évoqué entre autre, que l'obstacle qui rend l'expulsion ou la suspension du Polisario de l'UA est maintenant impossible tant que la charte fondamentale de l'Union ne permet d'expulser ou geler l'adhésion d'un État membre que dans le cas d'un coup d'Etat militaire.C'est pourquoi le diplomatie Marocaine doit agir de l'intérieur de l'UA dans cette direction pour modifier la charte ajoutait-il.
Pour le simple observateur que je suis, je crois que cet aliéna ou article est inapplicable, il n'a jamais été pratiquement respecté, comment veut-on l'imposer qu'aux nouveaux venus. D'ailleurs, toute la charte était exposée à des virulentes violations depuis Edem Kodjo à Khaddafi. Dernières en date, les acrobaties et obstination commis à la veille du dernier sommet africain par Dlamini Zuma, l'ex-présidente de la Commission Africaine de l'UA, contre le retour du Maroc à l'UA, en satisfaisant l'Algérie au détriment de la crédibilité de l'Union.
Bien avant, si crédibilité y est, pourquoi accepte-on à l'UA l'Egypte du Maréchal Essissi et la Mauritanie d'Old Abdelaziz qui ont comploté chez eux pour accéder au pouvoir et qui ont envahi par la suite, l'hémicycle de l'UA à Addis Abeba à bord des chars, sans aucune complication ni obstacle.
Le président Rwandais
N'étant ni chroniqueur ni analyste et si j'ai droit au débat, je dois rappeler que tout le monde convaincu est au courant, que la tâche de «ratification de la charte et la réforme des structures de l'Union» est bien confiée, depuis le sommet de Kigali en juillet dernier, aux mains souples de Mr. Paul Kagamé, le président Rwandais qui présentera ultérieurement avec la collaboration du président de la Commission les recommandations et rapport y afférents.
D'ici-là, j'aurais pas le droit pour m'en douter que le Maroc saura bien comment y participer positivement en injectant un nouveau sang sain aux nerfs de l'UA confortant ses anti-corps pour se purifier des éléments nocifs.
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Flashs de dernière minute : (05/02/2017)
Le Maroc a adhéré à l’UA «en concertation avec la France et les États-Unis»
Il en reste de savoir la réaction d'Alger qui n'a lésiné sur aucun moyen pour bloquer le retour marocain à l'UA. Le très bavard Ramdane Lahmamra, qui s'est juré, sur ses dieux, de bloquer le retour du Maroc au sein de sa famille institutionnelle africaine, a avalé sa langue dès l'annonce de ce retour quasi-plébiscité par les Etats africains.
Il faut néanmoins préciser qu'au silence gêné des autorités algériennes s'oppose le tintamarre enragé des médias. Ceux-là se sont lâchés dans tous les sens, avec une peine pitoyable à expliquer le succès du Maroc. L'éditorialiste d'un journal électronique algérien a même titré : "Ca frime à Rabat". Pour confirmation, on lui dira: c'est pas seulement à Rabat..ça a frimé dans tout le Royaume, de Tanger à La Gouira.
Un étrange silence qu'Alger a expliqué, via ses relais médiatiques, par cette volonté supposée, "volonté hypocrite à l'Algérienne " «de ne pas envenimer davantage les relations entre les deux pays frères!». Dans ce contexte, le sieur Mokri aurait été chargé par le souffleur du palais d'ElMoradia de faire passer des messages, de faux messages,pas à nous Marocains, mais à la consommation locale, en réaction indirecte des gouvernants à ce retour triomphale du Maroc à l'UA.
Chargé ou pas, avoir prie une initiative personnelle ou pas, pour nous, c'est les mêmes.Tant que tous les politiques de l'Algérie émettent sur la même longueur d'ondes que leur pouvoir.Même "Cheikh-hom Ali Belhaj" avait considéré, dans une de ses séances-bla-bla de mosquée, que le Sahara est "occidental" et qu'il y a vraiment, selon lui, un peuple là-bas qui souffre.
27 janvier 2017
Maroc - UA : Ce que pensent les analystes..
Selon les experts, le retour attendu du Maroc au sein de l’Union Africaine (UA) devra être l’événement phare de ce 28ème sommet de l’organisation continentale qui se tiendra à Addis-Abeba les 30 et 31 janvier. Pour bon nombre d’analystes, ce retour est le résultat logique et naturel de l’évolution d’un Maroc qui a su renforcer son rôle sur l’échiquier continental à la faveur d’une diplomatie agissante et concrète.
L’institut des études sécuritaires (ISS, basé à Pretoria en Afrique du sud) estime que le retour du Maroc au sein de l’UA jouit d’un large soutien. Il s’agit, bel et bien, d’un retour tout à fait normal d’un pays qui ne cesse de renforcer son leadership politique et économique en Afrique.
Les Marocains de leur coté, s’attendent à ce que le sommet d’Addis-Abeba scelle ce retour, qui viendra donner une nouvelle dimension à l’organisation africaine et coincer l'Algérie dans sa dimension patinant dans ses stands de corruption.
Pour sa part, une autre analyste sud-africaine, relève que la solide visibilité économique du Maroc, son rayonnement et son poids politique dans la géo-stratégie multilatérale seront d’un grand apport pour l’UA, laquelle appelée à gérer des défis d’une grande complexité dans un environnement international en perpétuel changement.
Pour nous simples observateurs, notre pays a réussi à s’imposer aux yeux des pays africains comme un partenaire fiable à la faveur d’une diplomatie agissante conduite avec sagesse et persévérance par Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que Dieu l'assiste.
Avec une présence économique très visible sur le continent, où il est devenu le deuxième investisseur, le Maroc a conclu des centaines d’accords et de conventions de partenariat avec de nombreux pays africains, couvrant plusieurs secteurs à forte valeur ajoutée avec un impact immédiat sur le vécu des populations, contrairement à l'Algérie qui perd de jour en jour sa cadence en Afrique et dans le monde.
Lors de ses multiples périples dans le continent, le Souverain, rappelons-le, a toujours placé l’amélioration de la vie quotidienne de la femme et de l’homme africains au cœur de ses préoccupations, partant de la ferme conviction que l’élément humain doit occuper une place centrale dans tout effort de développement. Fort de sa base économique et politique interne, le Maroc est désormais perçu comme un partenaire fiable, capable de donner à la voix de l’Afrique la force qu’elle mérite dans le concert des Nations Unies.
Le rôle important que joue le Maroc en particulier sur les plans sécuritaire, économique, politique, culturel et cultuel explique la décision du Maroc de regagner son siège parmi sa famille africaine, indique le président du Forum de la Diaspora africaine (ADF, basé à Johannesburg), soulignant qu’il s’agit du retour d’un acteur fort qui donnera plus de vitalité et de visibilité à l’UA.
..même si fragmentée,
L’éventuelle réintégration du Maroc devrait dominer les débats du sommet de l’Union africaine (UA) qui s’ouvre lundi à Addis Abeba, le conflit au Soudan du Sud et l’élection du président de la Commission de l’UA figurant parmi les autres priorités du rendez-vous continental.
Le retour du Maroc demeure toutefois un sujet clivant au sein de l’UA – l’Algérie y est notamment hostile – et les observateurs redoutent que cette dissension ne vient se coupler aux divergences de vue sur les traditionnelles rivalités des blocs régionaux (Est/Ouest-Centre/Sud) pour l’élection du remplaçant qui succédera à la Sud-africaine sortante.
D’autre part, la réintégration du Maroc pourrait être une aubaine pour l’UA, qui cherche à devenir financièrement indépendante avec l'aide du Maroc qui a des liens de fraternité et d'amitié solides avec les grands bailleurs des fonds du Golf Arabique. L’UA est actuellement financée à 70% par des donateurs étrangers, selon l'institue Sud-Africaine l’ISS.
Toutefois, « l’affaire de la réintégration du Maroc à l'UA n’est pas facile à plier » rappelant que l’Algérie et l’Afrique du Sud, deux membres démons, pour ne pas dire influents de l’UA, sont opposés ou réticents au retour du Maroc. Alger et Pretoria soutiennent de longue date la lutte pour l'amputation de la totalité du Sahara de ses origines Marocaines pour y respirer de l'air atlantique.
L’hostilité de certains pays africains vis-à-vis du Maroc pourrait également susciter de nouveaux débats animés.Mais Sidna que Dieu le glorifie, y sera-là à Addis Abeba pour y intervenir en temps opportun et éclipser les clins d’œil de Ramdane Lahmamra, le rabbin algérien de la diplomatie et de la délégation algérienne qui l'accompagne qui, à mon sens, n'auront pas devant la raison, la possibilité de souffler ou de faire passer des enveloppes soustable. Etant donné toutes les interventions au sujet du Maroc seront cette fois-ci sous les projecteurs de transparence, dont les interrupteurs seront évidemment hors de la portée de la bande Algéro-Sudafricaine.
Cette visite Royale en Ethiopie s’inscrit dans le cadre des actions entreprises par le Souverain pour le retour du royaume à l’Union africaine. Ce retour est soutenu par une écrasante majorité de l’UA, tant et si bien que les pays du continent sont en droit aujourd’hui de scruter des perspectives d’avenir mutuellement avantageuses, dans un cadre solidaire fortement inscrit dans une logique de co-développement et de co-émergence.
Par la même occasion, l’UA se voit aujourd’hui offrir avec le retour du Maroc « le potentiel d’insuffler une nouvelle dynamique à ces capacités de projection, le royaume étant une puissance régionale, qui se prévaut d’un leadership sur le continent qui n’est plus à démontrer », souligne à ce propos le journal américain à grand tirage, Huffington Post, dans une analyse signée Ahmed Charaie, éditeur et membre du conseil d’administration de plusieurs think tanks US.
Le retour du Maroc, est d’autant plus nécessaire et attendu que l’UA a un rôleIMPORTANT à jouer dans le continent, en tant que porte-voix pour la résolution des conflits et une force de bonne gouvernance et de soutien aux processus démocratiques.
Et l’Union Africaine bénéficie aussi de « la capacité de déploiement multiforme du Maroc, un point d’ancrage continental, en matière de coopération Sud-Sud et d’investissements dans les pays du sous-continent, entre autres, dans les secteurs pharmaceutique, de transport aérien, des finances, de l’immobilier, de l’assurance, et des télécommunications ».
Le secteur privé Marocain de la CGEM de Mme Meryam Ben Salah Chakroun est aujourd’hui implanté dans un ensemble géographique couvrant notamment la Côte d’Ivoire, le Mali, le Sénégal, ainsi que le Gabon et le Cameroun, sans oublier la partie sud et de l’est du continent avec, entre autres, l’Ethiopie, l’Angola, Madagascar et le Burundi.
Maroc-UA : dernière cartouche "à blanc"de Dlamini-Zuma.
Le 28è sommet africain, d'Addis-Abeba, devra, cette fois-ci, marquer la fin du mandat de Dlamini Zuma à la commission africaine, un poste que l’ancienne ministre sud-africaine quitte avec un bilan « largement négatif », estime le quotidien sud-africain Daily Maverick. Durant son mandat de quatre ans, prolongé de six mois, durant lesquels s'est faite de nombreux ennemis sur plusieurs fronts de l'Union Africaine à cause de sa totale dépendance à la politique Algérienne contre le Royaume du Maroc.
Elle a brillé par son absence durant plusieurs rendez-vous stratégiques pour consentir tout son temps aux diktats algériens anti-Marocains. Elle a rarement réagit aux crises ayant secoué l'Afrique durant son mandat à la tête de la Commission Africaine, dernière en date (la chasse à l'homme noir) de la part de ses amis Algériens.Au contraire elle a créé une atmosphère conflictuelle au sein de l'organe décisionnel de l'UA.
Dans son dernier discours d'adieu en sa qualité de présidente de la Commission de l’Union africaine, Dlamini-Zuma qui n'a pas pu retenir ses larmes en quittant le prestigieuxfauteuil du secrétariat général de l'UA a lancé un fâcheux désolé au pétrodollar algérien pour l'échec de sa mission dont elle était chargée de mener contre le Maroc et contre sa cause nationale durant sa présidence de la Commission Africaine. Pour elle, l’adhésion du Maroc à l’organisation panafricaine est synonyme à la «force du lion».
Deux semaines auparavant, son ex-époux avait de son coté, mis en garde contre les tentatives d’amender l’acte constitutif de l’UA, provoquant, si ait lieu, l'expulsion de la rasd, et ce pour prouver à l'Algérie que lui et son ex-épouse n'y pouvaient rien devant la solitude du rayonnement Africain d'un Grand Royaume qui se trouve à la tête de l'Afrique, en parallèle de son pays qui se trouve à sa queue. Pour se justifier, sa femme et lui auraient rendu compte aux payeurs algériens qu'ils ont fait ce qu'ils pouvaient, autant qu'ils ont perçu de dollars de Ramdane Lahmamra pour aboyer contre le Maroc et contre sa crédibilité.
Avouant leur défaite, ils ont reconnu que le Maroc a fait, en premier lieu, une grande brèche à la mission préconisée de l'envoyé spécial de l'UA désigné en 2014/15 par la famille Zuma, auprès du Conseil de Sécurité des Nations Unies afin de prendre part au règlement du dossier du Sahara Marocain, ce qui constituait une grande gifle aux deux sales figures Algérienne et Sud-Africaine. En deuxième lieu le Maroc a pu casser en force, toute leurs politiques (Ramdano-Zuma) anti-Marocaine en ce qui concerne son retour à l'Afrique.
Dlamini-Zuma a prononcé, ce mercredi 25 courant à Addis-Abeba, son dernier discours devant ce qu'on appelle, le Conseil exécutif de l’Union africaine. L’adhésion du Maroc à l’organisation continentale y a été fortement présente. Sans citer nommément le Maroc, elle a mis en garde, ce qu'elle appelait, «contre le spectre de la division, qui menace l’Union s'il s'ajoute à nous un corps étranger». «Nous ne devons pas nous permettre d’être divisés», a-t-elle lancé avec amertume aux participants, avant de plaider pour l’unité de l'Afrique.
Une position identique à celle exprimée par le rabbin algérien des Affaires étrangères. Pour rappel, lors d'un séminaire sur la sécurité en Afrique, monté en toutes pièces par la diplomatie d'autruche algérienne, tenu en décembre dernier à Oran, durant lequel Ramdane Lahmamra avait accusé le Maroc de vouloir semer la division au sein de l’organisation panafricaine. Et de promettre une réponse aux manœuvres Marocaines affectant la cohésion et l’unité de l’UA, a-t-il avancé.
De la poudre avant de partir..Par un baroud d’échec, l’ex-épouse de Jacob Zuma tente d’anticiper une possible modification, par le Maroc et ses alliés notables Africains, des articles de l’Acte constitution de l'UA adopté à Lomé sur les ruines de l'OUA, en vue d’exclure la "rasd". Pour rappel déjà, lors du Sommet de Kigali en juillet 2016, 28 Etats avaient signé une motion réclamant la «suspension» du polisario. Soit juste au lendemain de la remise d’une lettre adressée par le roi Mohammed VI au président en exercice de l’Union, dans laquelle le souverain avait exprimé sa détermination à intégrer l’UA.
Six mois plus tard, ce chiffre est revu à la hausse, il atteint déjà 39 pays favorables. Aujourd'hui même des pays comme le Soudan, la Tanzanie, le Burundi, le Cap vert et la République Centrafricaine ont également réitéré leur soutien au retour du Maroc au sein de l’Union Africaine.
Le seuil des deux tiers exigé pour toute adoption d’un amendement est donc à la portée de notre pays. Il nous suffit d'attendre et de se conformer aux modalités «procédurales» de la soumission des propositions de ce genre, comme le prévoit sûrement un article (je pense le 32) de la Charte de l’Union africaine
Santé de S.M. le Roi : Le député Français revoit sa copie.
Ce malheureux député Français qui a entaché sa crédibilité par le mensonge, est revenu sur ses propos au sujet de la «maladie à évolution lente» de Sa Majesté le Roi, qu’il a tenu à nuancer. La bourde diplomatique est de taille ; le rétropédalage, un peu moins. Lors de la réunion de la Commission des Affaires étrangères à l'assemblée nationale Française, le 25 janvier,le député Jean Glavany a tenu à mettre les choses au clair, publiquement de surcroît : non, il ne détient pas d’information sur la «maladie» du roi du Maroc, raconte la LCP, la chaîne de télévision du parlement Français.
«Je voudrais dire devant la commission, aussi solennellement que possible et sans revenir sur mes propos, que je démens formellement détenir des informations médicales sur l’état de santé du roi du Maroc», a affirmé le député, autrefois proche collaborateur de François Mitterrand. «Je ne suis pas médecin et je n’ai consulté aucun médecin», a poursuivi Glavany qui précise tout de même «avoir tenu ces propos et les assumer par honnêteté».
Une semaine auparavant, le parlementaire avait fait parler de lui par une surprenante déclaration : «Cet homme, allusion au Souverain, est un roi malade. Je ne suis pas porteur de secret médical, mais tout le monde sait qu’il est atteint d’une "maladie à évolution lente", qu’il est soigné à coup de cortisone...» Des propos qu’il avait tenus alors qu’il présentait, son rapport sur la coopération européenne avec les pays du Maghreb, le 18 janvier à l’Assemblée nationale Française.
Justifiant sa marche arrière, Jean Glavany a expliqué, devant la commission des Affaires étrangères, avoir reçu un coup de téléphone de l’avocat du Souverain lui notifiant que : «Cela a provoqué une grande émotion au Maroc et en particulier au Palais Royal, explique-t-il. Le roi m’a fait appeler par son avocat, sans aucune agressivité d’ailleurs, pour me dire qu’il était ému et déstabilisé par cette information.»
Hormis le Souverain et sa pseudo-"maladie à évolution lente", Jean Glavany avait aussi abordé dans le même angle, les états de santé des présidents algérien, et Tunisien, déclarant que «tout le monde» sait qu’Abdelaziz Bouteflika avait été frappé, en 2013, par un AVC qui a affecté sa mobilité et son élocution, quant à Baji Caid Sebssi, il est atteint de la maladie de vieillesse.
Si on se demanderait pourquoi la rédaction du blog rapporte-t-elle cette information en ce temps crucial d'Afrique?. C'est pour vexer les Algériens, dissiper leur état de joie et mettre à nu leur sarcasme, car ils se réjouissaient, de commenter cette information malencontreuse à leur guise sur les réseaux sociaux, en leur rappelant, en contre partie, l'amertume qui pèse sur leurs têtes, en gardant encore parmi eux, un cadavre vivant, au moment où l'Algérie, comme d'autres pays n'est pas stérile pour enfanter des hommes d'Etat.
Le 24 janvier 2017
Le charlatanisme et révolte contre l'imposture
Le charlatanisme Algérien..Un site de Charlatanisme Algérien dépasse la limite de la déontologie internaute, devançant les événements dans une logique de sorcellerie, à l'Algérienne, et avance que : "Le nouveau locataire de la maison blanche à Washington est favorable,voire très favorable, à une plus grande coopération militaire avec le Maroc". Le voyant du site décrit avec amertume, ce qui peut être, selon la vision haineuse algérienne, "le dessous" du coup de fils téléphonique, entre le président Américain élu Donald Trump et Sa Majesté le Roi Mohamed VI.
Le 20 Janvier 2017
Un Maroc Africain, pittoresque et élégant
Déjà un pied dans l'UA..Le Maroc est décidé à reprendre son siège au sein de l’Union africaine et à consolider sa dimension africaine normale. En effet, après la finalisation des textes législatifs relatifs à l’Union africaine, textes adoptés à l’unanimité par les deux Chambres de l’Hémicycle, le cap est mis sur Addis-Abeba qui abritera le prochain Sommet de l’Union africaine (UA). Et les préparatifs vont bon train pour assurer la participation d’une très forte délégation Marocaine aux différents travaux de ce Sommet auquel Sa Majesté le Roi Mohamed VI prendra part.
Le retour officiel du Maroc à cette instance africaine a déjà été favorablement et chaleureusement accueillie par la majorité des pays africains, malgré que la Zuma cache encore dans son sac à main, la convocation du Royaume qui lui permettra d'y participer officiellement.
C'est le nouveau visage d'un Royaume Chérifien du Maroc Africain même si beaucoup d'Algériens s'en inquiètent . Mieux vaut en rire plutôt et comprendre que la diplomatie d'autruche Algérienne est la mauvaise illustration de l'action politique algérienne qui consiste à dire n'importe quoi et son contraire. Le clan Taflikien pour ne pas dire le cadavre vivant de Bouteflika pousse le théâtre politique algérien jusqu'à la caricature, encore mauvais que les primaires de la gauche Française. Mais au-delà du théâtre politique, le cadavre-vivant est aussi un précurseur qui ouvre la voie aux algériens de se moquer d'eux-même.
En France par exemple, à Marseille au juste, où vient de passer un blogueur algérien ayant déserté son pays, est une véritable caisse de résonance de ce qui se passe Outre-Méditerranée, et où on chercherait en vain une bonne nouvelle parmi celles que répandent sur leur pays, les Algériens du grand port provençal…
Que n’entend-on pas dans les «cafés maures» de Marseille! Bourgs d'Algérie en état de dissidence; soldats ou gendarmes déserteurs; résidences balnéaires ou climatiques de notables Français, cambriolées jusqu’à l’os; concussion et trafics à grande échelle, etc.
Certains algériens vont même jusqu’à rappeler que le «président-momie», dit «Boutefrika», n’aurait jamais été mis au pouvoir, en 1999, par les hauts gradés de l’armée, si la justice avait pu connaître une affaire de détournement de fonds publics (47 milliards en devises), dénoncée au début de la décennie 1980 et par le président Chadli Ben Jedid, par le parti unique FLN et par la Cour des Comptes en Algérie…L’intéressé préféra aller commercer dans le Golfe arabic ou bien y donner des consultations diplomatiques payantes aux payés du Golf jusqu’en 1987 date du début de son errance au désert.
Son personnage est loin d'être pittoresque, mais il n'est pas fou, étant le président-momie de toute la planète commandant les algériens, depuis les coulisses, par un simple sifflet, amplifié par la presse de son frère prince heureux de l'Algérie et la bande qui s'y trouver avec. Il a même une capacité d'anticipation supérieure à celle des élites politiques traditionnelles d'Algérie puisqu'il permet à son Rabbin diplomatique (Lahmamra) d'oser dire que le Maroc est en état de décadence absolu devant une Algérie en évolution leadership et que le premier charlatan Algérien Sellal se vantait-il de la considérer, dans son imaginaire, en " force régionale", jouant le rôle stabilisateur dans la région!!
De son coté Mr.Frédéric Pons, un colonel Français des troupes de marine, ancien Casque bleu de l’ONU et professeur à l’Ecole militaire française de Saint-Cyr, dit à propos de l'Algérie : que «résignés, les Algériens observent le naufrage de leur président Bouteflika, parallèle à celui de l’Algérie, qui avait tout pour être l'un des géants de la Méditerranée». Et poursuit: «Le peuple sait tout du marasme économique, malgré la rente pétrolière. Il constate la ruine de l’industrie, de l’agriculture et la dépendance de l'Algérie à l’égard des circuits d’importation qui alimentent localement la corruption ambiante. Les Algériens s’interrogent aussi sur l’utilisation par le pouvoir algérien des 784 milliards de dollars rapportés depuis 1999, à 95% en provenance des hydrocarbures».
Visiblement, concernant le mirage algérien dans le dossier du Sahara Marocain, le soi-disant représentant polisalgérien à Bruxelles ne fait plus le poids face à un ambassadeur algérien loquace dont le pays ne cesse de clamer sa ‘’neutralité’’ dans le conflit du Sahara Marocain. Omniprésent, avide de sorties médiatiques anti-Marocaines haineuses et intempestives, le diplomate algérien prend désormais parti ouvertement et inlassablement pour les séparatistes et devient le préposé aux affaires polisalgériennes auprès des institutions européennes.
S’appuyant comme à son habitude sur des arguments capiteux, l’ambassadeur algérien s’ingénie à dénaturer les propos pour présenter à ses employeurs, à l’anti-Marocanisme, une version conforme à leur doctrine macabre. Bien que le sujet n’intéresse nullement l’Algérie, qui jure ses grands dieux, qu’elle n’est concernée ni de loin ni de près par le conflit du Sahara qu’elle a pourtant elle-même enfanté. Mais à chaque débat au Parlement européen concernant le Maroc, à chaque article de presse pointant du doigt la responsabilité de son pays dans le conflit artificiel autour du Sahara Marocain ou encore sur le drame que vivent les séquestrés de Tindouf, cet avocat du diable sort de ses gonds pour ressasser sa litanie fielleuse contre le Maroc et ses institutions.
Menace de guerre..Alger pousse le Polisario à menacer de reprendre les armes contre le Maroc. Les sorties des médias algériens et du Polisario portent à croire que 2017 connaîtra un conflit armé dans la région. Que cache cette ultime manœuvre du régime algérien?
Il ne passe pas un jour sans que le Polisario menace de reprendre les armes contre le Maroc. A visiter les sites des séparatistes et leurs rooms en paltalk, on n’entend que des bruits de bottes et des tambours de guerre. Ils ne cessent de répéter que, je cite : «2017, sera l’année de la reprise des armes du Polisario contre le Maroc», «Guerguerat est la mèche qui va embraser la région - Le Polisario très bien préparé pour reprendre la guerre». Tels sont quelques-uns des titres qui font partie de la nouvelle stratégie de communication soufflée par Alger. Et comme le bruit de ces tambours ne s’élève pas bien haut et que les gesticulations martiales du Polisario n’impressionnent personne, Alger recourt à la mystification pour faire sensation.
La boue entache le New York Times.. Alger reconnait enfin qu'elle est partie prenante..La dernière tromperie du voisin de l’Est est un prétendu article du quotidien «The New York Times» intitulé «La prochaine guerre de l’Afrique du Nord». L’auteur de cet article tire la sonnette d'alarme et met en garde contre «l’effondrement de la paix» au Sahara,cette fois dit "atlantique" en promettant l’apocalypse. Quand on cherche à retrouver cet article, on ne le trouve nulle part dans le New York Times. Il s'avère qu'Alger est allé déterrer ce soi-disant article dans les blogs de la publication Newyorkaise.
Or, ces blogs n’engagent en rien la responsabilité éditoriale de la publication américaine qui d'ailleurs ne répond pas de leur contenu. Mieux: l’auteur de cet «article» mérite l'attention. Il s’agit d'une certaine Hannah Armstrong, une consultante en Algérie pour International, comme en atteste une page d'Aljazeera Qatarie. Quand on cherche à mieux connaître le type de missions qu’accomplit cette «consultante», on découvre qu’elle passe son temps à tresser des lauriers au régime algérien et à son pseudo «rôle stabilisateur dans la région».
Les louanges de Hannah Armstrong en direction d’Alger s’enflamment quand il s’agit de Ramtane Lamramra, ministre d'Etat algérien des Affaires étrangères, dont le département est le payeur des bons services de la «journaliste-consultante». Pour comprendre comment cette consultante fait de la propagande à la politique du régime de Bouteflika, il suffit de lire son entretien avec le site d'information algérien Tout Sur l'Algérie(TSA).
Que dit-on à la CIA?..Contrairement à cette Hannah Armstrong, l’Agence centrale de renseignement américaine (CIA) a déclassifié ces jours-ci,(pas plus tard que le mercredi 18 janvier 2017), un très grand nombre de documents secrets de sa base de données, dont une partie consacrée aux implications de l'Algérie au conflit du Sahara avec le Royaume du Maroc.
La CIA ne cite à aucun moment le polisario et confirme l'implication directe d’Alger. L'Algérie peut-elle encore nier qu'elle est partie prenante au conflit? Le document-CIA torde le cou à cette dénégation, attestant pour cause que l'Algérie veut exploiter le grand gisement de fer de "Ghar Jbilat" dans la région de Tindouf près de la frontière avec le Sahara Marocain et souhaite exporter éventuellement le minerai à travers le Sahara, confirmant ainsi les visées d'Alger qui a toujours cherché à se ménager un passage vers la façade atlantique via le Sahara Marocain.
Au nom du tiers-mondiste.. Un vœu qu'elle a toujours caressé secrètement, en se drapant derrière un discours tiers-mondiste, -hier en vogue, aujourd'hui passé de mode-, selon lequel Alger, " fief d'hypocrites!", se battrait pour le droit des peuples à la décolonisation. L'Algérie a soutenu publiquement la décolonisation du Sahara, si on croit une déclaration de (45 sec) de Abdelaziz Bouteflika, alors ministre des AE d'Alger en 1975, certifie l'Agence de renseignement américaine.
Un slogan clinquant qui cache de manière à peine voilée les visées expansionnistes de l'Algérie, véritablement partie prenante du conflit créé par ses propres soins autour du Sahara Marocain. Certes, l'Algérie, selon son président Boumédiane, n'avait pas de revendication territoriale sur le Sahara, indique le document américain. Mais elle a démontré autrement, à un rythme soutenu, qu'elle une partie intéressée ayant des intérêts politiques et de sécurité à protéger", assure en effet le document américain.
Loin de ces révélations, la menace de reprise des armes par le polisario n'est qu'un des ingrédients propagandistes pour couvrir les échecs du pouvoir en politique anti-Marocaine..et aussi le signe de la faillite de la diplomatie algérienne, incapable de contrer la politique africaine du Maroc et son retour à l’UA.
Pour chercher à intéresser la communauté internationale au "Sahara atlantique" Alger veut non pas créer un conflit armé qui serait mortel en ce moment de crises qui ravagent l'Algérie, surtout son économie entièrement dépendante du pétrole et de gaz (cibles trop vulnérables), mais à ordonner au polisario de faire du bruit de bottes dans l’espoir de se faire entendre. La menace de reprendre les armes est aussi l’ultime recours pour Alger qui risque de se retrouver isolé sur le continent, avec un boulet du polisario qu’elle abrite en partie et finance de l'argent de sa rente.
On devrait donc s’habituer aux gesticulations guerrières du Polisalgérien qui vont aller croissantes. D’ailleurs, «le pseudo-ministre de la défense Polisalgérien, vient de déclarer à un site portugais que «la guerre avec le Maroc est la seule solution» (sic). C'est au lecteur d'en juger dans tout ça
17 Janvier 2017
Quand S.M. le Roi Mohamed VI avance à pas de géant, Bouteflika et sa bande tâtonnent à reculons !
Bouteflika faisant le baise-main à S.M.le Roi Mohamed VI.
Une arrogance toute particulière..Par manque de reconnaissance de gratitude, les algériens considèrent ce baise-main une honte et insulte à leur arrogance. Et pourtant, pendantque l’Algérie d’en haut, politique et intellectuelle, verse, à tout va, dans des débats de constitution stériles et de procès d’intentions inféconds, le Maroc s’engage dans la juste voie et mesure, dans une approche quasi cartésienne qui le mèneront sans tords ni travers, dans une génération ou deux, à bon port.
Car le Maroc sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi stabilisateur ne s’encombre plus de chichis ou de bla-bla, il fait de la prophylaxie, de la bonne prophylaxie d'ailleurs, pour assainir les esprits et faire accéder le peuple Marocain à celui d’une nation moderne et cultivée, dans un pays politiquement démocrate et stable dans sa sécurité dans un environnement bouillonnant.
Là-bas à notre voisinage Abdelmalek Sellal, le premier ministre Algérien reconnait avec émotion et admet malgré lui, avec une certaine amertume, l'échec de l'Algérie dans sa tentative de bloquer le retour du Maroc à l'Union africaine,comme elle l'est à l'échelle international au sujet du dossier du Sahara Marocain..Il a déclaré hier 16 courant à Bamako, en marge des travaux du sommet Franco-Africain au Mali que le Maroc a gagné le pari sans le dire, voire il est assuré de son retour à l'UA, avant même la tenue à la fin de ce mois-ci du prochain sommet Africain à Addis Abeba.
Cette déclaration intervient après que toutes les cartes utilisées, jusque-là, par la diplomatie d'autruche de son pays pour contrecarrer le retour du Maroc à l'UA sont grillées au grand feu. A cet effet, nous verrons prochainement à Addis Abeba la délégation Algérienne face à un Maroc Africain brillant, pavoisé par la présence effective de sa Majesté le Roi parmi ses pairs présidents notables et nous allons voir en contre partie, les membres de cette délégation déshonorés, siégeant têtes basses, en état ridiculement bredouille, surtout quand ils verront, le drapeau-chiffon de leur rasd passé au pliage et le siège de leur mirage démonté à jamais par les organisateurs du sommet Africain.
Le plus douloureux pour le charlatant Sellal, sa délégation et son rabbin, serait l'éjection pure et simple, par les fenêtres de l'hémicycle africain du pseudo-chiffon de créance de leur polisarioauprès de l'UA, devant les yeux luisant dans l'obscurité de la défaite de «Sonexcellence, Ramdane Lahmamra, le ministre d'Etat aux affaires étrangères de la République Algérienne démocratique et populaire!» et à la grande surprise de sa famille Zuma mouillée de honte et de modeste adieu bien mérité à sa copine de fraudes, la Sud-Africaine Dlamini Zuma et à son barbeau Jacob qui a provoqué la décadence d'un pays au passé glorieux qui s’érige en son temps en promoteur de l’impunité.
Je suis pas analyste, mais j'essayerai de dire que l’Afrique du sud, pays qui commandait le respect de larges franges de l’opinion publique à la faveur des sacrifices des pères fondateurs de cette jeune nation, ne semble plus avoir les faveurs de ses citoyens et ce à cause de la dépendance en politique étrangère du régime-Zuma au pétrodollar algérien pour nuire au Maroc qui a soutenu l'ANC durant sa peine anti-apartheid.Par contre des internautes font circuler actuellement sur les réseaux sociaux une vidéo montrant des jeunes du peuple algérien en torses nues, mettant des "grandes couches", comme slips, et ce en solidarité avec leur président qui se trouve au même stade,malgré l’opacité de ce qui reste du pouvoir algérien.
13 janvier 2017..
Le Maroc est-il en plein droit de réintégrer l'Union Africaine?
Attention au feu..La ligne de rédaction du blog se situe, rappelons-le, dans une seule direction, celle de dénicher et dévoiler les fourbies et les déformations de l'Algérie contre le Maroc, dont dernière en date «une énième pièce théâtrale d'Alger, jouée ce jour 9/01/2017». Mais je viens de constater malheureusement que certains de nos concitoyens, et non pas les moindres, font de même, soit par ignorance ou par conviction. C'est pourquoi, j'essayerai selon mon point de vue personnel, de redresser toute anomalie constatée et de corriger la mauvaise information qui touche, de prêt ou de loin , la souveraineté de nos frontières avec l'Algérie, dans la perspective de donner à mon lectorat assidu la bonne information avec une explicité d'opinion.
Ainsi, certaines parties étrangères, et au Maroc également, invoquent une série d’arguments pour critiquer la décision du Maroc de réintégrer l’UA. Ces arguments, à mon avis ne tiennent plus la tangente de la raison. Des politiques et des associatifs au niveau national ont même brandit une série d’arguments pour critiquer, pour une raison ou une autre, la décision du royaume de réintégrer l’Union Africaine.
Ce qui attire l'intention, c'est qu'un journaliste, pas le moindre, du journal électronique Marocain, -le Chaud à 360°- "ya hassrah", je dis bien "ya hassrah", parce que je sais qui se trouve derrière. Ce larbin conteur, si j'ose le qualifier ainsi, écrit avec effrontément que l’un des principaux arguments avancés par les détracteurs du retour du Maroc à l'UA "est que notre pays ne peut pas réintégrer cette organisation continentale, tout en continuant à émettre des réserves quant à l’intangibilité de ses frontières", autrement dit, prenant le même sens que les algériens : le Maroc ne pourrait plus revendiquer d’autres territoires, (tel que?).
Ce journaliste qui, par ce pose broutille, pousse sa tribune vers le camp de la presse jaune, se basant dit-il, sur une source autorisée, se réjouit cyniquement pour démonter cet argument en expliquant, de façon frivole et inacceptable que «Le royaume n’a plus de revendications sur quelque territoire que ce soit !!». Il ne reste à résoudre selon lui, que le problème de Sebta et de Melilia, mais cela regarde le Maroc, l’Espagne et l’UE. L’Union Africaine n’y est en aucun cas impliquée» ajoutait-il!.
Allah aweddi?...Qu'est ce que j'entends de ce non-sens? c'est surprenant de la part d'un Marocain, cela m'intrigue, certainement comme beaucoup d'autres, à m'interroger en l'objet. En fait, quand on choisi de pratiquer irréductiblement le journalisme, je crois qu'il faut être au niveau du respect de la déontologie et avoir un bon bagage intellectuel et historique. La crédibilité est de ne pas désorienter le consommateur assidu. Sachant que je ne fais pas le journalisme, ni nullement pas un Hamid Chabat qui, dérange par ses sorties diaboliques et pas non plus un certain Ilyas Lamari qui n'arrive pas à s'acclimater avec la réalité politique ni se débarrasser de l'odeur de l'eau de Javel d'autrefois.
Et je garde, quand même, la mémoire fraîche, pour rappeler à quiconque que le Royaume du Maroc a encore des revendications territoriales à faire à l'Algérie. Ces territoires, pour mémoire, sont la totalité du «Sahara Marocain Oriental y compris Tindouf». A cet effet, le Maroc officiel possède un argument carabiné, se concrétisant en un traité signé le 6 juillet 1961, que le maudit Boumédiane jugeait dans un moment d'arrogance, comme "papier-chiffon", dans lequel le GPRA (Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne) s'engage à résoudre fraternellement le problème de frontières avec le Maroc après l'indépendance de l'Algérie.
Et si les algériens tenteront de se tenir au niveau de la blague de Boumédiane, ils n'auront pas droit de mettre en cause la crédibilité des signataires de ce traité, ni porter atteinte à l'engagement de ceux qui ont négocié et signé pour eux, les accords d'Evian, donnant droit d'indépendance à l'Algérie.
Malheureusement, dans ce sens, la fuite en avant de l'Algérie nous a mené àconnaitre toute sorte de haine et d'hostilité de la part algérienne, et l'aspect de fraternité et de voisinage censé être au bon niveau est enterré dans le mauvais esprit des dirigeants algériens, ce qui a contrarié nos deux peuples à vivre autrement aujourd'hui.
Il appartient donc à Mohamed Chakir Alaoui, le pseudo-journaliste qu'il s'agit, de chercher ce traité, quelque part aux archives du blog, ou du moins visualiser la vidéo y afférente du Feu Sa Majesté le Roi Hassan II qui parle à cœur ouvert.
D'autant plus, si l'auteur de cette connerie prend le temps de se pencher sérieusement sur la question,, il trouvera que le problème de frontières avec l'Algérie est en suspens. L'accord d'Ifrane-1969 y afférent avec la paraphe de Tlemcen-1970 et les pourparlers du sommet Africain de Rabat de 1972 n'est pas finalisé ni entré en vigueur tant qu'il n'est pas approuvé par le parlement Marocain.
L'initiative royale pour régler définitivement le problème, prise par Feu Hassan II envers l'Algérie en 1992 a été interrompue par l'assassinat du Président Algérien Mohamed Boudiaf en juin 1992 et le dossier demeure toujours ouvert..!
A propos de cet assassinat perpétré pour une seule cause, le président algérien feu Mohamed Boudiaf avait dans une de ses interventions improvisées, pris l'initiative de s'adresser à ceux qui l'ont ramené de son exil volontaire du Maroc, leur disant : «"qu'il faut arrêter la mascarade du Sahara Marocain, et qu'il est temps de se mettre à l'évidence avec le Royaume du Maroc frère et tourner la page de ce conflit artificiel une fois pour toute"».
En faite, Bou Abdellah Gh'lamallah, le président du Haut conseil islamique Algérien (HCIA), a fait récemment une déclaration des plus chocs pour le haut fonctionnaire qu’il est, lui qui a, en sus, par le passé était ministre algérien des Affaires religieuses n’y va pas par tente-six chemins pour déclarer, publiquement, que le président Mohamed Boudiaf a été assassiné “par ceux-là mêmes qui l’avaient ramené”. Invité à la télévision algérienne Gh'lamallah, sans prendre de gants ni de pincettes, lâche ce qui apparaît comme une véritable bombe devant le seuil du pouvoir algérien, tant le cadavre du défunt Boudiaf continue de hanter le système algérien, 25 ans après la terrible tragédie de sa liquidation à Annaba, en direct à la télévision publique.