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  • Marche marocaine de réussite et guerre de succession en Algérie (8)

     

    Flashs de dernière minute :(16/2/2017) 

               Alger ne reconnait ni cachet ni passeport du polisario..

                                                passeport algérien

                                                                     Le passeport-chiffon algérien

    Alger commence à sa méfier de sa création polisarienne. Les sahraouis voulant se rendre en Espagne ont été invités à repartir paître à Tindouf! Pas moins de 11 sahraouis issus de Tindouf ont été interdits d’accéder au port de Ghazaouet à Tlemcen pour se rendre en Espagne. Motif : la non reconnaissance des cachets apposés par la pseudo Rasd sur leur passeport.

    Ils se sont vu interdire l’accès au ports algériens où ils devaient embarquer à destination du sud de l’Espagne. Se présentant à l’entrée des dits ports, il leur a été demandé de produire leurs documents de voyage dûment délivrés souverainement par les autorités algériennes et pas par les pseudo-services du Rabouni.

    Une procédure douanière somme toute banale pour quiconque voudrait quitter ou entrer dans un territoire algérien. Ces voyageurs, jeunes en majorité, voulant vraisemblablement "griller" de façon régulière en Espagne, ne se sont pas fait prier pour produire les dits documents et embarquer ainsi à bord du ferry vers l’autre bout de la rive méditerranéenne où ils devaient oublier le temps calvaire d’une vie miséreuse dans les camps de Lahmada Tindouf.

    Sauf que les autorités algériennes étaient d’un tout autre avis. Un simple contrôle des documents de voyages, et voilà que tout tombe à l’eau. Le maudit cachet de la "rasd" n’avait donc pas lieu d’être apposé sur un document de voyage algérien, pour la simple raison que la «Rasd» n’est pas reconnue par Alger comme étant un vrai «Etat» à part entière.

    Dans un cas comme dans l’autre, l’histoire nous édifie sur le double jeu des autorités algériennes. Alger a été le premier pays au monde à reconnaître sa  création, la pseudo-«Rasd» en 1976. Elle le crie depuis, haut et fort,  elle l'écrit sur tous les murs et toits au nom de ce fameux «droit des peuples à l’autodétermination». Mais cette foi devient vaine dès lors qu’elle est mise à l’épreuve des faits.

    Et tant qu’à parler des faits, il y en a un qui ne saurait être démenti : Alger continue d’instrumentaliser la souffrance des séquestrés à la seule fin de nuire aux intérêts du Maroc. Quant à la corruption des autorités algériennes, cela relève de la vérité de La Palisse.                                               

    Les Sahraoui de Tindouf sommés de remettre leur passeport algérien dès leur retour de l'étranger.car Alger a peur que ces sahraouis se prévalent de la nationalité algérienne.

    Des instructions "au plus haut niveau" ont été données aux autorités algériennes afin de procéder au retrait des passeports algériens aux Sahraouis des camps dès leur retour de l'étranger, accentuant le sentiment d'humiliation et de ras-le-bol chez la population de Tindouf qui devient de plus en plus, un fardeau pour l'Algérie. Cela illustre jusqu'à la caricature le degré de décadence avec laquelle les autorités algériennes se comportent avec les Sahraouis retenus contre leur gré dans les camps de Lahmada-Tindouf. 

    Des voix, même qu'elles soient trop cassées, commencent à se lever au clair du jour pour dénoncer toutes ambiguïtés et crier "Assez! ça suffit". La question du Sahara avec le Maroc n'a jamais était du goût du peuple algérien. Pour Amar Saadani l'ex-patron du FLN, l'affaire devrait être du ressort exclusif des Nations unies loin du jonglage d'une diplomatie infructueuse ouverte à tous les risques. Il administre ainsi une nouvelle gifle au Polisario et à ses sponsors.

    Après son appel du pied pour qu’Alger renonce au soutien du Polisario, devenu un lourd fardeau pour l’Algérie, ce Drabki de la troupe folklorique d'Oued Souf, en remettait une couche noire au crépissage officiel d'Alger et boycotte, une fois n’est pas coutume, les travaux d'un congrès du front séparatiste. Selon des sites séparatistes, même des militants de l’ex-parti unique présents au congrès n’ont pas pris la parole au nom du FLN, ce qui laisse entendre que la position de Saadani n’est pas personnelle et, du coup, elle engage le parti tout entier. 

    Une chose reste pourtant sûre. Cette sortie de l'ex-patron du FLN et, après lui, celle de Louisa Hanoune, SG du Parti des travailleurs, démontre au moins que le dossier Sahara Marocain n’est plus un «tabou» en Algérie et qu’il commence à devenir un sujet de débat interne, voire de polémique puisque le légendaire soutien algérien au Polisario ne fait pas l’unanimité chez la classe politique, encore moins chez l’opinion publique locale. 

                                                                                                --

                                                tindouf

    Je voudrais rappeler au passage à mon lectorat, pour mémoire pas plus, que les Marocains sahraouis séquestrés à Tindouf n'hésitent plus à exprimer ouvertement leur appartenance Marocaine.

    La distribution de drapeaux marocains et de photos de Sa Majesté le Roi pendant le déroulement des congrès et des rassemblements du Polisario  à Tindouf est toujours de mise, elle plonge les services séparatistes dans le grand cafouillage et les services de sécurité algériens de Tartak sur le qui-vive.

    Chaque acte rappelle celui accompli pas plus tard qu’en avril dernier quand des activistes du mouvement sahraoui "Kifaya" basé à Tindouf, ont posté une vidéo affirmant leur adhésion pleine et entière à l’offre marocaine d’autonomie, dénonçant par la même occasion la corruption de la direction du Polisario et le calvaire des Sahraouis retenus contre leur gré dans les camps de l’infortune.

                                                                                                   --                                                             

                                     Quand la propagande Algersario broie du noir                                                                                                        

    Là bas à New York, le dénommé  Ahmed Boukhari, un errant du polisario à l'ONU, au goût amer de la défaite, il rate son show médiatique devant des journalistes accrédités auprès de l'ONU. Il a tenté de vendre du mirage à la presse, considérant le retour du Maroc à l'UA comme une "reconnaissance de sa "RASD". Sauf que ce n'était pas l'avis de plusieurs journalistes qui l'ont confondu littéralement. «Pitié!...» Paraît-il, l'errant du Polisario avait quelque chose d'exceptionnel à annoncer aux journalistes. Il s'est donc empressé de rameuter, (15 février), des journalistes accrédités auprès de l'ONU à New York.

    Or, quelle nouvelle devait-il annoncer ce jour-là aux historiens de l'instant? En signe d'humiliation un journaliste criait : «Circulez, il n'y a rien à voir!» A part des éléments de langage" qui lui ont été soufflés par ses maîtres tapis au Club des Pins, à Alger, à la botte des donneurs d'ordre galonnés de l'Armée algérienne. Voilà ce que cela donne à peu près: essayer de "vendre"du mirage, rien que du mirage...!

    Mais à Alger un chef de parti politique algérien dit le contraire: le retour du Maroc à l'UA ne constitue nullement une reconnaissance de la Rasd. Alger et le Polisario sont les seuls au monde à avoir un tout autre avis, conformément à une certaine grille de lecture qui consiste à maquiller leur échec en victoire, et le mensonge en vérité.

    Mais passons, car on ne la fait pas aux journalistes avertis, le cas échéant ceux accrédités à l'ONU qui n'ont pas fait le déplacement pour tenir le crachoir au dénommé Boukhari, mégaphone de la propagande mensongère algérosarien. Plutôt que cautionner l'envolée faussement "triomphaliste" du soi-disant diplomate polisarien, ils l'ont interpellé sur des questions auxquelles il ne s'attendait visiblement pas.

    Voilà ce que cela a donné: une avalanche de questions gênantes ayant trait -au recensement de la population séquestrée dans les camps, qu'Alger refuse toujours d'autoriser, contrairement à la résolution 2285 adoptée en avril 2016 par le Conseil de sécurité-, -aux poursuites judiciaires engagées par la justice espagnole contre son- chef  et néanmoins criminel de guerre, comme le stipule l'acte d'accusation établi par l'Audience nationale espagnole, sans oublier évidemment - l'affaire liée à la séquestration des filles sahraouies naturalisées espagnoles, interdites de rejoindre leurs familles adoptives en Ibère.

    Confronté à ces questions, le dénommé Boukhari, à l'image d'une proie apeurée, n'avait pas évidemment d'éléments de réponse. Les instructions des apparatchiks galonnés d'Alger visaient uniquement à transformer en victoire le revers cinglant du retour du Maroc à l'UA

    Tenu devant le siège de l'institution onusienne, qui ne reconnaît pas la "RASD", pas plus d'ailleurs que les deux tiers de l'Unon africaine, ceux-là mêmes qui ont adhéré franchement et massivement au retour du Maroc au sein de la structure panafricaine, Ce propos a de quoi surprendre. D'autant plus que le Maroc, dont le retour à l'UA a été acté le 30 janvier 2017, a clairement affirmé que son retour au sein de l'organisation continentale n'impliquait nullement une reconnaissance de l'entité fantoche.

    A toutes fins utiles, il faut noter que même les quelques soutiens d'Alger et du polisario, notamment l'Afrique du Sud et le Zimbabwe, ont vu à travers le retour du Maroc à l'UA un revers significatif pour la thèse "indépendantiste" prônée par le front séparatiste et son mentor algérien.
     

                       Flashs de dernière minute :(15/2/2017)                                                                       

          Le Maroc à l’UA: Un cuisant revers pour l’Algérie et son polisario

                                                 
    Le retour triomphal du Royaume du Maroc au sein de l’Union Africaine (UA) constitue un « cuisant revers » pour l’Algérie et sa création le polisario, écrit le journal panaméen +La Estrella+.

    « Le retour du Maroc par la grande porte, avec l’appui d’une majorité écrasante des pays africains, représente un coup dur pour le poliario, l’entité fantoche dépourvue des attributs d’un Etat », souligne le quotidien, estimant que le maintien de la présence de cette entité au sein de l’Union Africaine est en contradiction flagrante avec la légalité internationale, car elle n’est reconnue ni par l’ONU, ni par la Ligue arabe, ni par l’Organisation de la coopération islamique, ni par aucune autre organisation régionale ou internationale.

    Et de poursuivre que l’Afrique a décidé de prendre son destin en main à travers l’adoption d’une politique pragmatique et la rupture avec les hallucinations idéologiques des années 60, alors que l’Algérie et le polisario demeurent attachés au passé.

    Le journal a conclu que la responsabilité et le pragmatisme de la majorité écrasante des leaders africains a mis à nu les intentions de l’Algérie et du polisario qui manipulaient l’UA pour assouvir leurs propres intérêts, alors que le Maroc a réalisé une grande percée en Afrique car il a su jeter des bases solides pour la consolidation de la démocratie à l’intérieur avant de la projeter dans le continent.

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                         Trump, le Sahara et le leadership Marocain

                                                   

    Comment devrait, se comporter l’administration Trump, dans l’affaire du Sahara Marocain et vis-à-vis de la très émergente puissance Marocaine en Afrique?Des interrogations auxquelles "Le Think Tank US" donne des réponses.
     
    Il  a produit un rapport, adressé à l’administration Trump, dans lequel, il conseille la maison blanche, sur les voies à suivre, pour faire croître les intérêts des USA, en Afrique du Nord.

    Dans ce rapport, intitulé ‘ «Renforcer la stabilité dans le nord-ouest de l'Afrique - la politique des États-Unis envers le Maroc» et rédigé par deux experts, Robert Satloff et Sarah Feuer du The Washington Institute. Cet institut a formulé des recommandations au président américain, Donald Trump, concernant la ligne diplomatique à suivre, concernant l’affaire du Sahara et aussi vis-à-vis de l’émergence du Maroc, en tant que grande puissance africaine.

    Il indique entre autres, que le Maroc est un pays émergent, qui a pu mieux résister au chaos du Printemps arabe, où la stabilité est un vrai défi relevé par la clairvoyance de sa Monarchie contrairement aux autres pays arabes qui se trouvent encore exposés à la violence politique.

    Selon le Think Tank US, les autres pays du Maghreb demeurent à la merci des imprévus, qui peuvent à tout moment et sous n’importe quelle forme, y provoquer de grandes déstabilisations. S’ajoutent à cela, les menaces terroristes en Algérie, les effets du chaos libyen et les difficultés socio-économiques de Tunisie, qui y sont profondes.

    Vu cet état de fragilité, auquel sont soumis, selon l’institut washingtonien, les 3 pays du Maghreb, l’administration Trump, recommande The Washington Institue, devrait œuvrer par tous les moyens et de tout son poids, pour empêcher, que ré-éclatent des hostilités armées entre le Maroc et l’Algérie et son proxy, le Polisario.

                                                                                             --

                                   Mariano Rajoy refuse de reconnaître la rasd

                                                  Mariano Rajoy      

    La prétendue RASD n’a plus la cote en Espagne, elle est bannie par les sages de l'élite politique espagnole. Alger et ses poulains du Polisario viennent, en effet, d’essuyer une cuisante défaite. Le Parti Popular a opposé un niet formel à la requête faite au gouvernement, en plein Sénat, de reconnaître la soi-disant rasd.

    Mariano Rajoy est catégorique! Le gouvernement espagnol rejette cette idée et la requête formulée par la gauche républicaine catalane s’est ainsi heurtée à un refus formel des membres du Parti Populaire (PP) au Sénat.
     
    Le PP, parti au pouvoir qui a bénéficié de l’abstention des membres du parti socialiste, a ainsi mis en échec, pour la deuxième fois, cette tentative de la "RASD" de se faire reconnaître à haut niveau par le gouvernement espagnol.
     
    Selon l’agence espagnole EFE qui a rendu publique l’information, la proposition de loi faite par la gauche républicaine catalane a reçu les voix de son parti, en plus de celles du parti nationaliste basque et de Podemos, devenu la troisième force sur la scène politique du pays.
     
    Pour leur part, les membres du PSOE ont clairement refusé la reconnaissance de la soi-disant RASD, justifiant leur position par le fait qu’il doit y avoir, au préalable, un référendum, permettant de savoir clairement si les sahraouis veulent l’indépendance ou non.
     
    Par ailleurs, il est devenu courant que certains petits partis espagnols tentent, chaque année contre des chèques pétrodollars algérien, d'imposer au gouvernement central leur position relative à la reconnaissance de la fantomatique RASD. mais l'anecdote disait que "la corde du menteur est courte". Ces petits poulains politiques espagnoles  "maigres"seront contraints de lâcher avec l'épuisement de la source pétrolière algérienne qui les alimente en dollars au détriment du peuple algérien.
                    
     

     Qui pour diriger l'Algérie après Bouteflika?

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    Ce n’est plus un secret pour personne que Abdelaziz Bouteflika, est de plus en plus fragile. Et ceci est une source de préoccupation depuis plus de quatre ans, 

    Il est à rappeler qu’à la fin janvier, un rapport des députés sur la coopération entre l’Europe et l’Afrique avait suscité une controverse. MM. Jean Glavany, Guy Teissier,respectivement député socialiste et député du Parti républicain avaient fait remarquer que «le pouvoir en Algérie repose sur des hommes âgés malades, voire des malades d'arrogance».

    Ils ont également fait savoir au parlement Européen que «politiquement en Algérie, la question qui préoccupe l'esprit, et tous les esprits, est celle de la succession d'Abdelaziz Bouteflika, qui a été réélu en 2014, à la manière algérienne! sans faire de campagne électorale» et que ce dernier depuis qu'il a été transporté en France à la suite d’un AVC en 2013, il est difficile de dire qu'il contrôle toujours les décisions de l’Algérie.

    Par ailleurs, la publication mentionne que pour l’élite politique algérienne, l’avenir de l’Algérie sans Bouteflika est incertain. En 2015, quand l’ancien ministre français de l’intérieur Jean-Louis Debré, a rendu visite au président algérien, il a fait état d’une vision alarmante de la situation, affirmant que Bouteflika était « fatigué » et « essoufflé ». Global Risk Insights indique même que le premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal avait représenté Bouteflika, à plusieurs reprises, dans des réunions et sommets de haut niveau.

    Malgré ses capacités limitées, Bouteflika et ses proches travaillent pour présenter une image de robustesse, par contre le régime politique en place, n'a qu'un seul ordre du jour et c'est l'ordre du jour de la survie d'un pouvoir en difficultés.

    D’un autre côté, un des sujets importants que Bouteflika et son gouvernement ne peut ignorer est l'économie défaillante de l'Algérie.Des mesures d’austérité ont à leur tour poussé de nombreux algériens à prendre la rue et à manifester. En réponse, le ministre de l'Intérieur a menacé de «frapper d'un coup de fer, quiconque tente de déstabiliser la sécurité du pays. Les observateurs, qui ne voient aucun plan de transition clair, les algériens peuvent continuer de retenir leur souffle concernant l’avenir politique de l’Algérie. A ce jour, il ne semble y avoir personne qui soit prêt à tracer une nouvelle voie » 

    Flashs de dernière minute: (14/02/2017)

                                          Un Roi «actif» face à un président «paralysé»

              
                                               Le roi Mohammed VI       

    Une nouvelle tournée royale en Afrique subsaharienne devrait démarrer ce lundi 13 février. Au programme, pas moins de cinq escales, dont deux dans des pays qui n'ont pas toujours soutenu la première cause nationale, celle du Sahara.

    L’offensive algérienne reste aussi timide en raison de l’incapacité du président Bouteflika qui chauffe son fauteuil roulant, incapable se déplacer et aller à la rencontre de ses homologues africains, contrairement à un Roi actif capable d’effectuer des tournées de plusieurs jours à travers de nombreux pays africains.

    A cet effet, le Maroc se positionne désormais comme un pays « leader » sur la scène africaine. Il a longtemps, rappelons-le, privilégié ses relations avec les pays occidentaux, et se tourne de plus en plus aujourd'hui vers l’Afrique. Cela étant permettra au Royaume jusqu’à prétendre que l’Afrique est «le prolongement naturel et la profondeur stratégique du Maroc».

    Très actif, SIDNA enchaîne ses visites sur le continent. Lors de sa dernière tournée en Tanzanie, au Rwanda, Madagascar et en Ethiopie, plusieurs accords de coopération et d’investissement ont été signés.

    Et encore, le Souverain entame, dès ce lundi 13 février,probablement avec un léger décalage, une nouvelle tournée africaine qui devrait l’emmener au Ghana, en Guinée-Conakry, en Zambie, Cote d'Ivoire et au Mali. Cette tournée royale sera touchera notamment deux pays soutenant le Polisario, à savoir le Ghana et la Zambie que le Souverain  va les voir sans complexe ou gênai.

    Par ailleurs, n'importe quel observateur  peut insister sur le fait que c’est la nouvelle tournée Royale au Mali, est la plus déterminante, dans le sens où l’Algérie, ayant anticipé cette visite royale, a fait bouger ses services diplomatiques et de renseignement pour se «mettre dans la poche» ce pays.

    A contrario de ses manœuvres qui ne s’appuient sur aucun partenariat de développement réel, le Maroc devrait jouer la carte de la coopération dans les domaines socio-économiques et la visite royale sera l’occasion d’inaugurer un certain nombre de projets, dont un hôpital portant le nom du Souverain.

    L’Algérie à cause de sa position d'arrogance,s’ouvre avec retard sur ses voisins Africains. Cette Algérie, dont les échanges commerciaux avec les pays africains sont limités se comptant en quelques millions de dollars, adopte depuis quelques mois une nouvelle approche. Poussée par la baisse des prix du pétrole, l’Algérie, elle qui a uniquement droit au rêve, cherche à sceller de nouveaux partenariats. Elle tente d’exporter des « produits nationaux hors hydrocarbures » vers ces pays pour trouver d’autres revenus.

    Ainsi, depuis la réélection du président Bouteflika pour un 4e mandat, plusieurs chefs d’État africains sont venus à Alger. À ce titre, pas moins de 15 présidents  africains ont effectué des visites d’État en Algérie. Outre ces visites, des hautes commissions mixtes ont été organisées.

    Mais dans sa stratégie, l’Algérie n’a plus les mêmes atouts qu’il y a quelques années. Le pays n’a plus d’argent et croule sous les déficits. Les capacités de ses entreprises, publiques et privées, à se développer en dehors de l’Algérie sont très limitées pour ne pas dire inactives en quelque sorte. Elles ont déjà beaucoup de mal à satisfaire la demande interne pour  s'ouvrir ailleurs. On voit en effet très mal des entreprises comme Naftal, Algérie Télécom ou nos banques publiques partir à l’assaut de marchés africains. Pour les rares entreprises privées capables de telles aventures, il y a la réglementation de la Banque d’Algérie pour empêcher tout investissement à l’étranger.                                   

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                                   Tractation et blocage d'une démocratie naissante 

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    La démocratie, ce sont les valeurs. L’une des démocraties les mieux installées est en train de nous faire la leçon.Mr.Donald Trump élu président des USA, ne peut pas faire ce qu’il veut, malgré ses premiers pas d'imprudence sur l’immigration et sur le mur du Mexique, y compris au nom de la sécurité intérieure des USA.Ce qui se passe chez l'oncle Sam n’est pas anodin. 

    Il faut y voir un vrai réflexe démocratique. On croit souvent chez nous que la démocratie se résume à des élections libres et transparentes et qu’ensuite le gagnant est libre de ses actes. Chez nous c’est un vrai débat pour une démocratie en construction. 

    Ailleurs, hors frontière, on ne respecte point l'institution, ni la justice, ni l’administration, ni l’armée, au nom de la légitimité que confère le suffrage universel. Le barbu  égyptien Mohamed Morsi, le frériste  qui sort soudain de sa cendre, a fait le lit du coup de l’état de Sissi, et a donc ramené l’Egypte 30 ans en arrière, bafouillant la révolution de janvier 2011 par pertes et profits.

    Est-ce qu'une majorité élue peut imposer des restrictions à la liberté individuelle, consacrée par la constitution, à la régionalisation, aux questions identitaires au Maroc ?

    L’épisode que nous vivions avec Mr. Abdel Ilah Benkirane qui bloque la constitution du gouvernement, qui refuse l’USFP parce que Lachgar ne lui plaît pas, qui ne sait quoi faire avec deux milliardaires Akhnouch et Sajid qui viennent à l'improviste, lui mélanger le champs politique avec leur taux de change et de basse/hausse marrée des bourses. Mr. Benkirane avec ses aigles et pigeons inspirés par la souplesse des sièges de commande, mettent tout le monde dans un seul couffin, tous en simple chiffre d’équation dans le futur gouvernement Pjdiste.

    Les valeurs de la démocratie n'acceptent nullement pas de tenir ou pas, de parole avec quiconque devant les intérêts politiques, surtout si ce "quiconque" porte les tatouages du cyclisme, qui par coup malin, a réussi devant le laisser-aller, pour ne pas dire devant la stupidité de certains (Fassis, Casaouis et Merrakchis), à envahir le terrain classique d'un vieux parti politique national, tout en anesthésiant, par ses rayons, chaines et roue-libres, les héritiers de Si Allal.

    A mon avis personnel, tenir parole, c'est un acte individuel possible, mais hors politique. Il a fallu à Mr.Benkirane de garder une large marge avec un Chabatisme qui devient de plus en plus isolé et banni par les Marocains.. Tout cela nous pose de vraies questions. On nous disait avant, quand nous étions jeunes adolescents de quelqu'un qui ment ou qui fait le semblant? (c'est faux..pas important..c'est du politique..?)

    Je ne dis pas que Mr.Benkirane est menteur!, non c'est un apprenti en tractations. Il négocie avec des politiques portant les fourrures de loup, qui ont l'habitude de dissimuler, déguiser les vérités sur eux-même, même dans leurs propres fiefs partisans. Et je me demande,certainement comme beaucoup d'autres..Est-ce que le fait d’avoir 20% des voix permet de laisser le pays sans exécutif pendant 4 mois et plus? Est-ce que l’intérêt de la nation ne transcende pas ce pourcentage ? C’est un vrai débat, qu’il faut entamer pour en mettre fin cette mascarade, jamais enregistrée dans notre pays depuis mars 1963, la période de la floraison politique, dont l'acteur brillant était Ssi Abdelkhaleq Torris.

    Enfin, y aura-t-il un plan B? je le pense pas. Le principal est clair : le chef de gouvernement est bel et bien Abdel ilah Benkirane, il n’y aura pas de plan B conformément à la constitution et à la volonté Royale. Le déblocage est en vue pour la formation du gouvernement ? 4 mois après sa nomination au poste de chef de gouvernement, Mr.Abdelilah Benkirane réussira-t-il enfin à former une majorité gouvernementale ? C'est ce que nous souhaitons nous simples citoyens. Pas les politiques qui  lui mettent le bâton dans la roue.

    Mais il lui faut attendre 10 à 15 jours encore de plus.Ce qui signifie que les négociations pour la formation d’une majorité gouvernementale ne reprendront pas d’ici là en l’absence de deux responsables de partis. L'aigle c'est Akhanouch,l'autre c'est le canard aux moustaches et cheveux blancs, ne méritant pas le nom-pigeon, puisqu'il se cache derrière Benkirane pour gagner sa confiance. Pour tous, le temps monarchique n’est assurément pas le temps politique. Alors que le Souverain entreprend.

                                                 

    Maroc-Afrique: Ça y est,on y va,les Africains s’entraînent au Maroc...

                                          

    Le Royaume du Maroc, avec ses amis Africains, ne joue pas avec les mots, comme se fait au pays du bla-bla l'Algérie de "dignité et de fièreté" d'un certain Boutef. Notre pays passe à l'acte. Des manœuvres des armées.. Marocaines, africaines et américaines sont en cours dans la région d'Agadir, dans le cadre de l'AFRICOM.

    L'Africom, pour ceux qui ne la connaissent pas, c'est un commandement USA d'entrainement et de perfectionnement des armées amies des Etats Unis d'Amérique..L'Algérie des frivoles avait refusé des installation pareilles sur son territoire, sous prétexte "atteinte à sa souveraineté!?", le moment où on constate que cette "valeureuse souveraineté" est largement bafouillée par son terrorisme local, par les contrebandiers d'armes et de personnes qui agissent librement tout au long de sa frontière sud et sud-est.

    Dans la région d'Agadir, l'armée Marocaine a investi un nouveau champ destiné à l’entraînement de terrain et aux manœuvres avec l’armée américaine et les armées africaines, affirme le responsable du site des Forces armées royales (FAR).

    Ce champ comprend un terrain de bataille avec des mines pour former des soldats américains, africains subsahariens et Marocains.

    Les entraînements portent sur des exercices de commandement de l’armée sur le terrain, l’utilisation des armes, l’approvisionnement en carburant, l’accompagnement médical et vétérinaire, les opérations de paix,  entre autres actions.

    Ces opérations entrent dans le cadre de l’AFRICOM, le commandement américain en Afrique, une unité qui compte des forces unifiées sous la tutelle du département de la Défense américain et gère les opérations militaires américaines et les relations avec cinquante-trois pays africains, exceptant uniquement l'Algérie.

    Cette nouvelle étape coïncide avec l’ascension de Donald Trump, chef des armées américaines.`Le Maroc était en tête des cinq pays pour accueillir l’AFRICOM, en raison de sa position géographiquement stratégique proche du Sahel, du Sahara et des autres pays de l'Afrique du nord. Pour rappel,le Maroc et le Sénégal étaient réticents dans ce domaine. Mais nécessité oblige, après le refus, ils ont signé une convention avec les USA pour accueillir l’armée américaine et s’entraîner avec..

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    De l'autre coté algérien, l'armée Algérienne joue de ses muscles toute seule à la frontière avec le Maroc! On pleure toujours sur les ruines de la guerre froide. Ainsi pour désorienter l'opinion publique Algérienne de ses défaites diplomatiques et du blocage général qui sévit actuellement en Algérie, précédant la grande tempête qui n'attend que l’inhumation du cadavre vivant, le rabbin de l'Algérie Ramdane Lahmamra, ministre des Affaires étrangères, à l'instar de ses collègues au gouvernement, fait le semblant de pleurer et dénonce la campagne tendancieuse vécue par l'Algérie à l'étranger et la main étrangère qui ne cesse de s’ingérer dans les affaires de l'Algérie, visant la stabilité du pays?.

    D'autre part, le général bougre Gaïd Salah, chef d'état-major de l'armée algérienne, quant à lui, veut se positionner en perspective des élections présidentielles de 2019. Pour ce faire, il joue à fond la carte de "l'ennemi extérieur"!

    Il s'est à nouveau rendu au sud de Tindouf, pour marquer sa présence sur l’échiquier de succession de Bouteflika, ayant en réalité, pour objet, une sortie gratuite en mouvement, au moment où un nouveau crash d'hélicoptère vient grossir la longue liste noire des incidents touchant son armée, en particulier la carcasse de l'aviation militaire algérienne, relançant la polémique sur l'état déplorable des équipements achetés de Russie au "prix fort" mais qui, à défaut de bonne qualité et de maintenance, sont devenus vétustes et défaillants.

    A  rappeler que l'aviation algérienne subit, depuis 2001, une série de crashs. Classée 2e à l’échelle continentale, derrière l’Egypte, par le Centre européen des études stratégiques, au moins six de ses appareils se sont scratchés entre 2001 et 2006, et presque autant entre 2006 et 2014. C'est l'armée de Pharon qui s’abîmera pour la énième fois en cas d'aventure dans les sables de Hassi Beida et du Sahara Marocain.  

                                                               --                                               

    Flashs de dernière minute : (11/02/2017)

    Maroc-Usa : Administration Trump, une bonne nouvelle pour le Maroc.

                              

    Une nouvelle qui fera froisser la susceptibilité des Algériens. Une source diplomatique Marocaine, nous apprend sans équivoque,que l'administration Trump,contient désormais parmi ses experts 9  Marocains sur 11 cadres de confession juive existants, selon une liste publiée par le journal israélien  "Jérusalem Post".

    Les autres, en l'occurrence Mr.Davis Truman, l'avocat de Trump pendant une longue durée, possédant un appartement au quartier "Talbia" à Jérusalem-ouest, ex-ambassadeur Américain en Israël, une personnalité émettant des réserves contre le Royaume avec l'autre Mr.Johnson Green Bilat, ancien négociateur Américain au niveau international.

    Ces deux noms sont des militants acharnés en faveur d’Israël, ils ont une position hostile aux intérêts du Maroc, par crainte de se confronter avec son Roi qui refuse catégoriquement le transfert de la capitale Israélienne à Jérusalem en tant que président du comité "Al Qods".

    Effectivement, une confirmation ferme est faite, tout récemment au grand public, par le biais d'une lettre royale adressée par le Souverain à Mr. Mahmoud Abbas, le président Palestinien en marge des travaux du dernier sommet Africain tenu le 30/31 janvier dernier à Addis Abeba

    Quant aux autres sympathisants et juifs Marocains de l'administration Trump, ils n'ont pas la même attitude, ni le désir de se cacher, comme beaucoup d'autres réticents des administrations américaines précédentes", pour exprimer clairement leur soutien indéfectible à leur pays d'origine, le Maroc dans toutes ses dimensions et y sont pour consolider les relations bilatérales Maroco-Américaines, surtout en ce qui concerne l'armements et matériel de défense,refusant entre autres, de laisser faire et de voir une république fantoche dans ses provinces du sud.

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                         Maroc-UA : Le Maroc vu de la Namibie 

    Selon le journal namibien, "The Southern Times", 4 pays africains que sont, la Namibie, l’Algérie, le Zimbabwe et l’Afrique du Sud, ont combattu en vain, le retour du Maroc en UA. Mais le royaume les a vaincu grâce à son ‘charme irrésistible’                               

    En effet, vu de la Namibie, le Maroc a remporté la bataille de son retour à l’UA, grâce à sa grande force économique, construite au sud du Sahara, patiemment depuis une dizaine d’année et à travers un maillage très dense, d’entreprises, de services et d’intérêts.

    Selon le site du journal namibien, 4 pays précités, ont tout tenté, durant cette bataille à l’UA, pour empêcher le Maroc de la remporter, mais ils n’ont pu que constater leur faiblesse et leur impuissance face à un royaume qui a cueilli, à l’occasion de ce challenge, les fruits d’un long et profond labeur, qu’il avait entamé en Afrique subsaharienne depuis une dizaine d’années.

    L’Afrique, indique la publication, a découvert en son sein, une nouvelle puissance économique, aussi riche par l’influence de ses entreprises et ses banques, que par la force symbolique de ses actions humanitaires et de solidarité concrétisées par des hôpitaux militaires de campagne et des milliers de tonnes de médicaments et denrées alimentaires au profit des populations africaines nécessiteuses.

    Le fait que le royaume ait été l’un des rares pays au monde, à maintenir les vols de Royal Air Maroc, vers les pays qui étaient meurtris par l’épidémie d’Ebola, est un geste inoubliable pour les africains, souligne le journal namibien.

    Il a ajouté ‘’Le Maroc avait défendu sa décision en disant qu’il tenait à exprimer ainsi sa solidarité fraternelle aux pays africains et que c’était là le signe de son engagement constant pour l’Afrique. »’Il était inévitable que la majeure partie des pays d’Afrique allait soutenir la réadmission du Maroc à l’UA, étant donné l’intensité avec lequel, le royaume investit dans leurs économies.’’                                   

    En fin, le journal a rapporté une déclaration du président zimbabwéen, Robert Mugabe, et le sud Africain Jacob Zuma qui sont très hostiles au Maroc, sont rentrés  chez eux bredouilles reflétant le désarroi et le sentiment d’impuissance, du clan des pays africains formant l'axe auquel ils appartiennent, très peu en nombre, qui demeurent encore opposés au royaume sur le continent.

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                             MAROC-UA : L’AFRIQUE QUITTE ENFIN LA GUERRE FROIDE

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    Le Zimbabwéen Robert Mugabe, le président ivrogne de l'Afrique n’est pas d’accord avec le retour du Maroc au sein de l’Union Africaine et il ne s’en cache pas. Mugabe n’a pas hésité à fustiger les dirigeants africains qui ont massivement voté en faveur du retour du Maroc à l’UA.

    Le Zimbabwe, ainsi que l'Algérie et l'Afrique du Sud, s'opposent encore au Maroc tout simplement parce qu'ils soutiennent le Polisario. Ce dernier avec son sponsor Algérien avaient été combattus par le Maroc durant la guerre froide, ce Maroc qui a quitté l’UA tête haute après que l'OUA d'Edem Kodjo ait reconnu la rasd.

    Depuis les années 90, le Maroc a instauré des réformes dans le but de résoudre le problème du Sahara Marocain et de la région avoisinante. En 2007, le Souverain avait proposé une autonomie élargie à la région en tant que voie légitime et gagnante pour l'autodétermination à la Marocaine, continuant de faire sa part en développant la région du sud et en progressant dans l'institutionnalisation de l'autonomie pour le Sahara Marocain. en investissant en parallèle 7,6 milliards de dollars dans des projets d'infrastructure dans des villes du sud, y compris des ports, des aéroports, des autoroutes et des universités de recherche.

    Le Maroc est devenu le deuxième plus grand investisseur en Afrique, il veut exporter son expérience et ses succès dans le domaine agricole et dans les énergies renouvelables vers plusieurs pays africains et s'est même engagé à participer au financement de la délocalisation de certaines capitales Africaines. face à une Algérie en panne, qui n'exporte aux Africains que du bla-bla, pas plus.

    Concernant la sécurité, le pays a partagé son expertise des années de contenance et de préemption du terrorisme au Maroc et en Europe avec les pays africains et joue silencieusement un rôle de premier plan dans la résolution des conflits maliens et libyens qui menaçaient de déstabiliser, pas que les régions méditerranéennes et sahéliennes, mais aussi l'Algérie qui se trouve dans l'incapacité de sauvegarder ses frontières.

    Pour toutes ces raisons, l'administration Trump gagnerait à prendre note de ce changement et regarder de nouveau l'Afrique, non pas comme un continent qui a besoin d'aide, ou comme l'Afrique de Papa, mais comme un continent capable de stimuler sa croissance économique qui peut être un avantage pour les États-Unis et la stabilité mondiale.

    Aujourd’hui, cette nouvelle Afrique est un partenaire sur lequel Washington peut compter. Ce n’est plus l’Afrique de Mugabe et de Bouteflika mais l’Afrique de Mohamed VI, d'Alassan Ouatara, de Paul Kagame, de Macky Sall, d'Alpha Condé  et de Brahim Boubaker Keita,des leaders notables de l'Afrique qui ont choisi d’aller de l’avant.                                                              

    Flashs de dernière minute : (10/02/2017)

              Canal/Algérie efface le Maroc de la conscience Africaine                                                                    MohammedV1961

    (de g. à dr.), Modibo Keita du Mali, Ahmad Sékou Touré de la Guinée Conakry, Mohammed V du Maroc et Kwamé Nkrumah du Ghana, réunis à Casablanca en 1961.

    La chaîne publique algérienne Canal/Algérie a consacré une émission de 60 mn au 28e Sommet de l’Union africaine. le seul sujet à l'ordre du jour qui a largement occupé les invités de cette émission: Le retour du Maroc à l’UA. Ils ont refait l’Histoire à leur guise, ou plutôt en conformité aux lignes qui en leur étaient tracées pour dénier au Maroc tout rôle dans l’émergence d’une conscience africaine. Même si cette photo extraite de l'histoire vivante de l'Afrique prouve le contraire. 

    Il y a un complexe chez nos voisins de l’Est qui a pour nom le Maroc. Quand on regarde un quatuor, que la chaîne hissait en d’experts, s’exprimer sur une chaîne de télévision publique, financée par l’Etat algérien et tellement dit dithyrambique envers le régime que les Algériens la surnomment «Canal Boutef», on prend la mesure de l’ampleur de la désinformation et de la haine rageuse contre le Maroc.

    Alors que l’émission de 60 minutes a pour thème «Sommet de l’UA: quelles perspectives pour l’Afrique ?», les quatre intervenants ont passé le plus clair de leur temps à parler de la réintégration du Maroc dans l’UA. «Non, ce n’est pas une réintégration. C’est une admission», crie le plus enragé d’entre eux, le directeur de la publication d’un journal algérien. Pourquoi cette supposée précision? Pour dire que le Maroc n’est pas un membre fondateur de l’Union africaine et que notre pays n’a pas pris part à l’émergence d’une conscience africaine

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    Zambie : le Maroc est contraint de respecter les frontières de la Rasd.

    Alger ne digère toujours pas sa défaite au dernier Sommet de l’UA. Dans les coulisses, Alger continue de comploter, en effet, pour provoquer davantage le Maroc. Elle tente de pousser Rabat à accepter la visite d'un certain Joachim Chissano dans ses provinces du Sud, espérant embarrasser ainsi le Maroc. Alger, et Alger toute seule, espère faire ressortir cette carte déjà brûlée, car elle le considère toujours l'envoyé spécial de l'ex-présidente de la Commission de l’UA Dlamini Zuma pour le Sahara.

    Pour rappel, cet individu qui n'a eu de cesse de défendre les thèses d'Alger et de ses poulains du Polisario, n’est autre que l’ancien président du Mozambique, dont la mission a été postérieurement refusée par le Maroc et repoussée par le Conseil de Sécurité des Nations Unies durant ses derniers rendez-vous d'Avril sur la question du Sahara Marocain.  

    Le retour triomphal du Maroc dans l’Union africaine semble vexer les ennemis du royaume et de son intégrité territoriale. L’Algérie est ainsi occupée à comploter avec ses acolytes. Ses diplomates poursuivent d'ailleurs leurs réunions dans ce sens avec les quelques membres des Commissions de l’Union connus pour leurs tentatives de nuire aux intérêts du royaume profitant du temps mort qui les sépare de l'opération de passation des pouvoirs, prévue pour la mi-mars, entre leur Dlamini Zuma et le nouveau président de la Commission le Tchadien  Moussa Faki Mahamat.
     
    Les manœuvres d’Alger ne trompent personne. On vient d'apprendre encore que pour compenser sa défaite à l'UA, le rabbin d'Alger Ramdane Lahmamra ne chôme pas. Il a invité à Alger le ministre zambien des AE, Harry Kalaba, pour jeter de la cendre aux yeux des algériens en les faisant croire que sa diplomatie est toujours active.
     
    A l'issue de son entretien, voire de son pseudo-entretien avec Lahmamra,Le ministre zambien des Affaires étrangères est sorti à Alger pour exprimer le souhait de son pays que les frontières du "Sahara occidental" soient respectées et que le Maroc "ne perde pas de vue que la Sahara occidental est un pays membre de l'Union africaine (UA)", répétant ainsi devant la presse le même disque creux de la famille Zuma durant la période de parturition avant l'accouchement d'échec d’Alger et la validation de la réintégration du Maroc à l'UA

    Il a été poussé en plus, de rappeler que la rasd est membre de l'UA, soulignant que l'UA a été créée "pas seulement pour promouvoir les échanges commerciaux et la coopération entre les pays du continent, mais aussi pour imposer le respect de la souveraineté des Etats membres et de leurs frontières".

    Pour nous, ce n'est pas étonnant d'enregistrer ces deux coups de gueule de la part d'un ennemis pris de panique, à cause des coups de gifles qu'il a eu d'un prof en diplomatie silencieuse.

    Avant la déclaration du ministre Zambien qui recevra très prochainement son homologue Marocain à l'horizon d'une visite royale à la Zambie, on a vu la ministre des affaires étrangères kényane visiter Tindouf pour provoquer davantage le Maroc avant son retour à l'UA. Plus pire encore, le Sud-Soudan a voté contre le retour du Maroc à l'UA et ce juste à la veille de la visite Royale prévue à Jouba..

                                                            Les valeurs de tolérance

                        Morocco Western Sahara

    A noter bien..Ces deux conneries s'inscrivent dans la case normale pour un Monarque élevé dans l'atmosphère la plus pieuse dans son entourage. Il est porteur de la formule Chérifienne de ses ancêtres venus au Maroc du Mont 'Radwa', à youmbou'â Annakhil dans la péninsule arabique. Hassan Eddakhel, le premier chérif de la dynastie Alaouite répondait quand son père Abou L'kacem lui posa une question sur les valeurs de tolérance et de coexistence, avant de prendre sa décision l'expédiant, sur demande des pèlerins Marocains à Sijilmassa au Maroc.

    Remarquez-vous bien, la question était primordiale et décisive pour un jeune descendant de la famille du prophète (SAWS) qui aura à sa charge une mission très délicate. Une charge ayant trait à l'éducation de l'être humain, faisant apprendre aux gens les normes et les bases solides de l'islam et de la tradition prophétique, en l'occurrence : «Que feras-tu si quelqu'un te fera du mal ? Réponse.. Je distinguerai le bien du mal jusqu'à ce que mon bien vaincra son mal - سأفعل الخير الى أن يتغلب خيري على شره». (Je m’excuse à Molière si la traduction n'est pas conforme).

    Ce qualificatif généreux que porte Sidna s'appliquait, silencieusement, aux pays Africains ayant connu dernièrement les visites Royales et qui avaient des positions hostiles aux intérêts du Maroc.

    En exemple, le Sud-Soudan qui par la voix de son président Salva Kiir a déclaré,à l’issue de la visite royale, le jeudi 2 février à Jouba, je cite : «La question du Sahara est différente dans sa genèse et sa nature juridique et politique de celle du Soudan du Sud». Il a ainsi salué les efforts du Maroc en vue de trouver une solution politique à ce conflit

                 Flashs de dernière minute :(08/2/2017)                             

                                                                         Le président guinéen, Alpha Condé,

    Panafricaniste épidermique et nostalgique des AG étudiantes échevelées du Paris des années 1970, Alpha Condé s’est retrouvé en terrain familier pour son baptême du feu de président en exercice de l’Union africaine (UA), le 30 janvier, à Addis-Abeba.                                  
     
                              Aucun texte alternatif disponible.
                                                                    L'Union Africaine place la rasd à Tindouf   
         
    Entre la chute de l'économie due à la crise pétrolière, son enlisement militaire contre son terrorisme local et contre les soulèvements de la Kabylie au nord et  de Ghardaia au sud et les défaites de sa diplomatie, l'Algérie est en perte de vitesse, elle est presque arrivée à son "enfer". Ce qui ne l'empêche pas de voir ses relations diplomatiques avec le continent Africain se dégradent de jour en jour devant la progression remarquable d'une diplomatie Royale silencieuse.                                          
                                                          

                                                                     Jacob Zuma, déçu par  le retour forcé du Maroc

    De ce sommet «historique» qui a vu le retour du Maroc au sein de sa famille naturelle après trois décennies d’absence, les envoyers spéciaux de diverses tribunes racontent la genèse, le déroulement et les conclusions. Je m’attacherai donc ici à vous narrer, à la manière d’une pièce de théâtre, le huis clos du lundi après-midi, quand la demande d’admission du royaume a été discutée par nos chefs d’État dans une atmosphère passablement enfiévrée*.

    Il est 16 heures. Sur les 54 États représentés, 29 s’apprêtent à prendre la parole sous la houlette du président guinéen, maître de cérémonie aussi habile que sourcilleux et bien décidé à faire respecter la règle des trois minutes par délégation. Tous ont en main un document de dix pages que lit à la tribune, avec des gestes de pasionaria, une juriste angolaise du staff de Dlamini-Zuma, dont on connaît les sympathies pour la « cause » des algériens au sujet du Sahara Marocain.

    Autant dire que le ton de cette « Opinion juridique sur la demande d’admission du Maroc » est résolument hostile à ce dernier. « La présence du Maroc sur le territoire du Sahara occidental est considérée par les Nations unies et l’Union africaine comme une occupation », assène la juriste, qui évoque « la question du respect des droits de l’homme », celle de « l’exploitation illégale des ressources » du territoire, constate que « jusqu’ici le référendum n’a pas eu lieu » et se demande « s’il est opportun d’admettre un nouveau membre qui ne pourrait pas respecter les termes et conditions » de l’acte fondateur de l’UA.

    Agacé par le militantisme affiché de la dame, Alpha Condé lui enjoint de quitter la salle et de n’y plus revenir, afin de laisser place au débat – lequel s’annonce houleux.

    Le camp anti-Marocains – ils seront dix, sur vingt-neuf intervenants – sonne la charge. Robert Mugabe (Zimbabwe) : « Le Maroc doit nous dire s’il entend ou non respecter notre charte, qui proscrit l’occupation d’un État membre ! » Jacob Zuma (Afrique du Sud), approuvé par le Botswanais Ian Khama et par le Premier ministre du Lesotho : « Il y a effectivement problème, puisque le Maroc ne reconnaît pas l’un des membres de notre famille, la RASD. »

    Abdelmalek Sellal (Premier ministre algérien) : « L’Algérie est favorable au retour du Maroc dans la famille, sur le principe tout le monde est pour. Mais ce n’est pas qu’une affaire de mathématiques. L’article 42 de sa Constitution [lequel fait du roi le garant de l’intégrité territoriale du royaume “dans ses frontières authentiques”] doit être revu. Nous proposons la mise en place d’un comité pour discuter de cela avec la partie marocaine. Si elle accepte cette révision, on pourra tous dire “amen, amen, amen”. »

    Brahim Ghali, le pseudo-président de la RASD : « Le Maroc doit renoncer à l’article 42, qui l’autorise à avoir des prétentions sur le territoire de quatre pays » (sic).

    Clan pro-Marocains - Mr.Alpha Condé donne alors la parole aux pro-Marocains, dix-neuf s’exprimeront. Certains avec passion, comme le Rwandais Paul Kagame, le Ghanéen Nana Akufo-Addo, le Sénégalais Macky Sall ou le Comorien Azali Assoumani, qui fustige le « mépris » dont font preuve « ceux qui veulent revenir sur une décision que nous avons prise l’an dernier à l’unanimité ».

    D’autres en faisant appel à l’Histoire, tels Ali Bongo, qui rappelle que, lors de l’admission de la RASD à l’OUA en 1984, le Gabon n’était pas d’accord, mais s’est plié à la majorité, ou Denis Sassou Nguesso, qui estime que « deux États en conflit au sein de l’organisation, ce n’est pas nouveau » et que cela reste gérable.

    Le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn ferme le ban, avec une phrase empreinte de sagesse amharique : « Pour régler un problème, mieux vaut avoir nos amis à l’intérieur que de les avoir comme ennemis à l’extérieur. »

    Il est 20 heures, et Alpha Condé, qui sait où il veut en venir, feint de constater une impasse : « L’admission doit se faire normalement par consensus ; que devons-nous faire ? » L’Algérien Sellal tente une dernière salve : « Écoutons la voix du vieux sage qu’est le président Mugabe et prémunissons-nous contre des difficultés futures. Prenons le temps de dissiper tout doute sur les intentions marocaines. Vous-même, président Condé, vous êtes un sage, un “alpha”. Prenez une décision sage ! »

    Alpha Condé : « Il ne s’agit pas d’un problème de sagesse, mais de savoir comment nous devons fonctionner. Laissons les États décider ! » Jacob Zuma, indisposé : « La majorité mathématique n’a pas toujours raison, mais, bon, vous êtes le président en exercice et vous pouvez orienter les débats à votre guise ». Condé bondit : « Je n’oriente rien à ma guise, notre assemblée est démocratique, et c’est vous qui décidez ! Camarade Zuma, retirez ce mot. J’insiste. Retirez-le ! »

    Zuma s’excuse, estime qu’on l’a sans doute mal traduit. On a frôlé l’incident, ce qui a pour effet immédiat d’apaiser les esprits, comme si chacun prenait conscience d’une évidence : si dix États ont exprimé des réserves quant à l’admission du Maroc, aucun n’a osé formuler un « non formel».

    Après avoir sollicité un ultime tour deTABLE et constaté que ni Mohamed Ould Abdelaziz, de Mauritanie, ni Mahamadou Issoufou, du Niger, ni Idriss Déby, du Tchad, ni le Premier ministre du Mali – quatre pays en équilibre géopolitique délicat entre Alger et Rabat – ne souhaitaient prendre la parole, Alpha Condé saisit la balle au bond. «Je propose que l’admission du Maroc soit adoptée par consensus.» Jacob Zuma, désormais calmé : «Allons-y. Mais nous continuerons à nous battre pour trouver une solution au problème du Sahara occidental.»

    Applaudissements et fin du huis clos. Le lendemain, dernier jour de janvier, la famille émue accueillait en son sein un Roi qui avait à peine 21 ans lorsque son père décida de la quitter sa famille Africaine

    ALGÉRIE:TRUMP ANNONCE LA FIN DU RÈGNE DE BOUTEFLIKA

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    A la demande de l'Administration Trump, l'Institut de Washington pour la politique du Proche-Orient a réalisé un rapport sur la situation en Algérie, prédisant la fin du règne de Bouteflika et une succession contestée ou houleuse. Deux autres dossiers de la presse US confirment les inquiétudes.

    Les nouvelles en provenance des Etats-Unis au sujet de l'Algérie ne sont guère rassurantes. En une semaine, un rapport présenté à la nouvelle Administration américaine par cet Institut et deux dossiers de la presse américaine se sont montrés unanimes concernant l'imminence de "la fin du règne de Bouteflika" et une probable instabilité de l'Algérie entourant la succession du président-malade.

    "Bouteflika est confiné en fauteuil roulant et il est incapable de parler",note l'Institut avertissant que la "succession" du chef d'Etat algérien, auquel on a diagnostiqué un accident vasculaire cérébral en 2013, sera contestée ou houleuse, de la même manière que l'a été la situation dans les pays secoués par cette lame de fond nommée "Printemps arabe".

    Le rapport présenté par le directeur exécutif de l'Institut Winep et une experte en questions politiques et religieuses en Afrique du Nord, explique d’abord que l'Algérie avait échappé au "Printemps arabe" à cause principalement de la décennie noire". "En Algérie, l'un des principaux producteurs de pétrole et de gaz, où les souvenirs d'une guerre civile tout au long des années 1990 ont probablement supprimé l'appétit pour un changement radical cette fois-ci, le régime des personnes âgées et le président en difficulté a rapidement répondu aux rumeurs de dissidence en plongeant dans les revenus de l'Etat pour élargir les avantages sociaux et ainsi éviter les troubles plus larges", peut-on lire dans ce rapport.

    Il en ressort que si l'Algérie a jusqu'ici échappé à la forte secousse du "Printemps arabe", c'est grâce à la fois à l'achat de la paix sociale érigée par Bouteflika au rang de "politique d'Etat" et aux souvenirs atroces que le citoyen algérien a gardés de la guerre civile qui a marqué au fer rouge les esprits en Algérie, en raison de la longue procession de morts (260.000 victimes!) à laquelle a donné lieu cette guerre civile.

    Concernant le fonctionnement interne de l’appareil de l’Etat, l’institut américain estime d'abord que les appareils politiques et de sécurité en Algérie restent opaques, relevant toutefois que le pouvoir réside généralement de façon collective entre les mains des chefs militaires, d'agents de renseignement, d'hommes d'affaires et de politiciens"supervisés tous pour le moment par le frère du président,son conseiller fort au pouvoir.

     

                                 Flashs de dernière minute :(07/2/2017) 

                 كانت استراتيجية المخابرات الجزائرية هي البروباغاندا الدعائية الكاذبة التي تعتمد على تبخيس اختيارات المغرب السياسية والاقتصادية والاجتماعية بعنجهية التذاكي العمياء
                          Sa Majesté le Roi et le discours royal devant l'assemblée Africaine, le 31 janvier à Addis Abeba

    L'action de suivre l'argent permet souvent de comprendre les mobiles, plusieurs mobiles. Au sein de l'UA ce sont les opérations de la commission pour le soutien à la paix qui consomme plus de la moitié du budget global de l'union (62%).Cela explique pourquoi l'Algérie s'accroche tant au poste de cette commission depuis 1991.

    Un poste qui fut auparavant le fief de Ramdane Lahmamra avant sa nomination à la tête de la diplomatie algérienne. Et depuis il est occupé par le nommé Smail Chergui.(le chauve sur la photo), le seul d'ailleurs qui, sous l'effet de la défaite de son clan hostile au Maroc, s'est abstenu de saluer le Souverain à l'issue du discours royal, à l'instar, selon le système protocolaire de l'Union, du président en exercice de l'Union Mr. Alpha Condé, fraîchement élu et les autres présidents des commissions de l'institution Africaine y compris la Sud Africaine Dlamini Zuma avec toute sa haine et son hostilité envers le Maroc.

    Ce proche collaborateur de Lahmamra qui, rappelez-vous, était choisi pour achever vainement la mission dont elle était chargée la Sud Africaine Dlamini Zuma pour bloquer le retour du Maroc à l'UA. Mission échouée dans toutes ses dimensions, et soldée d'échec lamentable par le retour triomphale du Maroc. 

    Pourquoi cet avant-propos. Hé bien, c'est pour présenter au lectorat un autre volet dans lequel est impliquée l'Algérie. Durant les 33 ans d'absence du Maroc, l’Algérie a trouvé le terrain de bataille libre de l'OUA à l'UA actuelle,pour se comporter à sa guise, nager comme le souhaitait et sans maillot, bien sûr, dans les diverses commissions de l'institution Africaine. Elle mettait l’œil sur toutes les instances, soi par pression diplomatique soi par pétrodollar algérien qui trouvait le corps africain corrompu, fragile et facile à percer, même par une simple boite de cigares de la Havane.

    Pour découvrir davantage d'implications malencontreuses de l'Algérie au corps Africain.Nous constatons que le retour du Maroc au sein de l'Union Africaine a ouvert toutes les portes aux journaliste Marocains pour y aller dénicher le positif et le négatif de l'union et souffler, le cas échéant,dans le chaud et dans le froid. C'est ainsi, que la curiosité avait conduit l'un d'entre eux à pénétrer dans le coffre le plus fort de l'organisation que l'Algérie détienne son code-combinaison secret.

    Le choc du retour a éparpillé les règles du clan hostile au Maroc, en particulier les Algériens. L’œil magique de la curiosité médiatique a permis de voire ce qui se mijotait illicitement par les Algériens dans l'esplanade Africaine. Selon la première constatation, on révèle le pourquoi.. l'Algérie convoite tant la commission qui donne le plus de revenus à sa diplomatie et à sa propagande à travers le continent.

    Par leur finesse hypocrite les rabbins algériens se jetaient sur la commission la plus rentable et la plus publicitaire. La commission à la paix et à la sécurité et mettaient à sa tête  l'Algérien Smail Chergui.

    Les journalistes se plaignent de l'Organisation continentale Africaine et l'accusent de manque de générosité en chiffres disaient-ils. Ses rapports sont produits aux compte-gouttes et surtout diffusés de manière irrégulière auprès du grand public. Et ce n'est pas que par pur hasard qu'un rapport d'audit pour l'exercice 2014 et produit en 2016 est tombé entre les mains du journaliste.

    On découvre dans ce document que les dépenses de l'année 2014 ont atteint 630 millions de dollars et que l'Union Africains par le biais de cette fâcheuse commission  algérienne s'est permis de mettre de coté quelques 310 millions d'excédent sur les recettes qui s'élevaient à prés de 940 millions de dollars que pour cette année-là. (On dit : pas d'exclamation devant la rigueur de la raison).

    Sachant que le poste le plus budgétivore de l'Union Africaine est celui des opérations de soutien de la paix qui sont justement sous l'autorité du fameux Conseil de Paix et de sécurité de l'Union Africaine.Ce ne sont pas moins de 390 millions de dollars qui sont consacrés à ces opérations, soit 62% des dépenses de l'Union Africaines en 2014. C'est à dire 6 dollars sur 10 dépensés par l'UA passent indirectement à ce Smail Chergui qui est à la tête du pseudo-Conseil de paix et de Sécurité (CPS).

    Cela explique pourquoi depuis la création l’Algérie ne veut pas lâcher ce poste.Ce qui explique également pourquoi l'Agence de presse Nigériane faisait allusion à des achats de voix lors des dernières élections à la commission. 

    Pour comprendre tout le micmac autour de poste, il fallait suivre l'argent. Evidemment cela  permet aux algériens de faire d'une pierre de coups, puisque l'implication de l'Algérie au conflit du Sahara Marocain justifie qu'elle s'accroche tant au poste.

    Comment Smaïl Chergui a été réélu au Conseil de paix et de sécurité?

    Il s'est passé la chose la plus incroyable lors de l'élection de la commission de paix et de sécurité. Au Nigéria beaucoup n'hésitent plus à évoquer la pratique d'achat de voix qui a fait perdre Fatimah  Fakir Mahamat.

    Cela fait 5 fois que l'Algérie remporte l'élection de cette commission, généralement considérée comme la plus importante de ce qu'on pourrait qualifier de gouvernement de l'Union Africaine.

    A cette anomalie qui suscitait déjà beaucoup d'interrogations, se sont ajoutés des événements plus intrigants lors du vote qu'a eu lieu ce 30 janvier. L'information vient de l'Agence Nigériane  de Presse (NAN) qui donne plus d'explications sur les raisons pour lesquelles Mme Fatimah Fakir Mahamat, candidate nigériane n'a pas été élue.

    Le 30 janvier, les ministres des Affaires étrangères (ou leur représentant) ont procédé à huis clos à l’élection des commissaires de l’UA. À la tête du Conseil de paix et de sécurité (CPS) depuis quatre ans, l’Algérien Smaïl Chergui était candidat à sa propre succession. Après avoir éliminé ses cinq concurrents, il lui a manqué une voix pour l’emporter (il en a obtenu péniblement 35), ce qui aurait dû conduire à reporter ce vote au prochain sommet de l’UA, en juillet 2017.

    Au terme de ces élections entachées de fraudes, au déroulement plus qu'intrigant que l'Algérien Smail Chergui est finalement déclaré élu. On chuchote en fait, dans les coulisses de l'UA que l'Algérie avait fait tombé au piège le ministre Mauritanien des affaires étrangères, l'incitant à faire occuper le siège de Lesotho (vide) pendant le vote par une de ses collaboratrices qui aurait levé sa main en signe de vote à la faveur du candidat algérien.

    On était en droit de se demander, qui a acheté des voix? l'Agence Nigériane n'apporte pas de réponse.Or, tous les regards se tournent alors vers l'Algérie, qui en a l'habitude d'ailleurs dans de cas pareils, pour s'accrocher à ce poste, comme anguille à son rocher, pas pour servir les intérêts de l'Afrique, mais à cause de son implication au conflit de l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc.

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    Robert Mugabé, que la plupart des Zimbabwéens le nomme "coquille Khaddafi", doit se taire. Il ne peut donner de leçons quant aux valeurs de l’Union africaine, lui qui foule au pied toutes les valeurs de démocratie et de liberté, il doit balayer d'abord devant sa porte au lieu de critiquer le retour du Royaume du Maroc à l'UA.

    C’est la réponse cinglante d’un chef  de parti politique zimbabwéen à l'opposition, à la sortie médiatique du dictateur de Harare à son retour d’Addis-Abeba commentant le retour du Maroc au sein de l’Union africaine. 

    «Mugabé est le dernier à être qualifié pour donner des leçons de valeurs à l’Union africaine. Valeurs que lui-même jette aux orties chez lui» a qualifié Tandai Biti, leader du Parti démocratique du peuple à Zimbabwe