Maroc/Algérie: Pour qu'on oublie jamais la guerre des sables..
Le 1er juin 2016..:
Détournement à l'Algérienne..Un point noir en plus. Face à un avenir incertain, le régime algérien est au bord de l'implosion. Le compte à rebours de son effondrement est apparemment en cours.L'Algérie vient d’être cité dans une grave affaire de trafic d’or par un groupe de hauts responsables algériens.Un avion avec 1,5 tonne d’or algérien bloqué à Istambul. L'appareil, turc, transportant cet or appartient à la compagnie aérienne ULS cargo. Il est bloqué depuis des jours à l’aéroport Kamal Atatürk d’Istanbul, en Turquie.
Les documents présentés par l’équipage pour justifier le transport de cette marchandise sont falsifiés. Est-ce un autre scandale algérien de détournement de deniers publics ? Diverses hypothèses sont évoquées à propos de cette cargaison qui aurait comme point de départ le Ghana. Des informations parlent avec insistance d’un transfert d’or vers un pays du golf par l’Algérie.
L’atterrissage de l’avion transportant cet or en Turquie est du au manque de carburant. L’appareil était obligé d’atterrir en Turquie pour s’approvisionner en kérosène voire changer d’équipage. Mais d’autres sources, officieuses bien confirmées, indiquent que l’atterrissage était forcé. Ce qui a permis de découvrir par les services de sécurités turques que le bordereau de transport de cette cargaison très particulière n’était pas en règle.
Ainsi, les membres de l’équipage sont retenues à Istanbul ainsi que la tonne et demie d’or. Ils ont découvert que sur le papier les lingots d’or proviennent du Ghana à destination des Emirats Arabes Unies, ce qui est archi-faux. La véritable provenance de cet or est Alger, mais la destination exacte n’est pas connue pour le moment ; on parle d’un pays du golfe.
Trop de bruit pour rien. Pour camoufler ce nouveau scandale et orienter l'opinion publique locale algérienne vers d'autres préoccupations et sous l'applaudissement du général Said Chengriha, commandant de la 3° région militaire de Tindouf.,Les services de la propagande militaire algérienne viennent encore - via le site usurpateur du nom de " Agence Presse Service" (APS)- de récidiver et crédibiliser par la publication d'un communiqué signé Gaid Ahmed Salah, chef d'état major de l'armée algérienne et vice ministre de la défense. Il ne s'agit pas cette fois-ci des opérations infructueuses de ratissage contre le terrorisme, mais il s'agit toujours de l'ennemi Marocain qui guette et menace l'Algérie selon la conviction frivole des gouvernants algériens.
Ce communiqué qui est en fait libellé pour la consommation locale, apprend aux algériens que ce bougre-général s'est mis en déplacement forcé (le dimanche 22 mai) à Colomb-Béchar siège de la 3° région militaire de Tindouf pour faire entendre aux siens qu'il est venu pour, je cite :
«S’enquérir de la disponibilité opérationnelle des unités de l’Armée algérienne dans cette région et pour mettre en garde les ennemis de l’Algérie contre les lignes rouges (lignes de la presse jaune d'Alger) que personne ne peut franchir et que l’Algérie puisse demeurer […] inaccessible aux conspirations de ses ennemis».fin de citation
Pour faire trop de brouillard, et briser les rétroviseurs curieux dans cette affaire et faire pression médiatique sur l'opinion publique locale, la télévision algérienne couvrait la circonstance, sous la supervision des aides-de-camp du chef d'état major et montrait aux téléspectateurs algériens, pour les enrouler davantage, des séquences bien préparées de manœuvre, ou plutôt d’acrobaties, dit-on à "balles réelles" quelque part au sud Algérien et pas sûrement face aux frontières Marocaines.
Aucun journaliste indépendamment crédible ne peut vérifier ce que est en train de mijoter ce vieux soldat au monde et reporter la réalité aux consommateurs, tandis que tout passe en Algérie dans l'opacité professionnelle et propagandiste des autorités algériennes, comme c'est le cas du refus de recensement des réfugiés des camps de Tindouf.et de la mort clinique du président Algérien.
La source d'information ajoute, d'autre part, qu'en prévision de sa mise en retraite en septembre prochain ce général-bougre qu'on appelle "Aâmmi Salah" commence à ramasser ses affaires pour quitter le confort et aurait chargé à cet effet, son fils, le deuxième gâté de l'Algérie, de coordonner avec les services de douane à Alger pour fermer l’œil et laisser passer le butin sans faire de bruit. Etant le 2°gâté après le prince héritier, ce petit loubard profite des galons de papa». Pour lui et pour autres discrets «on a empêché les islamistes du FIS de s'emparer du pouvoir pour que les fils de généraux en abusent largement.
D'autres attribuent ce détournement, c'est une supposition comme les autres, à Ahmed Ouyahia, le chef du cabinet de Bouteflika qui aurait fuit l'Algérie avec sa famille pour s'installer aux cotés des autres algériens exilés à l'étranger. Seules les autorités Turques qui en possèdent le coté réel de cette spécialité algérienne.
Une Algérie en loques..En ce moment où l’Algérie se déchire davantage selon Louisa Hanoune, la présidente du PT (Parti des Travailleurs) qui dans diverses rencontres locales à travers l'Algérie, disait ceci : «Chaque jour, on confirme l’existence d’un pouvoir parallèle qui s’immisce dans tous les domaines (…) Comme si on avait plusieurs Premiers ministres ou plusieurs présidents », « On a constaté qu'un entrepreneur qui avait rencontré le ministre de l'énergie est ensuite sorti pour parler seul au nom du ministre de l’Énergie en annonçant une nouvelle orientation en matière d’hydrocarbures en Algérie».
La Secrétaire générale du PT a fustigé le patron du FLN, (Front de Libération Nationale) Amar Saâdani et celui du RND, (Rassemblement National Démocratique) Ahmed Ouyahia, qui ressemblent, selon elle, à «deux femmes mariées à un seul homme et qui sont continuellement en concurrence pour le satisfaire». «Ils se prennent pour les tuteurs du président de la République ! C’est strictement interdit de détourner les prérogatives du Président(…). qui a toujours voulu concentrer tous les pouvoirs à son niveau», a-t-elle lancé avant d’ajouter : « Ils ont dépassé toutes les limites ! Ils sont l’État, le président de la République et le peuple, c’est une dérive».
Elle ajoutait en historique : Que le DRS a failli dans la protection et la sécurité du président Mohamed Boudiaf, en chargeant un de ses lieutenants de faire le héro en tirant à -bout pourtant- sur son protégé. Il n’a pas su protéger son ex-patron Kasdi Merbah qui jetait l'éponge en rébellion contre la junte des caporaux Français, ni Abdelhak Benhamouda le syndicaliste qui dérange. Pas non plus les moines de Tibhirine, les bases de pétrole dans le Sud Algérien à Tigentourine -Ain Aminass, ni les employés des Nations Unies, ni le Palais du gouvernement en temps de Belkhamej. Cette direction n’a pas su bien protéger Bouteflika lui même à Batna où il avait été la cible d’une tentative d’assassinat. À son avis, le général Toufik aurait dû démissionner après tous ces échecs.
Elle interpelle directement le président Bouteflika pour « mettre fin à l’oligarchie » sur l’État. « Nous l’interpellons pour qu’il mette fin à cette oligarchie qui opère une véritable caporalisation de l’État, de ses institutions et de la vie politique. Nous l’interpellons pour qu’il mette un terme à cette dérive politique dangereuse qui est pire que le terrorisme ».
La patronne du PT ne s’arrêtait pas là, elle pointe du doigt Said Bouteflika, qu’elle considère comme étant le chef de l’oligarchie, lorsqu’il reçoit «des ambassadeurs et s’attable avec des responsables pour se substituer au président de la République ». Le président de la République tel qu'elle connait, ne peut jamais se départir de ses prérogatives et pouvoirs, s’étonne Hanoune qui accuse, ce qu'elle appelle "les oligarques" d’avoir enterré vivant le président de la République ».
Et moi j'ajoute à cela le coin sombre que le simple algérien peut ignorer en ce moment d'anarchie. Le pouvoir de Saïd Bouteflika, l'enfant gâté de l'Algérie se serait fortement érodé ces dernières semaines, indique une source algérienne digne de foi. Il a perdu de son influence pour plusieurs raisons. Il y a la nette dégradation de l’état de santé de son frère-président, la perte du soutien des autorités françaises ainsi que le discrédit total subi par son homme de paille Chakib Khelil qui retourne solennellement sur les lieux du crime contre la volonté populaire.
Ça passe ou ça casse..Regardez la vidéo, il est pris à partie. (http://www.impact24.info/khelil-pris-a-partie-a-annaba/) Laissons aux mosquées Algériennes, comme dit le type de la vidéo, leur sacralité et leur spiritualité loin des calculs, des prétentions et manœuvres politiciennes. Ce dernier a dit tout haut ce que beaucoup d'Algériens pensent tout bas; «si l'intention de ce revenant-fugitif était saine, a savoir celle de tout être humain de vouloir visiter une zaouïa et de se recueillir, en toute discrétion, il n'aurait pas eu besoin de tout ce tapage médiatique que lui réservait le clan Bouteflika.
Depuis le retour de Chakib Khelil en Algérie, certains n’ont pas hésité à le donner bien parti pour… succéder à Bouteflika et ses pèlerinages dans les zaouïas ont accrédité la thèse selon laquelle l’homme compte bien se donner un avenir politique. Une certitude, en attendant : sauf changement de dernière minute, ce Chakib Khelil sera nommé “très prochainement”, selon une source locale bien informée, en qualité de conseiller à la présidence de la République Algérienne. On ignore à Alger si cette nomination interviendra dans le cadre d’un remaniement qui touchera le gouvernement actuel et que certains observateurs donnent pour imminent.
En ce temps-là, le Maroc, Dieu merci est en position confortable. Nos FAR qui sont une armée professionnelle, ne sont pas hors de couverture de tout ça; ses aigles et faucons gardent leur sang froid et reportent, sans aucune négligence ou défaillance, leurs séances d"échauffement pour le pire. Et en parallèle, ils essuient puissamment leurs effets de travail, tout en limant avec une grande précision les couteaux nécessaires pour égorger, voire étrangler le cas échéant,toute folie en provenance de l'est et avorter, comme à l'accoutumée, dans son nid , toute aventure frivole d'une armée de hitistes et de toxicomanes.
D'autant plus, notre pays avance, à pas surs, vers le progrès et vers son avenir prometteur sous la clairvoyance de SIDNA que Dieu le glorifie.. Oui je dis bien SIDNA en plein bouche si cela vexera davantage la mentalité algérienne et je ne dirai pas autrement aux sales bottes d'Alger .
Pour l'occasion qui, pour moi n'a pas de charisme, par rapport à celle de Mohamed Ali Clay, je voudrais seulement dire à Mr. Khalli Hanna Old R'chid, président du Corcas (Conseil Royal Consultatif aux Affaires Sahraouies),: Voilà un "pion" de moins. de ceux qui restent encore dans le collimateur Algérien .
C'est Khalli Hanna, un des pairs et ami de classe de la génération de Tan Tan, qui dans une intervention radiophonique, dévoilait le surnom gâté de Mohamed Abdelaziz Lmarrakchi disant.. «On l'appelait hammati à toute récréation».Pour rappel Mr.Khali Hanna et ses pairs jeunes Sahraoui se sont bien alignés, dès les premiers jours de la marche verte, sur le bon chemin. Quant à Hammati lui, il a choisi d'autre destination épineuse pour se distraire, s'engraisser de prêt de la fraîcheur, voire de la saleté du "N'eila Z'zarqa wa L'harguouss", sécrété par les glandes sudoripares, qui suinte par les pores de la peau de sa future mairesse Khadija Hamdi qui lui mettait la main dessus, en le transformant en esclave "aux joues cicatrisées" au service de l'Algérie.
Un pion à l’échiquier ennemi reste un agent-traître à ses racines, quelque soit ce qu'on vient de dire de lui. Le journal électronique Algérien -Algériatimes- rapporte que Mohamed Abdelaziz Lmarrakchi a bien dit son dernier mot, alors qu'il était en train de mourir. Selon un de ses proches qui l'accompagnait en Amérique durant son dernier périple, qui s'est confié au journal Espagnole (Information), le dernier souffle de Mohamed Abdelaziz aurait été un sentiment de regret «Il regrette d'avoir trahi sa patrie le Maroc au profit de l'Algérie».Mais à quoi sert ce mot maintenant après quarante ans de tapage et de cavale?.. Il n'en changera rien, certes, du sort de celui qui a trahi sa patrie. De même, il n'est pas surprenant de le voir jeté au désert comme beaucoup d'autres, depuis Louali Mustapha Syed assassiné après avoir jeté l'éponge en 1977. C'est la particularité de l'Algérie).
Ce que je peux dire à cet effet, c'est que les algériens de la tribu (R'guibat LQAF القاف de Tindouf), la tribu du Caid Sennhouri est "Algérianisée" par la nature du fait accompli. A noter que ce Caid au dahir Marocain avait exprimé haut et fort la Marocanité de sa tribu qui lors du référendum d'indépendance de l'Algérie, incitant les habitants à indiquer sur leur bulletin : « OUI à l'indépendance, mais nous sommes Marocains. Cette tribu a enfanté après que des thuriféraires au pouvoir algérien et y sont malheureusement, les agents Drsistes les plus actifs et fidèles à la thèse algérienne; tels que :
Khadija Hamdi, Abdelkader Taleb, Brahim Ghali, Abdallah Lahbib, Mohamed Seidati, Mohamed Khadad et Med Lamine Old L'Bouhali, et Khatri Douh, pour ne citer qu'eux qui vont faire émergence pour s'emparer de l'héritage du maudit-défunt, sous la supervision, bien évidemment, des services secrets algériens. étant donné que tous les vrais Marocains-Sahraoui, fondateurs du front polisario ont regagné le Maroc et y sont actuellement des éléments actifs, soi en la qualité d'élus nationaux, tout échelon confondu, ou de hauts fonctionnaires et commis d'Etat, pour la promotion de nos trois régions du sud.
Je ne me mêlerai pas, non plus, aux pronostics sur l'avenir du polisario, tant que je ne suis pas spécialiste, je laisserai la parole aux experts légistes nationaux de la stratégie politico-militaire pour en analyser, développer et liquider cet héritage indésirable de Mohamed Abdelaziz suivant les critères de liquidation judiciaire sur lesquelles des fronts similaires, à travers le monde, ont subitement disparus à mi-chemin.
J'en profite d'autre part, pour parler «Algérie!», tant qu'elle continue à mobiliser trop de plumes et de médias, qu'il soit à l'intérieur ou à l'extérieur pour entacher l'image du Maroc. Dernier en date le documentaire polémique de la chaîne Française Fr3, sans citer les fourbies des crieurs publics de la télévision Algérienne qui en forment le principal comité de pilotage de propagande et déformation pour enrouler davantage leur opinion publique locale et personne d'autre.
Quoi qu'il en soi, pour beaucoup de raisons, le Maroc est le pays qui n'a pas droit à l'erreur, à la pitié avec l'Algérie officielle, tant qu'elle est toujours gouvernée par le reste (..) de la génération de la guerre froide, Ce Maroc connu pour sa cohésion et son absence de dissidence, doit agir fermement avec cette racaille.
Cela étant permettrait à la sagesse Marocaine d'avoir certes, un appui fort de plus par lequel, elle fera preuve comme à l’accoutumée, de son indulgence envers une société civile algérienne opprimée qui se cherche dans toutes ses dimensions. Nous Marocains, nous devons faire preuve de compréhension, nous aussi même si tardivement, d'une description, peu ancienne sur la particularité de l'Algérie, faite par un journaliste Marocain ayant vécu longtemps parmi les algériens, le moment où ce dernier était égaré, parmi d'autres, dans les couffins d'une bande de traîtres Marocains qui couraient vainement derrière de fausses promesses de l'ennemi, projetant réussir une révolution, par procuration, contre leur pays, le Royaume Chérifien de feu Hassan II. Révolution et fausses promesses de gloire, soutenues en grande pompe, en premier lieu par Abdenacer d'Egypte et en second par le duo algéro-libyen Boukhatouba/Kaddafi.
Si le général-bougre Gaid Ahmed Salah, chef de l'armée algérienne s'en vantait à Colomb-Béchar le 22 mai écoulé laissant entendre qu'il a, sous sa supervision, huit régions militaires pour défendre et sécuriser la frontières algérienne, en particulier la 3° région confinant le sud-est du Royaume du Maroc. Je suis contraint de contredire ce bougre-ex-caporal Français et de rappeler aux dingues qui le croient et apprécient ses allégations, que leur Algérie«est nulle» si on croit, voire nous devons y croire, un conte particulier d'un spécialiste de la chose algérienne, évoquant avec une grande précision, ce qui est celle qu'on qualifie vachement " Jazaer L'3izza Oul'Karama".
Ainsi, notre fameux journaliste portant le nom «Bahi» qui signifie en Tunisien "Bon", écrivait un jour, dans une de ses dépêches qu'il envoyait régulièrement de Paris au journal Usfpiste "attahrir", baptisé ensuite en " ittihad ichtiraki", que l'Algérie ressemble et depuis toujours, à ‹‹ une écurie ouverte ››, contenant dans ses remparts une grande majorité d'étourdis, de dingues et de je m'en'foutistes. elle est, selon ce journaliste, le pays qui n'en produit rien de concret et qui est apparemment composé de cinq portions géographiques de production infructueuse, en l'occurrence :
-Le Nord dit-on, jouissant d'une réputation peu civilisée (civilisation à l'Algérienne) profitant de quelques manufactures héritées de l'ère coloniale, il produit des articles locaux! (une production infructueuse parallèle à la production de l'autruche en politique étrangère de l'Algérie..) Mais quoi qu'il en soit, il n'arrive pas à satisfaire l'autosuffisance de l'Algérien.(on importe tout..sans tenir compte d'alibis des officiels concernant la fabrique et l'innovation "made in Algéria".
-Le Sud dont la majorité est constituée des terres Marocaines du Sahara Marocain Oriental spolié, finance le budget de l'Etat à 99 pc. et produit les dattes en particulier (deglat Nour), de la viande rouge, de la laine pour tisser L'bernouss et L'khidouss et les groupes folkloriques qui enfantent le genre de Amar Saâdani, le drabki de l'FLN et du pouvoir algérien.
-L'Est produit l'élite de commande, de gouvernance et accidentellement fait procréer un mélange d'hypocrites au clan d'Oujda qui empreinte de taches noires l'histoire de l'Algérie indépendante .
-L'Ouest se singularise en modes de distraction, il chante et danse tout en respirant la fumée des décharges, des grande décharges de l'Europe, des villes de France en particulier de Paris, Marseille et Lyon.
-Le centre, lui défiait le tout et détient les ficelles du milieu en produisant, silencieusement, l'esprit de dissidence et de terrorisme. Telle est la vraie description d'une Algérie qui coure derrière un leadership introuvable.
Tout récemment Mr. Abderrahmane Youssoufi, ex-premier ministre en la période d'alternance de la dernière décennie du siècle écoulé et l'ex-parrain de la radio pirate "Maghreb-Chou3oub" qui émettait d'Oran en Algérie incitant les Marocains à se soulever en rébellion contre l'autorité de leur pays et contre le régime du feu Hassan II (..) qui était condamné deux fois à la peine capitale et gracié par feu Hassan II, est revenu sur les lieux du crime pour rendre solennellement hommage à Rabat à ce journaliste dans son 40°anniversaire de disparition. C'est vrai, ce n'est pas surprenant au Maroc, notre patrie est effectivement clémente et miséricordieuse, comme le souhaitait dans son vivant le Roi génie, feu Sa Majesté Hassan II que Dieu ait son âme..
Dieu merci, le Maroc va bien, pas comme "le va mieux de Bouteflika". On a enterré tous les maux du passé par la création le 12 avril 2004 de l'IRE (Instance de Réconciliation et d’Équité). Une particularité Marocaine, une première au tiers du monde, par laquelle le Maroc a indemnisé toute victime ayant potentiellement fait l'objet d'abus d'autorité durant ce qu'on appelle "les années de plomb".
En parallèle Sidna que Dieu l'assiste ne chôme pas, comme veut imposer au Maroc la gauche extrémiste du genre de "Nadiba" Mounib, la poule Marocaine qui ne donne pas d’œufs et du cinglé du monde "avocato" Abderrahman Amro qui ronronne sans rien dire de concret. Les deux sont les principaux exclus de la société politique opérationnelle.qui constituent pour nous Marocains, l'équivalent de l'Algérienne Louisa Hanoune qui parle de tout sans rien donner et Ali Belhaj le N°2 du FIS dissout qui fait cavalier seul pour la refonte du pouvoir en Algérie.
Non le Souverain est parti loin de ça, vers tout horizon cherchant le progrès du pays et du peuple, depuis le discours Royal du 12/10/99 de Casablanca instaurant le nouveau concept de l'autorité et ne cesse de construire, ici et là, lançant même en périodes intempéries, les roues de développement et d'infrastructures de base, à la hauteur des attentes populaires en termes de progrès et de dignité.( INDH - Grands projets du grand chantier - fondations et soutiens de solidarité).
C'est ainsi, beaucoup d'énergies royales sont mobilisées pour faire du Maroc d'aujourd'hui un pays où il fait bon de vivre, ou du moins un pays où l'on vit mieux qu'il y a 15 ou 20 ans et où l'on vivra mieux à l'avenir, mieux que d'autres, même avec leur pétro-dollars, et ce grâce à la clairvoyance du Souverain qui, par abnégation, sans gaz ni pétrole, défie la nature, faisant tomber tous les obstacles susceptibles perturber éventuellement l'agenda Royal d'édification. A ce point les défis sont relevés, on est au bon endroit, au bon moment, avec la bonne énergie et beaucoup d'ambitions, d'autant plus on se reconnaît dans le triptyque que nous réserve l'exception Marocaine « Stabilité politique,Démocratie émergente et paix sociale».
En politique extérieure, le Maroc -Al hamdou lillah- est apte à se déclarer objectivement et en plein bouche «Une force régionale» avec tout le sens du terme, malgré la haine et l'hostilité de nos voisins de l'Est qui, par leur politique d'autruche¹, n'arrivaient et n'arriveront pas à trouver la sortie du tunnel de l'anarchie qui engouffre leur pays. (¹.pour se camoufler l'autruche, cache sa tête dans le sable, laissant son corps et sa queue en l'air. C'est le cas de l'Algérie).
25 juin 2016
Si aucun responsables turc ni algérien n’a réagi à cette étrange affaire, la sources d'information précise que ce sont les hauts responsables algériens, les services secrets de généraux, les plus puissants actuellement en Algérie qui sont derrière cette affaire, en l’occurrence, le général Athmane Tartak, le nouveau patron Drsiste, thuriféraire de Said Bouteflika et la sécurité militaire du général-bougre Aâmmi Salah, le vrai teneur actuel du pouvoir en Algérie. Ils en profitaient de l'anarchie qui prévaut au pays et de la vacance du pouvoir, pas pour trafic normal (à l'Algérienne)de devises, mais pour transférer 1500 kgs d’or.
Une opération de transaction boursière (moitié-moitié). Pour le premier, ça serait un gain-cumulé pour ses années de souffrance en retraite. Pour le second c'est le cadeau-hommage pour son départ en retraite prévu en septembre prochain. C'est peu selon un des observateurs curieux, puisque ce butin n'aura pas d'impact sur la réserve Algérienne en or qui s'élève selon l'estimation mondiale de 2015 à 173 tonnes et que le système "vole qui peut" marche bien en Algérie.
Pour connaitre mieux à qui nous avons affaire dans ce passage, je dois rappeler à mes lecteurs que cet ex-caporal de l'armée Française, en sa qualité actuelle de vice ministre de la défense et chef-effectif d'état-major de l'armée algérienne, par son comportement de vieux connard, il ne fait qu'annihiler toutes les lois militaires, ou plutôt, toutes lois en général en Algérie, qui ne lui conviennent pas, voire qui ne conviennent pas l'esprit d'un simple caporal. <C'est un militaire d'une génération qui a combattu à l'Indo-Chine dans les années cinquante du siècle écoulé et le type le plus fruste et mégalomane chez qui «sommeille le diable de l’aventure».
Les militaires algériens encore en fonction savent plus que d'autres que leur chef suprême suit cette voie lorsqu’il a «ouvertement engagé, à plusieurs reprises, l’institution militaire dans l’arène politique en soutien à la famille régnante et à l'heureux gâté de l'Algérie (Said Boutef) en particulier», créant ainsi « une grave contradiction qui ôte toute légitimité à la loi militaire» tenant à satisfaire les ambitions politiciennes démesurées et égoïstes de ses initiateurs».
On invente rien, c'est le général en retraite Khaled Nezzar,l'ex-chef d’état-major de l’ANP.(Armée Nationale Populaire) qui le dit dans sa dernière sortie médiatique, lui qui connait bien les coulisses de cette écurie militaire, dont en un certain moment, à la décennie noire au juste, il faisait le chef aux larges prérogatives. Lui qui n'était pas aussi conscient ni de sa responsabilité vis-à-vis de sa nation, ni du respect dû au voisinage avec le Maroc puisqu'il continuait d'appliquer, voire d'accentuait le degré d'hostilité avec notre Armée Royale et malgré son pouvoir et ses escarmouches, il ne pouvait porter atteinte ni à sa cohésion ni à son unité sous le commandement de SIDNA allah Inossrou.
Irrité par le projet de loi sur le devoir de réserve pour les généraux à la retraite risquant de limiter leur prise de parole, Khaled Nezzar s’est distingué ces derniers jours semblant également accuser le Chef d’État-major de posséder « la tentation de faire irruption dans les fonctions politiques suprêmes», à savoir devenir président de la République algérienne et lance même un appel à ses militaires à contenir des ambitions que Nezzar qualifie de «démesurées». Le général Gaid Ahmed Salah, est donc confronté à un sérieux dilemme! comment convaincra-t-il de sa sincérité alors que son nom est cité dans beaucoup d'affaires d'armement en plus de cette affaire de détournement d'or. D’où une absence de crédibilité qu’il tente de maquiller par le biais de ses déplacements très encadrés et très médiatisés et son recours aux régions militaires de son armée pour se refaire une virginité.
25 octobre 2015..:
Anniversaire de gloire et de revers..?. (gloire pour les uns, revers pour les autres).Chaque mois d'octobre de l'année marque l'anniversaire de ce qu'on appelle «la guerre des sables» survenue entre le Royaume Chérifien du Maroc et la jeune Algérie indépendante en octobre 1963.La guerre des sables 1963, une phrase, très rependue, prise par cœur partout, au Maroc et en Algérie. Pour les Marocains, c'est une étape historique de gloire de l'Armée Royale Marocaine dans sa première sortie en guerre. Pour l'Algérie c'est une défaite douloureuse,marquant l'amertume des Algériens, toutes générations confondues, et déclenche entre autres, le début d'hostilité de l'Algérie contre la générosité du Maroc dans une guerre qui a commencé très tôt, qui perdure et qui n'en finie jamais.
Cette guerre fratricide entre le Maroc et l'Algérie est toujours d'actualité : Une grande partie des Algériens et leurs dirigeants en ont encore la RAGE ! Aussi assez méconnue d'une grande partie des Marocains, et entraîne jusqu'à Aujourd'hui un conflit qui nourrit une course à l'armement, surtout par la junte militaire de l'Algérie. Une course coûteuse pour les deux peuples.
Ce grave revers subi par l'armée Algérienne, soutenue par l'Égypte de Abdenacer, revient malheureusement à l'esprit Algérien, chaque année, voire chaque instant de rappel avec un sentiment de faiblesse accentuant en parallèle la haine aux âmes algériennes malades, secouant en permanence l'esprit de vengeance chez l'Algérien. C'est du piment piquant qui fait tache à la gorge de l'Algérien et accompagne pour toujours l'ingratitude et l'arrogance Algériennes.
Pourquoi se rappelle-t-on de cette guerre aujourd'hui..? l'occasion était propice pour les journalistes de Rachid Nini qui vient de loin pour se tremper au journalisme, être le "journaliste-star" de tous les temps et de toutes les occasions au Maroc. Son journal papier "Al Akhbar" vient de publier, ou plutôt vient de reproduire, dans sa livraison de ce weekend n°897 du 17/18 octobre 2015 en rubrique "histoire", des conneries que je considère de <calomnies et de chicaneries> sur la guerre des sables, intitulant ainsi en première page, photo à l'appui :«Quand Hassan II décidait d'expulser 350 enseignants Égyptiens et faire cadeau du détenu Hosni Moubarak à Abdenacer?».A l’intérieur, deux pages (14 et 15) reproduisent les mêmes calomnies, déjà consommées par d'autres tribunes.
Le sujet n'est pas perplexe ou nouveau au traitement pour les pseudo-journalistes Marocains de ce fin du monde. il est ponctuellement évoqué en particulier par les hebdomadaires: Al Ayam, Nichane, Al Ousboue Assahafi <!>, les quotidiens Al Massae et aujourd'hui Al Khbar, sans parler des électroniques. Il constituait déjà la matière grasse à l'hebdomadaire "Al Ayam" de Noureddine Miftah qui s'est lancé au décryptage des circonstances de la capture de l'hélicoptère algérien en territoire Marocain, lors des batailles de la guerre des sables. Dans son édition n°358 du 02 janvier 2009 il reflète les investigation en l'objet de son envoyé spécial Youssef Bajaja.
-.L'envoyé d'Al Ayam au lieu de la circonstance, à Ain Chouater dans la province de Figuig, pas à M'hamid L'ghezlane comme disaient certains, n'a pas pu trouver et écouter le bon conteur, sauf accidentellement à Boudenib, le nommé Karzazi Lamari, un ex-Mokhazni du détachement du Makhzen Administratif du Caïdat de Doui Menia siégeant lors de l’événement à Boudenib dans la province de Ksar Es Souk, l'actuel Errachidia. Ce dernier n'était pas d'ailleurs parmi les Mokhazni pendant l'opération, le 18 octobre 1963 à Ain Chouater, dépendant alors du ressort administratif du Caid Seddik, il était soi endormis, étant l'heure de la sieste, soi à quelque part dans cette petite localité Marocaine frontalière. Ce Mokhazni retraité (promu Officier Karzazi par le journal de Nini) racontait ce qu'il avait entendu à l'époque comme beaucoup d'autres et accompagnait le journaliste sur les lieux en tant que guide.
-.Les grandes calomnies viennent du journal "Nichane" qui dans sa livraison du mois de février 2010 écrit en grande manchette à sa première page.."Le jour où l'armée Marocaine envahi la terre d'Algérie, pour dire :
a)Un jour d'octobre 1963, l'armée Algérienne avait tué une dizaine de militaires marocains et avait brûlé les corps de 3 d'entre eux, tout en occupant une zone pas loin de Oujda (Ville Marocaine). b)L'armée Marocaine avait écrasé l'armée Algérienne et était arrivée aux portes de la Ville Algérienne de Tindouf.
Ces dires ne sont pas nichane!! comme veut dire "directe en Français" le nom du journal. Pour contredire ou commenter les amalgames de ce journal, censé être le meilleurs connaisseur de la chose, vu que son fondateur (Bachir Znagui) a l'origine de Figuig, pas loin de l'Algérie. La nécessité exige la clarté dans des cas pareils pour ne pas tromper le consommateur de l'information. Ça ne serait pas, bien sûr, comme "le clair" de Mustapha ElKhalifi, le ministre Marocain de la communication, porte parole du gouvernement et je précise :
« 1)Les combats de cette guerre se sont produits au Sud-Est du Royaume loin de la ville d'Oujda et sa zone. C'est vrais l'ennemi essayait en vain d’ouvrir un deuxième front à l'Est du Royaume au niveau du petit village d'Ich-Figuig, mais nos FAR n'étaient pas loin pour l'étouffer à chaud.
2) Tindouf n'a jamais été une ville Algérienne,d'autant plus qu'elle n'est coupée du Maroc par la France qu'en 1953, pas en 1830 date de l'occupation Française de l'Algérie-Ottomane pour être purement Algérienne (!) fût rattachée au territoire de l'Algérie Française et puis elle est remise, sur un plat d'or, à l'Algérie de 1962 après une décennie ou presque d'occupation seulement»
-.Le fameux journaliste Mustapha Alaoui, celui qu'on dénomme, à tort, le doyen de la presse marocaine est tombé lui aussi dans les gouffres de déformation qui accompagnaient la description, hors déontologie d'une affaire de telle importance. Son hebdomadaire <Al Ousboue> avait publié un article au sens d’ambiguïté dans une édition hebdomadaire dans laquelle il présente le livre d'un certain Mohamed Louma, un Unfpiste revenant d'Algérie, tenant dans ses mains sa vision à lui, présentant de fausses interprétations sur les conditions et le lieu de la capture de l’hélico. Ce pseudo écrivain et chercheur a tenu à préciser, selon Al Ousboue, qu'il faisait partie du groupe dissident de Mehdi Ben Barka et Fkih Basri qui soutenait l'Algérie avec enthousiasme durant sa guerre contre le Maroc en 1963 où il était plus proche des fourbies de la presse propagandiste Algérienne.
-.Quant au quotidien "Al Massae", il consacrait son dossier hebdomadaire, édition 2427 du 16/17 août 2014 à ce sujet. Il revient sur les mêmes conneries que racontait Mohamed Louma, qui pour justifier et donner crédibilité à son récit, disait avoir eu les informations y afférentes, des informations rigolades d'un ex-officier du Cap1,baptisé aujourd'hui en DGED (Direction Générales d'Etudes et de Documentation) qui décrivent que l'appareil a été immobilisé par les habitant de M'hamid L'ghezlane dans la province d'Ouarzazat et "attaché avec ses occupants aux troncs de palmiers dattiers!". C'est rigolos de raconter ça à un monde de lecteurs très vifs, sa force est sa manière-intelligente de découvrir la moindre faille des journaux et des ingénieurs experts en informatique dans la grille d’araignée.
Si Rachid Nini est reconnu capable par beaucoup d'observateurs, de remuer les boues dans les baies politiques et de tirer sur ses cibles préférées, il ne pas pas faire de même dans cette affaire et raconter n'importe quoi dans la perspective de combler vacance et vide constatés après les vagues de campagnes électorales et l'achèvement des élections locales, régionales et conseillères de cette année. Son article demeure porteur de toute une série de procédés destinés à banaliser ses échecs en déontologie et à transmettre une certaine crédibilité à son journal, susceptibles de séduire le lecteur Marocain en particulier.
A mon avis, le fait de parler, de l'exploit des autres sans être acteur, laisse beaucoup à désirer. Si tout ça est " Kalam Guaranine" comme disaient les Égyptiens, le seul survivant, qui détient la vraie histoire de cette grande chasse d'un Maroc en guerre contre l'ingratitude des Algériens se trouve actuellement à Agadir, il s'agit de l'ex-Brigadier-Mokhazni Jabbari Youssef, originaire de la tribu «Doui-Meni3e» au sud-est du Royaume.
(Pour la suite, voir en "Pages jointes" en colonne gauche (Maroc/Algérie: Pour qu'on oubli jamais la guerre des sables..(2) Merci. Cordialement,Chihab25