Les réalités du Maroc, les chimères et déboires d’Alger, expliqués par les faits sur terrain

Méfiance durable : (nécessité oblige). Face au désarroi et lacunes persistantes qui plaident pour une incertitude en continue en Algérie, un essai clé en seul exemple pour comprendre les enjeux d’un conflit d'importance, créé par l'effet de tabac à chiquer (schéma) qui domine le quotidien Algérien!.
Pour meubler son espace créatif mensongère, l'Algérie cherche dans l'imaginaire de quoi se préoccuper, même aux petites acrobaties diplomatiques ne dépassant pas les disputes de distraction d'élèves au cour de récréation. Ses savants sont tombés sur une idée-pivot de merde. Créer une nécropole fictive, en devise élitaire, pour y appréhender les Algériens par le spectre d'isolement, dérobant en parallèle, l'aurifère provenant du pétrodollar.
Le Maroc même, ne donnant pas d'importance aux provocations du fou, est conscient du danger qui pourrait en découler de sa frontière-Est, se tenant bien en position de vigilance renforcée pour parer à toute éventualité, et se déviant de l'imprévu de ces malades mentaux d'Alger.
Sachant que l'Algérie rampe encore derrière la ligne de départ d'une guerre froide dépassée. C'est pourquoi, ses soi-disant gouvernants, chacun d'eux fait de son choix, devant couper les cordes attelant, la vache lucrative du gaz et du pétrole (Sonatrach) qui desserve, les lignes courbes diplomatiquement, irrégulières de «Compte chèque», menant à l'Europe, surtout à l'Ibérie et à l'Hexagone.
Or, Les succès de la diplomatie Marocaine et les déboires d’Alger, sont par coïncidence expliqués par le politologue Marocain Mr. El Moussaoui Ajlaoui.? le professeur Universitaire du droit international à l'Université Mohamed V de Rabat.
Ce politologue a cité, à titre d’exemple, le réchauffement des liens avec la Mauritanie, au point que certains milieux comparent ces relations à un axe Afro-Européen, reliant «Dakar - Nouakchott - Rabat - Madrid - Paris». Il rappelle, à ce propos, la visite privée au Maroc du président Chinois Mr.Xi Jinping. Son séjour a été transformé en une visite officielle avec une rencontre «A portée significative!» avec le prince héritier Moulay El Hassan».
Se basant sur des indications non confirmées officiellement, El Moussaoui Ajlaoui a par ailleurs évoqué un sommet tripartite, tenu récemment aux Émirats arabes unis, entre les présidents Emirati, Mauritanien et Sa Majesté le Roi. L’échec de la diplomatie algérienne s’est soldé par l'échec du renseignement de ce pays» par le rappel de son ambassadeur en Mauritanie et son remplacement par un chargé d’affaires.
C'était évidemment la politique de confusion d'une junte de frivoles qui ont provoqué en Algérie l'alerte de mécontentement populaire (Manish-radhi), le hashtag décent qui appelle à la chute du régime militaire et l’avènement d’un État civil.
Mr.Ajlaoui enfonce le clou encore plus, en rappelant la position du Mali contre l’Algérie, accusée «d’ingérence dans les affaires intérieures Maliennes en soutenant le séparatisme et le terrorisme au Mali». Le Mali ne veut plus d'accords avec Alger, qui ne remplissent plus les conditions de préservation de son intégrité territoriale, menacée par le terrorisme qu'enfante l'Algérie, à l'instar de son Polisalgérien contre le Maroc..
Selon le politologue, «la dernière déclaration du ministère Malien des Affaires étrangères a résonné comme un véritable camouflet», Bamako exhortant ouvertement le régime d’Alger à se concentrer sur ses ognons internes, en particulier sur la question sensible de la Kabylie et de M'zab de Ghardaya, et aussi autour des Awad en conflit avec le Mali.
Une voisine, pâlie, porteuse de merde!...Le Maroc brille par ses réussites diplomatiques par excellence. La diplomatie Royale de retenue parque des succès à tous les niveaux. Mais ce qui est sûr, c'est que les plus grands succès sont ceux obtenus dans le domaine de la clôture du dossier de la guerre que subit le Maroc depuis qu'il a rapatrié ses territoires du Sahara Marocain Occidental de manière pacifique en novembre 1975.
Prendre des initiatives, être fermes et proactifs. Sur cette base, le Maroc avait travaillé pendant des années, avec détermination et patience, et avec. une vision claire, utilisant tous les moyens et capacités disponibles pour faire connaître la crédibilité de la position de notre pays et ses droits historiques. «Et il est légitime dans son intégrité territoriale, malgré le contexte international difficile et complexe.»
Le Royaume s’est affirmé comme un acteur incontournable de la géopolitique mondiale. Les victoires diplomatiques ont jalonné toutes ses démarches d'Etat responsable, à commencer par l’adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de la résolution 2756, qui renforce le plan d’autonomie Marocain comme seule solution viable au conflit artificiel.
On y aura même vu quelques larmes versées du représentant de la dictature d'AlMouradia à l’occasion. Alors que d’autres hésitent à prendre position, Rabat avance avec calme et sureté, convainquant étape par étape la communauté internationale de la justesse de sa cause. Tout cela sous la houlette de Sa Majesté le Roi, dont la vision stratégique est une sérénité d’orfèvre. Ecoutons Mr. AJLAOUI
Témoignage et innocence...Le général De Gaulle déclara, le 16/9/1959, je cite : «Depuis que le monde est le monde, il n’y a jamais eu d’unité, ni, à plus forte raison, de souveraineté algérienne». Carthaginois, Romains, Vandales, Byzantins, Arabes syriens, Arabes de Cordoue, Turcs, Français, ont tour à tour pénétré le pays, sans qu’il y ait eu, à aucun moment, sous aucune forme, un État algérien». Ecoutons-le, lui aussi
Pourtant, l'homme politique Algérien Ferhat Abbas, qui fut le premier président de l’Algérie indépendante écrivait en 1936 : «L’Algérie en tant que Patrie est un mythe. Je ne l’ai pas découverte. J’ai interrogé l’Histoire; les morts, les vivants; et j’ai visité les cimetières, personne ne m’en a parlé».
La fausse histoire qui hante d’ailleurs un non-dit algérien, résumé d’une phrase par un autre Franco-Algérien Mohamed Harbi : «L’histoire est l’enfer et le paradis des Algériens». «Enfer» effectivement, car l’histoire montre que l’Algérie n’existait pas avant 1962. D’où ce complexe existentiel qui habite les esprits des dirigeants Algériens et qui interdisent chez eux toute analyse rationnelle.
En Algérie, oser simplement d'écrire que la nation algérienne n’existait pas en 1830 quand se fit le débarquement français à Alger, entraine ainsi immédiatement l’accusation de «nostalgique de l’Algérie française» ou de «partisan de l’OAS¹», donc la disqualification et la mise au ban. Le cas de l'écrivain Franco-Algérien Sansal en témoigne, guettant, surement en parallèle, l'autre journaliste franco-Algérien Farid Alilat, auteur de l'ouvrage «Un crime d’État». qui dévoile, entre autre, plus de crimes d'Etat commis par les ordres du Service Général de Casernes en Algérie.
Dans cet exercice de type schizophrénique, ils ont fait appel à la gauche française devenue par ethno-masochisme la gardienne vigilante du mensonge Algérien.
Une Mémoire aussi sale, pourquoi faire! : Depuis plus de six décennies, l’Algérie exploite la mémoire de la colonisation comme un levier politique, tant sur la scène interne que dans ses relations avec la France. Ce recours systématique à la «rente mémorielle et aux crânes» a permis au pouvoir d’Alger de détourner l’attention des difficultés économiques et sociales du pays.
Comme le souligne le journaliste et analyste Français François d’Orcival dans un éditorial paru dans la livraison de Valeurs Actuelles de , « la France a bien fait de reconnaître au Maroc sa souveraineté pour qu’Alger finisse par comprendre que ‘sa rente mémorielle’ était épuisée ». Cette décision marque un tournant dans la diplomatie française et envoie un signal clair à l’Algérie : le temps où les revendications mémorielles façonnaient la politique de Paris est désormais révolu.
En dépit des nombreux gestes symboliques et politiques effectués ces dernières années–ouverture d’archives, déclarations officielles sur les violences de la colonisation–Alger continue d’exiger des actes supplémentaires de repentance.
Une posture dénoncée aujourd’hui par de nombreux politiciens et responsables français, -France Insoumise de Mélenchon et le FN de Marine Le Pen- qui observent que chaque concession alimente une autre. Ce processus sans fin reflète l’incapacité du régime algérien à tourner la page d’un passé instrumentalisé pour maintenir une légitimité politique érodée.
«سلط الله عليهم سخط الدنيا قبل غضب الأخرة»
Attention à la marche...On invente rien à la rédaction du blog, on fait de notre mieux, pour combler le vide, au fait de préserver la crédibilité du blog et gagner la confiance et le respect du lectorat. Sachant en fait, que de l'autre coté, chaque année se termine mal pour sa diplomatie d'autruche, qui refuse, par entêtement aveugle, de reconnaître et d'accepter ses échecs et défaites face à l'intelligence de la diplomatie Royale.
Le Bon Dieu donne du répit mais ne néglige pas, il n’aime pas l'ingrat, ni le malfaiteur rodé au rythme de faux-voisins de l'Est. Pour les dissuader et les corriger au bien de l'ère, Dieu leur infligeait : («la damnation dans ce temps avant la colère de l'au-delà») par multiplier, en longueur et en largeur, de fils d'attente de «Deux km».
Oui, un chiffre record, selon un Algérien, connaissant bien ce qui se passe chez lui, là-bas, au cœur de la force de frappe d'illusions, de bousculades d'appréhensions et d'amertume. Là où les caporaux-pisseurs d'Alger oscillent, vainement avec insistance aveuglement accrue, entre effroi et désir de se venger les gifles, qu'ils ont subi, lors de la guerre des sables 1963 et de celles d'après au Sahara Marocain .Bonne lecture.
Cordialement, Chihab25
