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Un sale pouvoir - Page 57

  • Algérie : Anarchie totale..avenir flou..?

                                          

    عاجل.. : لقد نجح بوتفليقة في تسجيل خطاب قصير بالصوت و الصورة وهو جالس، قد يعلن فيه "ترشيحه أوعدم ترشيحه لعهدة رابعة"، وهذا بعد عدة محاولات فاشلة للتسجيل وإعادة التسجيل ومحو، جرت داخل قصر المرادية ، الخطاب يجري حاليا توضيبه (مونتاج) من طرف امريكان و طليان خبراء في الاخراج والمونتاج والفوطوشوب. للتدكير فالخطاب استغرق مدة شهر وهو يسجل كلمتين كل يوم..! فصحافة النظام الجزائري ما فتئت، لغاية في نقسها، تطبل وتهلل وتقول بأن بوتفليقة سيعلن يوم  26 فبراير الجاري عن مفاجئة للرأي العام الجزائري..؟

                                            

                                          ألآخ السعيد و المرشح الوحيد                     

    وتعتقد هيئة تحريرالموقع، أن تكون هذه المفاجئة هي «عدم ترشحه للرئاسيات وتقديم اخاه السيعد لتوريثه السلطة وقصرالمرادية» وسيكون بذلك إن شاء الله، الإعلان عن بداية حرب اهلية جديدة  في الجزائر، وعشرينية أو ثلاثينية حمراء، أقوى مما يصفونه بالعشرية السوداء..! واذا كان أي تصريح أو خرجة اعلامية تنفي مانعتقد في هذا الباب، فإن ذلك يدخل في مجال التمويه السياسي والتعتيم الإعلامي لتغليط الرأي العام المحلي من جهة ؟ ومعرفة رد الفعل لدى الطبقة السياسية في الجزائر وفي الخارج من جهة ثانية.. وكيفما كان الحال؛  فإن هذه المرة ؛ قد لا تسلم الجرة..؟ 

    يلاحظ من جهة أخرى أن الجزائريين يعيشون فترة احتقان وتعصب خاصة العسكر؛ وقد اشتد عليهم الحمق، بدليل أن حماق الحدود منهم أطلقوا النار مؤخرا على مواطن مغربي بضواحي مدينة وجدة  دون مبرر لذلك، واخرون اصيبوا بالسعار فوجهوا بنادقهم يوم(17.2.2014) الى مركز حدودي مغربي «ايت جورمان» التابع للقوات المسلحة الملكية بضواحي مدينه فجيج. إن هذا الوضع يتطلب ممن لازال لهم عقل في الجزائر أن يعرضوا نظامهم برمته على طبيب نفساني دولي ؛ليس لمعالجته فحسب؛ وإنما للحد من كوابسه لعل ذلك يجنب الجزائر دوامة اكبر مما هي فيه ألآن.

                       bateau Algérie1

    Arrêt facultatif..Avant d'exposer la saleté de la cuisine algérienne, je dois rappeler à mes lecteurs Marocains surtout, qu'avec la prétendue expérience diplomatique du nouveau locataire de l'écurie des affaires étrangères, et le jonglage du Maestro Sellal, le commandant en chef de l’exécutif algérien, l'Algérie "n'a pas réussi à faire fléchir la position française" en faveur du plan marocain d'autonomie, contrairement à l'interprétation "erronée" faite par les autorités algériennes du contenu de la déclaration commune ayant sanctionné la visite du Premier ministre français, Jean-Marc Ayrault à Alger les 15/16 décembre 2013.

    Que les paroles mensongères les plus niaises des officiels algériens, que nous sommes contraints d'entendre constamment, nous restent collées malheureusement à la cervelle, malgré notre non-envie de les garder à l'esprit. Elles reviennent par compulsion, par état d'un jour à l'autre, sans explication. Elles partent aussitôt pour ne resurgir qu'au moment où  les décideurs de la politique algérienne en veulent désorienter, par temps intermittent, leur opinion publique et les curieux observateurs. Quelle horrible sensation pour l'Algérien de se sentir traversé par quelque chose dont il n'est pas fier et qu'elle est peut être amenée à le caractériser en divagations !

    Aujourd'hui à la rédaction, nous ne sommes pas devenus mélancoliques à en parler des algériens et de leur mauvais temps, non, mais présenter aux lecteurs assidus du blog une modeste analyse de quelqu'un qui ne veut pas du bien, certes  à son voisin ingrat. Une analyse qui déplaira sûrement le lecteur algérien engagé par force du boulot ou par curiosité, pour suivre avec la ponctualité de caserne, les notes et  articles de ce blog. C'est une autre histoire de la chose algérienne. dont je vous laisse suivre ce nouveau court-métrage et l’apprécier sur l'anarchie qui sévit chez les "hommes au nez" qui ne sentent que la pourriture qui les entoure, car je ne l'ai pas trouvé en qualité satisfaisante qui puisse s'intégrer à la bonne note.

    Rechute ou assurance?..Après la  provocation d'Abuja, Alger joue l’escalade. Il y a un agenda algérien: celui du mois d’avril prochain pour l’élection présidentielle. Et puis il y a tout le reste, qui nourrit l’opacité la plus totale. Des interrogations de fond qui, pour l’heure, n’ont pas de réponse. Et d’abord celle-ci: que fera Bouteflika? Personne ne le sait, l’intéressé lui-même n’ayant pas la maîtrise de la réponse. Sa santé est plus que chancelante: elle relève de l’incapacité à terminer son mandat actuel ou à assumer un autre.

    Dans toute cette polémique, personne n'osait dire que Bouteflika est de nouveau dans un état de santé plus critique dans sa dernière phase..? Une grosse hypothèque pesait sur le déroulé de la vie politique en Algérie. Les images publiques du président, bien rares et contrôlées, voire montées et truquées à l'Italienne, montrent un homme qui n’est pratiquement plus en état ni de parler ni de marcher. Mais il est là, comme pour bien montrer aux algériens que la continuité institutionnelle est assurée.  Cette panne capitale qui intervient dans un moment crucial pour les algériens, suggère au moins deux lectures: Soit, Bouteflika a eu véritablement un autre pépin de santé lui qui n’est pas encore sorti de sa convalescence, ou alors qu’il veut prendre à contre-pied ses éventuels adversaires. Dans les deux cas, il est tout à fait grabataire au palais d'ElMoradia comme à la résidence familiale de Jnan Mufti à Alger.

    Une situation bien réglée et chronométrée sur la même longueur d'ondes du FLN, le parti unique qui gouverne l’Algérie depuis son indépendance, un groupement de vieilles hyènes qui  "par ordre de mission, voire par entente directe avec (l'heureux-gâté) de la présidence" se lançait en avant-garde dans l’échiquier politique algérien, mobilisant pour la réussite de sa mission électorale prématurée de la présidentielle, tous ses ustensiles de cuisine permettant de préparer, à l'honneur des algériens, des dingues algériens je veux dire, «une tarte politique aux arômes de chemma-extra». A propos, la "Chemma" est méconnue chez la majorité des Marocains à part chez les Oujdis. Le metteur en assiette de cette soupe est bien le chef-cuisinier Me. Ammar Saâidani qui, malgré les aboies et l'opposition d'autres thuriféraires FLN à leur tête Abderrahman Bel Ayatt, fût importé spécialement d'Oued Souf, décapitant la troupe folklorique Abdallah Menaiï et réquisitionné pour la circonstance et pour l'échéance par la famille en règne, pas pour donner du renouveau au FLN, mais uniquement pour honorer la maison présidentielle en avril prochain par chants et danses folkloriques du sud/est algérien.

    Le Manager-traiteur de la famille gouvernante en Algérie se sentait épuisé et arrivé à ses fins après avoir essayé durant les précédentes courses présidentielles,  tous les  jockeys et le savoir-faire, du top-chef cuisinier Abdelaziz Belkhadem, et de son menu d'un berger-brut (عروبي) venant d'Ouargla , dont la validité de consommation est périmée du fait que l'effet de tous les ingrédients expirait lui aussi au lendemain des échéances 2004/ 2009. Pour en tenir encore le coup, il a fallu au Manager d'user de ses moyens, faire de son mieux et renouveler le contrat, même avec le diable, pour reconduire, voire maintenir au fauteuil de commande le fameux mort-vivant, même si celui-là reconnait  en public que "Tab Jnanou".

    Cependant, l'ingratitude algérienne doit normalement, dans ces circonstances, rendre hommage au frère-Raiss..On est devant un leader national de par son parcours et ses positions, même si celles-ci déplaisent parfois ses amis ; Et non pas par l'image éphémère qu'on cultive de soi-même via l'ultra médiatisation de ses quelques réalisations, passées pour des exploits gigantesques aux yeux du bon peuple Algérien et de l'étranger complaisant, une projection d'image du "Raiss" que celui-ci, se fait de lui même et que le temps est à même de démolir comme un château de carton. 

    Cet enfant légitime du système, héraut et héro de la diplomatie algérienne des années 70/80, roula sa bosse dans tous les rouages de l’État, son point fort ; C'est qu'il connaît mieux que les autres, toutes les faiblesses du système en se déguisant aux habilles de son maitre-parrain le maudit-diantre Houari Boumédiane.

    L'incertitude du plan politique....Il semble bien que tout le monde soit encore dans le brouillard tant il est vrai que les acteurs politiques Algériens n’ont pas encore de grande visibilité quant aux événements à venir en Algérie. Et le rapport des forces fait que chacun balise son périmètre tout en tentant de se prépositionner dans une posture favorable. Il faut rappeler en effet que c’est l’armée qui est -et reste- la colonne vertébrale du régime depuis un demi-siècle. Le pluralisme partisan a été institué par feu président algérien Chadli Ben Jdid à la suite des événements d’octobre 1988 d’Alger, mettant fin au système du parti unique imposé depuis 1963. Mais il n’exprime que les intérêts de clientèles, de réseaux et de lobbies. Le pouvoir, lors des scrutins présidentiels qui se sont succédé tout au long des décennies écoulées, n’est jamais remis aux enchères, il est seulement ré-articulé et reformaté suivant les conjonctures, sans remettre en cause le statut originel: celui d’une armée de "soldats-généraux" se prévalant de la “légitimité” de la lutte pour la sauvegarde de l’indépendance de l'Algérie. 

    Cela dit, comment ces généraux se préparent pour 2014? Difficile pour eux d’optimiser leurs cartes quand tant d’incertitudes sont réunies à cette échéance du mois d’avril prochain. Pas commode en effet de se positionner avec des paramètres indéfinis: Bouteflika le président est hors jeu certes. Son frère Said qui donne aujourd'hui les instruction au nom de son frère, derrière les coulisses,  manipule le général Bougre, Gaid Ahmed Salah, chef d’État major de l'armée et insiste  pour neutraliser le DRS, limoger le général Toufik en le décapitant par la mise en retraite de cent de ses obligés Officiers supérieurs.  La presse algérienne d'opposition rapporte aux algériens que certains de ces officiers supérieurs refusent leur mise en retraite proportionnelle prématurée et sont accusés d'insubordination. c'est-à-dire désobéissance militaire qui leur coutera le passage forcé devant le tribunal militaire de Bleida "pour faute grave ".

    Selon Algériatimes, les généraux Jebbar, Khamane, Hassan du DRS placé sous contrôle judiciaire par la justice militaire, Othman Tartag qui refuse être gouverné par un handicapé, et le colonel Faouzi, ont été écartés  de l’armée lors de la réunion de la Commission spéciale de sécurité lundi 13 janvier dernier. Cette réunion a été présidée par  le général bougre Ahmed Gaid Salah le chef d’état-major en présence du général Toufik, chef du DRS et des chefs des régions militaires. Ils sont  les premiers boucs émissaires dans cette turbulence qui secoue le pouvoir algérien et son armée.

    L'entourage de Bouteflika, les frères et les amis rentiers de la famille bossent jour et nuit  et y sont à pied d’œuvre pour sécuriser le passage et la réussite du candidat consensus qui portera le profil présidentiel acceptable. L’État major de soutien qui se compose du général Gaid,vice ministre de la défense, Ammar Sâidani, le nouveau Drabki du parti FLN, Abdelmalek Sellal le premier jongleur de l’exécutif, Tayeb Belaiz, ministre de l'intérieur, formant le comité-quadroika de manipulation aurait conclue au cours d'une réunion de famille à la résidence de Bouteflika  Jnan Mufti dans les hauteurs d'Alger qu'il est de l’intérêt général de proposer à la présidentielle d'avril prochain le Dr.Said Bouteflika, le frère héritier de Abdelaziz  étant donné que le président est dans un état critique de santé ne lui permettant pas de se représenter à cette date pour un quatrième mandat? En plus il n'y aura pas de révision constitutionnelle allongeant de deux ans le mandat quinquennal qui est le sien? Si tel n’était pas le cas, quel peut être jusque-là, l’hypothèse de travail qui tenait le plus la route vers le palais d'El Moradia d'Alger avec moins de  risques? une question qui reste suspendue..On saura bien dans les mois à venir.

    Le portrait–robot qu'on retient officiellement aux yeux de la classe politique et des masses populaires Algériennes était plutôt celui d’un ancien Premier ministre –c’est une exigence d’expérience gouvernementale requise. La “liste courte” habituelle comprenait, par ordre décroissant de faisabilité, des personnalités comme Ali Benflis, Ahmed Benbitour,  qui ont annoncé officiellement leurs candidatures, les autres candidats- comparses, comme Mouloud Hamrouche, Abdelaziz Belkhadem sélectionnés pour jouer le rôle de figurants dans ce court-métrage attendent, parce que la décision ne leur appartient pas –elle procède du petit cercle des généraux, les subordonnés directs du chef d'état major pro-Taflikien qui négocient derrière les coulisses à l'insu de leur grand bougre général de corps d'armée.

    Équation politique inchangée..Quant au général Mohamed Médiène, dit “Taoufik”, le patron du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS), la restructuration de l’appareil sécuritaire intervenue dernièrement par le mort-vivant au fauteuil roulant, n’a pas réduit ses périmètres et paramètres d'action. Mais le plus intéressant, c’est qu’il a déclaré, le 12 novembre dernier, à Oran, devant un cercle d’amis et de notables, dans un grand hôtel, qu’il se porterait candidat à l’élection présidentielle en 2014. Il a même précisé à Tlemcen qu’il engagerait sa campagne, sous le slogan: “Armée et peuple contre la violence et la corruption”. Il a aussi souligné les axes de son programme qui s'incarne dans la littérature DRSiste.                           

    Que le patron de l’appareil sécuritaire le plus important sorte de l’ombre et fasse état de sa candidature au scrutin présidentiel, a laissé perplexes tant les observateurs que la classe politique algérienne. S’agit-il d’une posture pour reprendre la main et faire pièce au clan présidentiel dirigé par Saïd, frère cadet de Bouteflika? Surtout que Toufik est malade lui aussi depuis des années et qu’il a soixante-quatorze ans.

    Absence de projet de société..L’équation politique n’a pas changé, quelles que soient ses variations successives: par-delà les institutions en place, la décision finale appartient à un noyau de petits généraux, moulés dans un même corps, pétris par ce que l’on pourrait appeler une culture d’entreprise. Celle-ci est adossée à un système rentier, tant en termes politiques qu’économiques. Ses figures de premier plan sont toutes septuagénaires, même si les départs à la retraite forcée se sont multipliés. Il n’est pas en mesure de se réformer en profondeur parce que c’est une question de survie et d’intérêt de toute la junte.

    Le Printemps arabe a épargné l’Algérie, parce que le peuple avait été marqué par la décennie sanglante du terrorisme, qui s’est soldée par plus de 200.000 morts et 20.000 disparus. Mais l’immobilisme et la gestion sécuritaire du statu quo ne sont plus tenables compte tenu du passif existant dans tout les domaines. Le plus grave est sans doute ailleurs: l’absence d’un projet de société. Le discours officiel n’est plus audible –il a tant promis! Aucune perspective d’espoir n’est crédible. L’économie de rente générée par un statut hégémonique au sein du pouvoir donne à la mafia des généraux des positions imprenables. Pour l’instant... La coupure s’est creusée entre la société et le pays et le processus à venir n’est pas prévisible.

    Mais le régime fonctionne aussi suivant une autre logique: celle de l’altérité avec le voisin de l’Ouest, le Royaume du Maroc. Dans l’univers politique –et idéologique?– des généraux, le modèle Marocain, tel qu’il est et tel qu’il avance, n’est pas acceptable par un pouvoir autoritaire qu'il soit militaire ou déguisé en civil : il illustre en creux l’échec d’un demi-siècle d’indépendance algérienne. Avec la question du Sahara insérée dans une culture de conflictualité récurrente, les autorités d’Alger fabriquent à bon compte un rival, souvent assimilé à un ennemi, confirmation faite tout récemment par Farouk Ksentini, le nouveau cireur du pouvoir. C’est évidemment un leurre, mais cette mythologie pseudo-nationaliste reste la dernière boîte à outils d’un régime finissant, incapable de se réformer et de s’engager résolument dans une véritable démocratisation.

    Par contre, la tension monte en Algérie à l'approche de la présidentielle, sur tous les plans, la situation se dégrade davantage, les bruits courent sur l'immobilité de la situation , les doutes s'affichent de plus en plus. Alors que la population Algérienne attend d'être fixée quant à l’élection et aux candidats, elle s'inquiète aussi, plus largement, de l’avenir de l’Algérie, où la situation sécuritaire, économique et sociale se détériore. Le tableau est noir, laisse présager une année très agitée qui rend la classe pauvre plus vulnérable, comme le témoigne cette pauvre femme de Saïda à l'ouest Algérien. Témoignage qui s'ajoute à celui, il n'y a pas longtemps, de l'autre vieille femme algérienne au "regard profond désespérant".(note : Algérie; Panique et ambigüité, "attention un  président périmé!" du 26/01/14).

    Nous Marocains, nous disons simplement à cet ingrat Ssi Bouteflika qu'il a drôlement organisé la chute de l’image de l’Algérie dans le monde , mais plus encore, auprès des libyens car il s’est allié avec Kaddafi, auprès des tunisiens car il s’est allié avec Ben Ali , auprès des Syriens se cantonnant aux cotés de Assad, et auprès du MAROC car il a créé et armé la bande terroriste polisario contre le Maroc et contre la générosité des Oujdis qui l'ont élevé chez eux, le moment où il jouait, pieds nus, devant "Bab Sid Abdelouahab"  et aussi l'arrogance et l'ingratitude l'ont poussé à se déguiser en habilles de son maitre le maudit Boumediane que la malédiction de Dieu soit sur lui? .

    Bref même le diable en personne n’aurait pu faire ce que Bouteflika, son entourage, avant lui son parrain le maudit Boumédiane et la junte militaire qui y en suivie, ont fit au Maroc Bouteflika toujours levé sa main pour intimider la Maroc en se targuant de la soi-disant force de l’Algérie et de sa propre force parfumée de la mauvaise odeur de son Chemma..

    C'est les dingues qui croient aux bluffs.. Les algériens sont convaincus que leur président est en mesure de "dresser et redresser" les mauvaises situations qui surgissent,d'un moment à l'autre, en Algérie.. Ils croient vraiment que Bouteflika a sonné la fin des hostilités entre Chabat de l'Algérie(le Drabki-FLN) et le patron du DRS. L'APS informe les algériens que Bouteflika a rompu le silence ce mardi 11 février pour mettre en garde contre toute atteinte à l’armée.

    Dans un message dit-on, adressé au général bougre Ahmed Gaïd Salah, et aux familles des victimes du crash de l’avion militaire algérien à Oum El Bouagui, Le mort-vivant aurait déclaré, voire on a déclaré en son nom ce qui suit, je cite : « Nous sommes certes habitués à des dépassements émanant de certains milieux à l'approche de chaque échéance électorale» Il a reconnu en plus, que cette fois-ci, l'acharnement a pris une ampleur telle que l'Algérie n'a jamais connue depuis son indépendance, faisant allusion, parait-il au cirque Ammar du FLN, qui en se basant sur les clins d’œil du frère cadet du président, aurait franchi les lignes rouges dressées par le DRS.

    Il est à rappeler que cette réaction intervient plus d’une semaine après les déclarations du patron du FLN Ammar Sâidani, l'ex-Drabki de la troupe folklorique algérienne Menaii sur le chef du DRS, le général Toufik. Ces déclarations, selon la presse algérienne qui pêche dans les eaux usées, ont été suivies par les attaques d'un ancien capitaine du DRS contre Said Bouteflika, le frère cadet du Raiss qui, après avoir décroché gratuitement et sans peine un faux doctorat, il matérialise sur terrain l'anecdote qui dit : "Manger de l'ail  par d'autre bouche". La rédaction vous recommande de lire la page ayant lien de parenté avec cette note, pour visualiser cliquez sur la page jointe titrée :وزير خارجية الجزائر.. سكت ثم نطق.. ولما نطق فسق .Bonne lecture

                                                                                    Cordialement,Chihab25